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Cette première commission de l’année 2013 était animée par Maryline Wagino et Marcel Coste (Coordonateurs Histoire et géographie, collège Havila et collège Boaouva Kaleba) et s’est déroulée les vendredi 7 et samedi 8 juin. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Kapia Wahmetu (Collège Do Neva), Pierre N’gaiohni (Collège Eben Eza), Maryline Wagino et Farah Lawi (Collège Havila), Mireille Wamo (Collège Hnaizianu),  Marcel Coste (Collège Boaouva Kaleba). Non représentés : collèges Baganda, Dö Mwà et Taremen.

 

Remarque : les responsables regrettent que tous les collèges n’étaient pas représentés.  La Commission est un moment de concertation et d’échanges et celle-ci était particulièrement importante par la visite du Congrès et l’élaboration du Brevet blanc. Si la date ne convenait pas, elle aurait pu être modifiée suite à une demande.

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A. Visite du Congrès

Avec seulement 4 enseignants, la visite a été maintenue.

M. Turaud, actuellement collaborateur du président du Congrès nous a reçus pour une visite durant presque 3 heures.

Un diaporama est disponible en pièce jointe au compte-rendu. Nous n’avons pas rencontré d’élu mais la visite a été très intéressante. En effet, le fonctionnement du Congrès expliqué par un juriste est un bon complément à notre enseignement et utile pour tout citoyen calédonien.

Les séances du congrès sont diffusées sur le site www.congres.nc

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B. Tests de 6ème 2013

Les résultats sont disponibles sur le site de l’ASEE. (Un mot de passe est nécessaire pour la consultation des résultats par élève.)

RangNomPrénomHistoireGéographieMoyenne
1CollègeBoaouva Kaleba7.511.59.5
2CollègeHavila8.39.28.8
3CollègeHnaizianu8.38.18.2
4CollègeDö Mwà6.36.26.2
5CollègeDo Néva5.16.86.2
AllianceScolaire7.78.58.1

Cliquez sur le lien suivant pour obtenir les résultats détaillés par établissement, par classe : Résultats en ligne (mot de passe sur demande à la direction)

Seuls 5 établissements ont renvoyé leurs résultats : Boaouva Kaleba, Dö Mwà, Do Neva, Havila et Hnaizianu. La discussion s’en trouve forcément limitée …

Voici les remarques concernant le test :
  • Cette année, l’ordre des exercices a été modifié et semble mieux convenir aux élèves.
  • La nouvelle grille de notation des items n’a pas pu se faire ; elle sera mise au point avec Michel Malgouzou.
  • Il est toujours possible de retravailler les sujets ou les questions selon la demande des enseignants. Pour cela, il suffit de contacter un des responsables Marcel ou Maryline ; la discussion et la décision seront prises en Commission.
  • L’intérêt d’une concertation collège-primaire et la maîtrise du français ont été soulevés.

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C. Programmes en lien avec l’histoire des arts et le socle commun

Même si on en parle moins, le socle commun reste un enjeu central de notre enseignement : aider l’élève quel que soit son niveau à progresser et  à construire des compétences.

Les programmes indiquent les démarches à suivre, les nouveaux manuels sont une aide précieuse pour les cours et les évaluations.

En histoire-géographie/éducation civique, nous validons en partie la compétence 1 : maîtrise de la langue (4 points attribués au Diplôme national du brevet [DNB]) ; la compétence 5 : culture humaniste et la compétence 6 : compétences sociales et civiques.

L’histoire des arts, enseignement pluridisciplinaire, s’inscrit dans les programmes et les objectifs du socle commun. Après un tour de table sur les expériences dans les collèges, il a été rappelé l’importance de l’histoire des arts :

  • dans sa participation à l’éducation au patrimoine : le patrimoine local doit être mis en avant.
  • dans l’acquisition des compétences méthodologiques, en particulier l’analyse de l’image (place importante de la caricature en histoire, au DNB).
  • le croisement d’œuvres et de regards parce que les œuvres sont de nature différente et parce que différentes disciplines interviennent ; permettant ainsi différents points de vue pour une même œuvre ou un même thème.
  • l’approche critique : en plus du point de vue personnel (j’aime ou je n’aime pas) qu’il faut argumenter, on invite les élèves à développer leur curiosité et leur sensibilité et à s’exercer à porter un jugement.

Tous les manuels proposent des itinéraires en Histoire des Arts, il ne faut pas se laisser entraîner par la multitude des possibilités mais faire des choix raisonnés en concertation avec l’équipe pédagogique et adaptés aux élèves.

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D. La classe « Défense et sécurité globales »

Le trinôme académique : les Armées, l’Éducation nationale et l’IHEDN (l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale) permet par une convention la mise en place de la classe « Défense et sécurité globales ».

Le dispositif s’adresse plutôt à des élèves en difficulté mais avec des élèves motivés, il peut se décliner en option ou en classe PAC et nécessite un travail d’équipe. Des expériences pédagogiques sont visibles sur internet ; en NC, le collège de Magenta a une classe de 3ème Défense et mis en ligne son expérience :

http://www.ac-noumea.nc/magenta/magenta/la_classe_defense_6479.htm

 

http://eduscol.education.fr/cid45592/le-partenariat-defense-et-securite-globales.html

 

http://www.defense.ac-versailles.fr/spip.php?article63

Mais la défense n’est pas réductible à sa dimension militaire, la défense des populations face aux risques naturels, industriels ou sanitaires ou encore la défense du patrimoine culturel sont d’autres pistes possibles. La classe Défense peut être l’occasion de sensibiliser les élèves sur les questions liées à l’insularité et la vulnérabilité des milieux calédoniens mais également de découvrir des métiers liés à l’environnement, à la défense civile.

Dans un contexte de baisse d’effectifs et d’emploi du temps incomplet, les professeurs peuvent y trouver un intérêt.

Personne ressource : Mme Brigitte Haynaut, CPE au collège de Magenta et membre de l’IHEDN.

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E. Nouveau diplôme national du brevet 2013

Il est complètement modifié dans sa forme ; il concerne la série générale (et non plus collège) et la série professionnelle.

  • Le candidat répond sur le sujet lui-même (une dizaine de pages à compléter et à rendre en fin d’examen).
  • Toutes les questions comportent un intitulé et un cadre (avec des lignes), dans lequel l’élève inscrit sa réponse.
  • Les trois disciplines sont obligatoirement interrogées (plus de choix entre l’histoire et la géographie) : chaque partie correspondant à une discipline est divisée en 2 sous-parties :
    • la 1ère sous-partie comprend des questions : repères historiques, spatiaux et valeurs, principes respectivement aux disciplines puis des questions sur les chapitres des programmes,
    • la 2ème sous-partie est un travail sur un document avec un questionnement.
  • Les repères ne sont donc plus l’objet d’un exercice mais sont intégrés dans chaque discipline et le paragraphe argumenté disparaît.
  • La question qui porte sur un développement construit est associée à un cadre d’une vingtaine de lignes ; il est donné dans une partie, en histoire ou en géographie.
  • Une tâche cartographique est obligatoirement à réaliser en géographie, soit en question, soit dans la sous-partie « travail sur un document ».
  • Le barème des questions est laissé à l’appréciation des concepteurs des sujets ; la seule indication est d’accorder 13 points à l’histoire, 13 points à la géographie, 10 à l’éducation civique et 4 pour la maîtrise de la langue française. On veillera à équilibrer les difficultés.
  • Cette nouvelle organisation des sujets permet ainsi de proposer des exercices variés et portant sur tous les chapitres des programmes. Mais des questions hétéroclites, des consignes variées, sans thématique commune peuvent désarmer le candidat ; il nous faut donc préparer nos élèves.

 

Rappel : un stage est organisé avec l’IPR sur la préparation du DNB, l’inscription est close depuis peu.

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F. Brevet blanc de l’Alliance Scolaire (ASEE)

L’étude des sujets zéro en série générale édités par Eduscol et le sujet donné à Pondichéry en mai dernier confirme l’aspect hétéroclite des questions, la déconnexion entre les questions et le travail sur document et la nécessité pour les élèves d’une lecture attentive des consignes.

Le Brevet blanc de l’ASEE devant être passé entre fin septembre et début octobre, il est convenu d’élaborer le sujet :

  • en Histoire : sur les parties 1, 2 et 3 du programme (exclus « la vie politique en France »),
  • en Géographie : idem (exclus « le rôle mondial de la France et de l’Union européenne »),
  • en  Éducation civique : sur les parties 1 et 2 (exclus « la Défense et la paix »)

Le sujet est bien avancé : les thèmes, les documents et la partie liée aux programmes adaptés sont définis, les questions et consignes restent à formuler plus précisément. On ne peut pas les indiquer sur le compte-rendu car il sera en ligne, ceux qui souhaitent plus d’informations ou qui ont des propositions peuvent contacter Maryline ou Marcel.

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G. Informations diverses

  • Conférence de Stéphane Minvielle, maître de conférence, IUFM-NC : « Enseigner les sociétés coloniales en Nouvelle-Calédonie » ; Mercredi 19 juin à 17 Heures à la Salle de conférences de l’IUFM au 125 av James Cook à Nouville.
  • Les 25 ans des Accords Matignon célébrés au Congrès les 26, 27, 28 juin par les Journées Portes Ouvertes : visites des scolaires en journée et conférences tous les soirs d’Alain Christnacht, de juristes …
  • Les enseignants intéressés par une inscription CAER (CAPES interne du privé) doivent se faire connaître auprès de Michel Malgouzou. Une formation peut être mise en place ou une aide pour l’élaboration du dossier RAEP (Reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle) puis pour la préparation à l’épreuve orale.
  • Le D.U d’Histoire des Arts en Océanie à l’U.N.C. : possibilité de demander une formation pour suivre le module qui nous intéresse : « Histoire des arts océaniens » ou  « Patrimoines océanien et néo-calédonien » tout en bénéficiant de 80 % de son salaire. Si un enseignant d’HGEC est intéressé, il doit se faire connaître.

Maryline Wagino et Marcel Coste

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Cette première commission de l’année 2013 était animée par le Service psychopédagogique de l’Alliance Scolaire. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Xavier Olive (Collège Do Neva),  Johnny Lamberet (Collège Havila), Fabrice Mathieu (Collège Boaouva Kaleba), et Sébastien Boucher (Collège Havila).

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A. Réforme de la notation en EPS au diplôme national du brevet (DNB)

L’ensemble des enseignants présents à la commission ont bien confirmé qu’ils avaient pris en compte la réforme en EPS du DNB. Voici une petite synthèse (source : http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/eps/spip.php?article806)

A1 Prérequis

A1.1 Besoin d’un projet pédagogique EPS par établissement qui se fonde sur les :

  1. Axes du projet d’établissement de l’établissement scolaire
  2. Contexte local
  3. Effets éducatifs visées par les autres matières

A1.2 Besoin d’un référentiel (ou protocole) d’évaluation et de certification qui permet d’adapter les conditions des épreuves au contexte de l’établissement. Ce protocole est de la responsabilité des enseignants d’EPS de l’établissement.

A2. Evaluation pour le DNB

L’objectif est que chaque élève atteigne le niveau 2 dans les 4 compétences propres à l’EPS.

La note du DNB se base sur les évaluations effectuées dans 3 APSA relevant de 3 compétences propres à l’EPS.

Il existe deux possibilités pour le choix des APSA :

  • 3 APSA de la liste nationale des 26 APSA possibles
  • 2 APSA de la liste nationale + 1 APSA parmi les 7 de la liste académique en Nouvelle-Calédonie (A, B, C, D, E, F, G)

L’évaluation pour le DNB

Chaque cycle d’apprentissage permet de certifier un niveau attendu de compétence défini par le référentiel national des APSA.

A3. Modalités

La note sur 20 du DNB est la moyenne des notes obtenues lors de l’évaluation des APSA.

Cette note n’est pas forcément égale à la moyenne des notes en EPS de l’élève en classe de 3ème. (Pour Fabrice Mathieu, cette note n’est jamais égale à la moyenne des notes de 3ème, information donnée par l’IPR l’année dernière).

B. Formation APEP 2014

Pour l’année 2014, étant donné qu’une seule formation pourra être organisée pour des raisons financières (l’arrivée d’un nouvel animateur de sciences se traduisant par davantage de formations dans les matières scientifiques que les années précédentes.), il a été suggéré que les sports de combat seraient privilégiés. En l’absence de nombreux collègues à cette commission, l’animation enverra un mini-sondage par email pour savoir si une formation sera organisée concernant soit la lutte, soit la boxe française, soit un art martial particulier. Comme l’ASEE compte de nombreux spécialistes (Philippe Wejieme en boxe, Fabrice Mathieu pour les arts martiaux), la formation sera probablement encadrée par l’un d’entre eux.

L’expérience du stage organisé très tôt cette année (à la demande de la commission EPS de l’année dernière) n’étant pas concluante, le stage de 2014 aura lieu au deuxième trimestre. Cela permettra également d’avoir à nos côtés davantage de collègues de la DDEC et de la FELP (l’inscription aux stages étant fixée fin mars, il leur a été impossible d’avoir la validation de leur demande par leur service pédagogique, le SEFIC).

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C. Calendrier scolaire 2013

Par lettre de la direction, l’ASEE après son CA du 22 mars 2013 a décidé d’informer tous les établissements du découpage de l’année selon les trois périodes suivantes :

  • Trimestre 1 : du 14 février au 24 mai 2013
  • Trimestre 2 : du 27 mai au 6 septembre 2013
  • Trimestre 3 : du 9 septembre au 18 décembre 2013

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D. Le socle commun

Pour le socle commun, l’animation pédagogique de l’Alliance Scolaire a présenté une procédure permettant via Pronote d’évaluer les items du socle commun tout au long de la scolarité.

1. Rappel

Le socle commun est réparti en 3 paliers (1, 2, 3). Le collège doit évaluer et valider les items du palier 3.

  • Chaque palier se décompose en compétences.
  • Chaque compétence se décompose en  groupe de compétences.
  • Chaque groupe de compétence est composé d’items

Chaque enseignant peut évaluer un item en lui appliquant un niveau d’acquisition.

Dans Pronote, les niveaux d’acquisition suivent la gradation suivante :

  • Non acquis
  • Début d’acquisition
  • En cours d’acquisition
  • Presque acquis
  • Acquis
  • Expert

Dans Pronote, chaque professeur principal (si on ne change pas les paramètres par défaut), peut valider :

  1. Un item en se basant sur les niveaux d’acquisition obtenus dans les évaluations de cet item
  2. Un groupe de compétences en se basant sur les niveaux d’acquisition obtenus dans les évaluations des items de ce groupe
  3. Une compétence en se basant sur les niveaux d’acquisition obtenus dans les évaluations des items de tous les groupes de compétences

Dans Pronote, chaque professeur principal (si on ne change pas les paramètres par défaut), peut valider le livret personnel de compétences (socle commun) de l’élève

2. Cas pratique (en se basant sur le référentiel national) du javelot

Le niveau 2 de chaque APSA est l’objectif à atteindre au bout des 4 années du cursus du collège.

Voici les exemples d’items proposés par le référentiel national pour le javelot.

Compétence 1 : Maîtrise de la langue française
Groupe de compétence : Dire
Item F3.3 : Adapter sa prise de parole à la situation de communication

Compétence 3 : Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
Groupe de compétence : Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des problèmes
Item M1.1 : Rechercher, extraire et organiser l’information utile

Compétence 7 : L’autonomie et l’initiative
Groupe de compétence : Faire preuve d’initiative
Item A3.1 : S’engager dans un projet individuel
Item A3.4 : Assumer des rôles, prendre des initiatives et des décisions

 

Etape 1 – Créer une évaluation basée sur des items du socle commun

Voici les étapes logiques de création d’une évaluation :

  1. Lancez Pronote (via le client Pronote ou via Internet)
  2. Sélectionnez le groupe de travail Compétences
  3. Sélectionnez l’onglet Evaluation
  4. Sélectionnez le sous-onglet Saisie par professeur (Voir la figure 3)
  5. Sélectionnez votre classe (3A), votre service (EPS) et votre palier (Palier 3)
  6. Cliquez sur « Cliquez ici pour créer une évaluation »
  7. Attendre que la fenêtre Création d’une évaluation s’affiche
  8. Saisissez les champs Intitulé et descriptif (changez la date si nécessaire)
  9. Cliquez sur « Cliquez ici pour choisir les items à évaluer » (Voir la figure 4)
  10. Sélectionnez la compétence du premier item évalué dans le champ Pour la compétence
  11. Double-cliquez dans la colonne de l’item à évaluer pour faire apparaître le signe vert de sélection
  12. Recommencez les étapes 9 et 10 pour sélectionner tous les items voulus
  13. Cliquez sur Valider pour valider la sélection des items (Voir la figure 5)
  14. Cliquez sur Valider pour valider l’évaluation
  15. Sélectionnez votre évaluation

Etape 2 – Saisir les niveaux d’acquisitions des items d’une évaluation donnée

  1. Sélectionnez votre évaluation dans la liste des évaluations
  2. Pour chaque élève, saisissez le niveau d’acquisition de chaque item en double-cliquant dans la colonne de l’item (F3.3, M1.1, A3.1, A3.4)
  3. Cliquez sur Valider pour valider le niveau d’acquisition (Voir la figure 6)
    Astuce : vous pouvez sélectionner tous les élèves en cliquant sur tous les champs en maintenant la touche Majuscule enfoncée.

Etape 3 – Dupliquer une évaluation pour une autre classe

  1. Cliquez sur le sous-onglet Liste des évaluations de l’année scolaire
  2. Sélectionnez l’évaluation à dupliquer dans la liste des évaluations
  3. Cliquez droit et sélectionnez l’option Dupliquer
  4. Sélectionnez votre service dans la fenêtre contextuelle qui s’affiche
  5. Cliquez sur Valider

Etape 4 – Valider intégralement une compétence, un groupe de compétences ou un item en étant professeur principal de sa classe

  1. Lancez Pronote (via le client Pronote ou via Internet)
  2. Sélectionnez le groupe de travail Compétences
  3. Sélectionnez l’onglet Validation (Voir la figure 7)
  4. Sélectionnez votre classe
  5. Sélectionnez l’icône correspondant à la compétence ou au groupe de compétences que vous voulez valider
  6. Sélectionnez l’élève ou les élèves de la classe dans le cadre Elèves
  7. Effectuez une des trois actions suivantes :
    1. Sélectionnez le niveau d’acquisition de l’ensemble de la compétence dans le champ dont le nom rappelle le nom de la compétence (L’autonomie et l’initiative au palier 3)
    2. Cliquez dans la colonne du groupe de compétences (Exemple : Faire preuve d’initiative) et sélectionnez le niveau d’acquisition
    3. Cliquez dans la colonne de l’item du groupe de compétences et sélectionnez le niveau d’acquisition

Etape 5 – Valider le livret personnel de compétences de l’élève

  1. Lancez Pronote (via le client Pronote ou via Internet)
  2. Sélectionnez le groupe de travail Compétences
  3. Sélectionnez l’onglet Livret de compétences
  4. Cliquez dans la colonne date en face de Palier 3
  5. Sélectionnez une date

En jouant sur les chiffres 1,2,3 et 4 à droite de votre fenêtre, vous découvrirez les dates de validation de chaque compétence par les professeurs principaux (pour les autres classes).

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 Annexe : Liste des APSA

Voici la liste des 26 APSA de la liste nationale regroupées par compétences

Compétence 1 (Athlétisme) _____________________________________________

  1. Demi-fond
  2. Courses de haies
  3. Saut en hauteur
  4. Javelot
  5. Multibond
  6. Course de relais vitesse
  7. Natation longue
  8. Natation de vitesse

A. Lancer de disque
B. Lancer de poids

Compétence 2 (Sports de plein air) _______________________________________

  1. Canoe Kayak
  2. Course d’orientation
  3. Escalade

C. Va’a
D. Planche à voile

Compétence 3 (Gymnastique et apparentés) ________________________________

  1. Aerobic
  2. Acrosport
  3. Gymnastique sportive
  4. Gymnastique rythmique
  5. Arts du cirque
  6. Danse

Compétence 4 (Sports collectifs ou individuels) ______________________________

  1. Basketball
  2. Football
  3. Handball
  4. Rugby
  5. Volleyball
  6. Badminton
  7. Tennis de table
  8. Boxe française
  9. Lutte

E. Baseball
F. Ultimate
G. Tennis

 

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Cette seconde commission de l’année 2012 était animée par Eric Johnny Lamberet (Coordonateur EPS, collège Havila). Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Xavier Olive (Collège Do Neva), Philippe Wejieme (Collège Eben Eza), Johnny Lamberet (Collège Havila), Guillaume Smith (Lycée agricole de Do Neva), Laurent Luiggi (Collège Boaouva Kaleba), Edouard Wabete (Collège Baganda), Mathieu Aulard (Collège Dö Mwà) et Didier Blanc (Lycée Do Kamo)

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A. Maillot de l’Association sportive ASEE et tee-shirts élèves

En suivant les recommandations de la première commission d’EPS 2012, l’animation secondaire de l’ASEE a réalisé une prémaquette du maillot (100 % coton, bleu) sur le site américain  logosoftwear.com. Pour que la commande soit passée le plus rapidement possible, il est demandé à chaque établissement d’envoyer un chèque à l’ordre de l’Alliance Scolaire.  Un email sera envoyé à un professeur d’EPS par établissement avec la somme à payer.

Tee-shirt ASEE

L’idée de faire figurer un sponsor sur le maillot a été abandonnée. Par contre, Do Kamo suggère que l’on fasse des recherches de parrainage pour ses tee-shirts EPS et les tenues de la section sportive. L’animateur de lettres va contacter les sociétés de la place pour voir si cette idée les intéresse (Canal +, Milo, Nestlé).


Tableau des paiements (3 500 francs par maillot)

EtablissementNombreTaillesPayéProfesseurCoût
Boaouva Kaleba2L (x2)ouiFabrice Mathieu7 000
Do Kamo3L (x2) + M (x1)ouiDidier Blanc10 500
Dö Mwà1S (x1)ouiMathieu Aulard3 500
Baganda42XL = 2 LnonEdouard Wabete14 000
Hnaizianu??nonMaryse Raspail0
Havila81xM 3xL 4xXLouiEric Lamberet28 000
Taremen??nonMarc Waia0
Eben Eza??nonPhilippe Wejieme0
Do Neva (Collège et lycée)42xXL 2x?oui (2)Xavier Olive14 000
Total22N/A77 000

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B. Formation APEP 2013

Pour l’année 2013, les professeurs d’EPS ont choisi de mettre au catalogue APEP la formation Sensibilisation aux arts du cirque. Cette formation assurée par l’Ecole du cirque de Nouméa propose durant 5 jours un stage de 30 heures comportant une part de pratique très importante autour des groupes d’activités suivantes :

  • Le jonglage
  • Les équilibres sur objet
  • Les acrobaties

Seuls 7 enseignants de l’ASEE assisteront à ce stage qui les verra s’absenter de leur établissement durant une semaine complète. La semaine proposée par la commission est celle du lundi 25 mars au vendredi 29 mars (cela permet de programmer la première commission EPS le samedi 30 mars dans la matinée). Ce stage pouvant accueillir 12 personnes coûte 300 000 francs pour les cinq jours de stage.

A la demande des collègues de la DDEC (le lundi suivant la commission), l’animation secondaire a pris l’initiative de rajouter un stage concernant les sports de combat de deux jours (Boxe anglaise ou lutte).

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C. Calendrier scolaire 2013

Au Vice-Rectorat, l’organisation de l’année en cycles en tenant compte du nouveau calendrier 2013 est encore au stade de la réflexion. En principe, il est prévu de passer sur 3 cycles annuels avec un cycle final de 16 semaines. Il est convenu qu’il faut attendre la décision du vice-rectorat pour modifier sa programmation annuelle.

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D. Stage natation en eau libre

Le stage natation en eau libre a été très apprécié de tous. Ce stage a permis de lancer l’idée que les établissements devaient s’équiper d’un stage de natation. La mutualisation du matériel est envisagée. Il faut établir dans un premier temps un devis pour un kit comprenant les éléments suivants :

  • Une ligne d’eau + périmètre de sécurité ; 100 mètres de bout flottant avec flotteurs et poids (15 000 francs chez Equinoxe, prix de la ligne utilisée durant le stage APEP)
  • 30 planches
  • 15 pullboys
  • 10 paires de palmes
  • 20 paires de lunettes

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E. Recrutement pour la section sportive de Do Kamo

Didier Blanc a présenté une nouvelle fois la section sportive de Do Kamo (voir le site : www.dokamo.nc). Pour le recrutement, il a été décidé que la communication devrait se faire en contactant non pas les directeurs mais les professeurs d’EPS des établissements. Ensuite, au professeur d’EPS de faire la liaison avec le professeur principal de 3ème.  Pour la détection et les premières candidatures, il est préférable que Didier Blanc se déplace dans les établissements plutôt que l’inverse (économie du coût du transport).

Didier Blanc a également rappelé qu’en 2014, le football deviendra une option facultative au baccalauréat pour les élèves de la section sportive. En y ajoutant l’enseignement de complément, cela fait une note sportive créditée d’un coefficient 4 ; ce qui est loin d’être négligeable !

Remarque de la part de Philippe Wejième (Eben Eza) : Do Kamo n’était pas présent au Carrefour des métiers organisé cette année au collège Eben Eza (Voir l’article sur le site d’Eben Eza), ce qui est un comble. Conséquence : de nombreux élèves ont choisi les établissements de la DDEC, donc le lycée Père-Guéneau dont le directeur était présent. Ce problème de communication récurrent dans l’ASEE doit être pris à bras le corps.

Une proposition initiée par Thomas Carlen est de faire une réunion de tous les professeurs principaux de 3ème à Nouméa en fin de premier trimestre durant laquelle Do Kamo et Do Neva présenteraient leurs structures.

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F. Les jeux de l’Alliance : palier le déficit d’image de l’ASEE

Afin de faire connaître l’action de l’ASEE, de ses établissements, Didier Blanc propose que l’on organise les Jeux de l’Alliance à Nouméa. Une sélection d’élèves de chaque établissement partirait pour Nouméa pour une cérémonie festive très communiquante (Affiche, logo, spectacles).  Si le fait d’organiser un tournoi avec les sports habituels n’est pas oublié, il serait peut-être judicieux de travailler sur un tournoi de jeux traditionnels organisés sur trois jours. Quand le calendrier EPS sera connu le 7 décembre prochain, une décision sera prise sur une date à proposer. Un petit comité se réunira de trois ou quatre personnes et se penchera sur l’organisation, le financement de ces jeux (Déjà pressentis : Didier Blanc, Mathieu Aulard et Michel Malgouzou).

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G. Le socle commun

Pour le socle commun, le constat est le suivant : souvent, seuls les enseignants d’EPS valident les items (compétence 7) en 3ème. Il faut encourager la validation des items dès la 5ème et la 4ème pour éviter des validations à la chaîne en fin de troisième.

Concernant la compétence du savoir nager, le stage précité a permis de réaliser que peu d’établissements mettaient en place des cycles faute de moyens, d’information et… de volonté. Espérons que le stage des 15 et 16 novembre impulsera une dynamique (déjà Baganda a promis de mettre en place ce cycle l’année prochaine).

Pour le socle commun, Benjamin Puget à Taremen propose la fiche suivante :

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L’animation secondaire mettra au catalogue une formation intitulée Gérer le socle commun avec Pronote qui permettra de se passer de tout document écrit difficilement gérable sur le long terme.

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H. Divers

Xavier Olive (Do Neva) a été surpris de l’organisation des championnats territoriaux d’échecs remporté par le collège de Havila (Lire l’article sur le site de Havila). Il a également lancé un club d’échec sur l’établissement de Do Neva.

Pour les champions territoriaux de football, la commission s’interroge sur la suite à donner pour faire évoluer le niveau des joueurs : une participation à un tournoi en Australie est suggérée ou une autre compétition dans le Pacifique.

Remarque : pour que l’on reste cohérent dans la recherche de l’excellence, la commission EPS propose que les sections sportives du Territoire se confrontent aux autres équipes du Territoire. Et ce pour deux raisons : « permettre de montrer aux autres ce que le travail supplémentaire des sections sportives apportent en terme de qualité de jeu » (Philippe Wejieme) et également montrer qu’elles peuvent battre des équipes en principe plus modestes.

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Pas facile d’organiser des cours de natation en Brousse ou sur les îles, en l’absence de piscine. « En bassin, c’est calme, on voit le fond, explique Agnès Bourdelois, formatrice et professeur d’EPS au collège de Boulari. Mais en mer, il y a les marées, le vent, la houle, le fond est visible ou pas, il y a des patates… autant de choses qui rendent plus difficiles la pratique. » Au final, pour limiter les risques, une partie des professeurs de Brousse et des îles préfèrent éviter d’enseigner la natation à leurs collégiens.

Formation. Afin de faire évoluer cette situation, jeudi et vendredi, Agnès Bourdelois a dirigé une formation destinée à une dizaine de professeurs d’Education physique et sportive enseignant en Brousse et sur les îles. « Ils sont pris entre le devoir d’appliquer le programme et l’impossibilité de le mettre en œuvre en l’absence de piscine », résume la formatrice. Pendant deux jours, d’abord à la Côte-Blanche puis à la piscine de Boulari, Agnès Bourdelois a transmis quelques règles de sécurité, des informations pratiques et des exercices à ses collègues.

Responsabilité. Edouard Wabete, professeur d’EPS au collège Baganda de Kaala-Gomen, n’a pas encore expérimenté l’enseignement de la natation en eau libre. « Nous avons appris beaucoup de choses pendant cette formation : sur l’encadrement, la réglementation en matière de sécurité, sur les assurances, la responsabilité en cas de problème. Personnellement, je vais expérimenter l’an prochain, sur une ou deux classes pilote. »

Agnès Bourdelois voudrait interpeller les pouvoirs publics : « Ce serait bien que les provinces Nord et Îles puissent aménager des périmètres en eau libre. La natation est nécessaire au lycée, mais aussi pour certains concours comme pour devenir pompier ou militaire. »

A.W (édition des Nouvelles Calédoniennes du samedi 17 novembre 2012)

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Cette deuxième commission de l’année 2012 était animée par Marianne Hnyeikone (Do Kamo, responsable de la commission Langue et culture Kanak du second degré) et Tué Wahmereungo (Service psychopédagogique, Animateur Langue et culture Kanak). Les enseignants présents à cette commission étaient les suivants : André Mérone (Collège Do Neva), Marie-Lena Itreme (Collège Eben Eza), Wilfried Maho Pamani (Collège Havila), Etienne Hnawang (Collège Hnaizianu), Cédric Wahéa (Collège Taremen)

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Etienne Hnawang (Collège de Hnaizianu)

 

La didactisation des savoirs culturels  pose la problématique des exigences scolaires face au caractère propre des savoirs kanak.

Concepts abordés

  • numération
  • pharmacopée kanak
  • le thème de la case

 Champs disciplinaires

  • grammaire comparée
  • la métalangue
  • l’écriture du Dréhu
  • prise en  compte de  la méthode d’évaluation liée au mode initiatique

Programmation en drehu basée sur les étapes de la construction:

  • Palabre ; préparation de la paille ; coupe du bois ; liane ; couverture ; construction ; coutume ; mode initiatique ; outils et techniques ; lexique thématique et technique ; concepts culturels ; types de discours ; niveau de langue
  • Symboliques des différentes composantes de la case ; rôle des clans…
  • Autres disciplines abordées : maths ; dénombrement ; géométrie …

Collecte des productions

  • Fiches séquentielles à rendre après mise au propre.

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Wilfrid Pamani (Collège de Havila)

 

  • Pratique du drehu  à travers l’histoire de l’architecture dans le milieu kanak
  •  Programmation en dréhu basée sur :
  •  les étapes de la construction
  • Les matériaux
  • Le lexique thématique et technique

La principale difficulté rencontrée se pose au niveau de l’absence de continuité pédagogique voire interdisciplinaire.

Collecte des productions

  • Fiches séquentielles
  • Contes kanak
  • Ecriture, analyse métalinguistique du dréhu
  • Etude phonologique

[/vc_column_text] [vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

Cédric Wahéa (Collège de Taremen)

CM1/CM2

  • Ecriture des mots en nengone
  • Apprentissage de l’alphabet en langue
  • Numération de 0 à 30
  • Calendrier culturel lié à la culture de l’igname
  • De la tribu ; le pays nengone ;la Calédonie ; le Pacifique; le monde ;

CM2 / 6ème

  • Grammaire du nengone (Cawa Davel)

6ème / 5ème

  • Lire / écrire / étude phonologique du nengone
  • Division du temps culturel nengone
  • La case ;
  • Calendrier culturel lié à la floraison des végétaux de nengone et la signification culturelle

Intervenant extérieure SEGPA de Laroch

4ème / 3ème 

  • Nécessité de l’écriture
  • Ecriture abordée à travers les thèmes  tirés du champs social adapté à la classe d’âge concernée

 

  • 4ème
  • Le champs d’igname ; la case ; le mariage
  • Etude / recherches / restitution sous forme d’exposé

 

  • 3ème 
  • Le mariage coutumier (approfondissement)
  • Education aux valeurs culturelles et application dans la vie de collégien
  • métalinguistique

 

  • Contrainte rencontrée les variantes du nengone entre les districts

 

  • Collecte des productions :
    • Prochaine commission LCK en septembre 2012

 

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Marianne Hnyeikone (Lycée Do Kamo)

Présentation des contenus abordés à travers les rubriques  et les champs des savoirs suivants :

  • ATRE (savoir)
  • Atrein (savoir  faire)
  • Atre pengun ( savoir expliquer)
  • Atre hmekun ( savoir être)

Les savoirs sont essentiellement abordés à travers un corpus de textes tirés du patrimoine matériel et immatériel kanak de drehu

Collecte des productions*

  • Remise des productions personnelles à la prochaine commission de septembre 2012 après frappe 

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Marie Lena Itrema (Collège Eben Eza)

Présentation des contenus abordés à travers les rubriques  et les champs des savoirs suivants :

6ème / 5ème:

  • Etude du iaai à partir de thèmes comme :
  • la case ; l’organisation sociale de la tribu et des clans
  • les liens de parenté (lexique et paraphrases)
  • étude lexicale des noms de famille
  • identification et explication des relations entre les élèves ; les clans ; les statuts ; les devoirs et responsabilités coutumières ;

 

5ème

  • Etude de l’organisation clanique à partir de textes

3ème

  • Etude du iaai à l’oral, par thèmes et sous forme d’exposés suivis de débats

Contraintes  rencontrées entre les variantes du iaai au niveau phonologique et  dans les normes d’écriture proposées par la bible ou celui d’un linguiste nommé Mirou.

 Existence et proximité  du faga-ouvéa dans l’environnement sociolinguistique

Collecte des productions

  •   Remise des productions personnelles à la prochaine commission de septembre 2012 

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Points de vigilance

 

  • Logique d’inter culturalité
  • Nécessité d’une méthodologie rigoureuse
  • Lien avec le projet éducatif de l’institution et du pays
  •  Problématique dela Didactisationdes savoirs culturels à partir d’un thème
  • Nécessité de trouver un équilibre entre langue kanak langue d’enseignement et langue de culture
  • Exigence de l’étude de la phonologie, des accents et du rapport graphophonologique dans la composition d’un mot ou d’un sème
  • Présence de l’implicite culturelle dans l’environnement matériel et immatériel  du patrimoine culturel kanak
  • Importance de la continuité pédagogique
  • Besoin d’une unicité de  l’écriture d’une même langue
  • Prise en compte des stratégies cognitives
  • Attention  à porter sur les compétences intellectuelles lors des programmations et des apprentissages des LCK
  • La logique interne des registres de savoirs
  • Statuts des savoirs culturels
  • L’harmonisation des programmes par classe d’âge
  • L’interdisciplinarité

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Prochaine commission

Elle aura lieu le 28 septembre 2012.

harmonisation  des contenus entre:

  • le collège et le primaire
  • le collège et le lycée
  • le lycée et l’université

Lister vos attentes ( des professeurs de LCK)
                                              
Quelles sont les expériences menées  sur l’interdisciplinarité entre l’enseignement des LCK et les autres disciplines enseignées  au secondaire ?

 

 

[/vc_column_text]

Cette première commission de l’année 2012 était animée par Maryline Wagino et Marcel Coste (Coordonateurs Histoire et géographie, collège Havila et collège Boaouva Kaleba). Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Kapia Wahmetu et Ludmilla Gnavit (Collège Do Neva), Pierre N’gaiohni (Collège Eben Eza), Maryline Wagino (Collège Havila), Robert Naxue (Collège Hnaizianu), Yaelle Tautuu (Collège Taremen), Irwin Assawa (Lycée agricole de Do Neva), Marcel Coste (Collège Boaouva Kaleba). Non représentés : collèges Baganda, Dö Mwà et lycée Do Kamo.

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A télécharger  : [download id= »26″]

EnseignantEtablissementEmail
Maryline WaginoCollège Havilafmwagino@nautile.nc
Robetr NaxueCollège Hnaizianucebureso@yahoo.fr
Yaelle TautuuCollège Taremenleya.tau@live.fr
Kapia WahmetuCollège Do Nevadonevacollege@yahoo.fr
Marcel CosteCollège Boaouva Kalebamarcelcoste@laposte.net
Irwin AssawaLycée agricole Do Nevairwinassawa@gmail.com
Pierre N'gaiohniCollège Eben Ezapierre.ngaiohni@hotmail.fr


A. Tests de 6ème 2012

Les résultats sont disponibles sur le site de l’ASEE avec ceux de français et de mathématiques.

RangNomFrançaisMathématiquesHistoire-géographieMoyenne
1Hnaizianu43.2 %47.0 %56.8 %49.0 %
2Eben Eza46.0 %41.8 %45.9 %44.6 %
3Havila45.4 %46.7 %36.1 %42.7 %
4Taremen46.3 %34.7 %43.6 %41.5 %
5Do Neva49.5 %37.1 %31.2 %39.3 %
6Boaouva Kaleba42.3 %39.3 %34.9 %38.8 %
7Baganda37.3 %38.7 %37.3 %37.8 %
8Dö Mwà43.3 %33.8 %26.4 %34.5 %
-ASEE44.0 %39.9 %39.0 %41.0 %

RangNomFrançaisMathématiquesHistoire-géographieMoyenne
1Hnaizianu8.69.411.49.8
2Eben Eza9.28.49.28.9
3Havila9.19.37.28.5
4Taremen9.36.98.78.3
5Do Neva9.97.46.27.9
6Boaouva Kaleba8.57.97.07.8
7Baganda7.57.77.57.6
8Dö Mwà8.76.85.36.9
-ASEE8.88.07.88.2

Cliquez sur le lien suivant pour obtenir les résultats détaillés par établissement, par classe : Résultats en ligne (mot de passe sur demande à la direction)

Il est rappelé que :

  • les tests sont des tests-diagnostic à l’entrée en 6ème et que durant l’année, les programmes sont l’occasion de revoir les repères et consolider les bases méthodologiques ; il faut prévoir 1 heure pour chaque test d’histoire et de géographie.
  • D’autre part, pour que la comparaison des résultats soit pertinente, les conditions de passage doivent être les mêmes dans tous les collèges.
Il est donc convenu que :
  • l’année en 6ème  commence par l’éducation civique avec pour 1er thème « le collégien » ; ce qui se justifie d’autant plus avec l’accueil de l’élève à la rentrée. Ainsi, celui-ci prend ses marques dans le collège et dans la classe sans aborder ni l’histoire ni la géographie.
  • dans les collèges ayant plusieurs classes de 6ème, il faut faire passer les tests dans le même créneau horaire. Dans ce cas, le professeur  d’histoire et géographie a la charge de communiquer avec le collègue ou le surveillant qui fera passer le test et lui expliquer les consignes. Puis, au moment du test en classe, les consignes sont données clairement à tous les élèves sans explication ou aide aux élèves. Car il s’agit aussi d’évaluer leurs capacités à lire et comprendre les consignes.

Les tests doivent être en cohérence avec les nouveaux programmes du primaire qui sont disponibles sur le site de la DENC Direction de l’enseignement de la Nouvelle-Calédonie. C’est pourquoi certaines questions relevant des repères chronologiques ont été revues : ex. 1988 : Accords de Matignon et non plus 26 juin 1988. De même, l’ordre des exercices  sera modifié pour une approche plus didactique.

Suite à la proposition de Michel Malgouzou, une nouvelle mise en page ainsi qu’une modification de l’évaluation permettra la mise au format J’ADE. Michel assurera tout l’aspect technique et nous demandera de faire le suivi et la relecture attentive. L’idée de relier les 2 tests dans un même livret n’est pas retenue car les tests sont passés en 2 heures distinctes et l’élève pourrait être tenté de regarder ou faire la seconde épreuve dès la 1ère heure. On gardera donc les tests en 2 parties séparées.

 

B. Les nouveaux programmes de 4ème en histoire et géographie

Mis en place à la suite de notre stage avec l’IPR en octobre 2011.

En annexe : les programmes nationaux et les programmes néo-calédoniens sont disponibles dans ce fichier zip : [download id= »26″]

Ils sont dans la continuité des programmes de 6ème  et de 5ème ; il faut penser à  enseigner dans le même esprit.

Il faut bien lire les programmes qui indiquent la démarche à suivre selon les chapitres.


En histoire, enseigner à partir des entrées : choix entre des études au sein d’un thème ou partir d’exemples.

En géographie, enseigner par études de cas et la démarche inductive. Ce n’est pas une démarche scientifique mais pédagogique : on passe du concret à l’abstraction, de l’étude de cas à la généralisation avec des concepts qu’on illustre ensuite avec des exemples.

En éducation civique, enseigner par une mise en situation, du particulier à l’universel. Cela permet de passer du concret pour les élèves à la généralisation ; d’une situation vécue aux textes de loi.

Problématiser la leçon, donner du sens à chacun des thèmes : une question est posée au début de la séance et il nous faut y répondre dans l’heure.

S’appuyer sur les compétences du socle commun
Intégrer le socle commun pour définir les objectifs d’apprentissage et bâtir les évaluations ; chercher à mettre en œuvre les compétences de manière transversale.

Intégrer l’enseignement de l’histoire des arts
Sans heures attribuées, l’histoire des arts (HiDA) est déjà dans nos programmes mais il faut le faire avec d’autres professeurs : 2 ou 3 thèmes à travailler en commun avec d’autres professeurs et 5,6 par an dans notre discipline avec les élèves.

S’appuyer sur les fiches eduscol « ressources pour faire la classe » disponibles sur internet. On peut aussi consulter le site : www.ac-besancon.fr
Pour chaque chapitre, une aide à la mise en œuvre des programmes est disponible : problématiques / des supports d’étude – études de cas – possibles / Une mise en perspective / Pièges à éviter / Pour aller plus loin : bibliographie ou sitographie.

La parité obligatoire est à respecter dans le découpage horaire entre l’histoire et la géographie. Sur 100 heures d’enseignement par an : (évaluations incluses) : 40 heures en histoire ; 40 heures en géographie ; 20 heures en éducation civique.

Histoire

Le programme est resserré sur 2 siècles : les XVIII° et XIX° siècles.

On enseigne les révolutions (française, politiques et industrielle) avec l’idée de rupture. Le temps est structuré par des périodes et des événements.

On évitera de :

  • consacrer trop de temps à une approche factuelle dans les ruptures révolutionnaires ; d’où l’obligation de problématiser et simplifier
  • sacrifier le XIX° siècle : il faut lui consacrer 50% du temps d’enseignement. Le XIX° siècle est important pour comprendre le XX°, il voit la 1ère mondialisation se dérouler.
  • « recycler » l’ancien programme.

 

Géographie

On étudie des « approches » de la mondialisation et non « la mondialisation », des approches selon 3 principes :

  • La mondialisation est la grille de lecture du monde la plus opérante avec celle du développement durable dès la 5ème car on comprend l’interaction des acteurs.
  • Étudier la mondialisation en géo, c’est lire des réalités spatiales à différentes échelles : analyse systémique, spatiale et sociale de la mondialisation ; le point clé du raisonnement géographique est le jeu central des échelles. Il existe des liens entre les territoires, ce ne sont pas des isolats.
  • L’importance de la notion de réseaux : la superposition d’une logique de réseau au-dessus de la logique ancienne ; les territoires se recomposent à toutes les échelles.

Avec les élèves

  • Le fil conducteur: la mondialisation et ses effets sur les territoires.
  • La mondialisation crée des solidarités et des concurrences, donc une hiérarchisation.
  • La mondialisation est mise en images(cartes, croquis, photos, paysages) dans les études de cas et les exemples.
  • Initiation au langage cartographique : 3 croquis obligatoires (non limité) : pôles et flux majeurs des échanges mondiaux, organisation du territoire des Etats-Unis et organisation du territoire d’un pays émergent) et élaboration progressif d’un croquis de l’organisation du monde actuel à partir des études de cas.
  • Les Etats-Unis sont étudiés à partir d’exemples mais dans le prisme de la mondialisation.
  • La partie III – Questions sur la mondialisation peut être traitée en cours d’année (après les firmes transnationales (FTN) par exemple).

 

La classe de 4ème poursuit ainsi les nouveaux programmes mis en place depuis 2009 en 6ème où les entrées dans un thème se font toujours par un exemple représentatif en histoire et par les études de cas en géographie. Avec le même problème de la difficulté de la mise en perspective car il faut éviter que les élèves ne prennent l’exemple et le cas étudié pour modèle. Mais àsuivre la méthode inductive qui part toujours et exclusivement du particulier, on risque de mener les élèves à une seule démarche intellectuelle : la généralisation abusive voire la caricature … à nous de veiller à toujours bien nuancer.

Et comment donner un sens à un cours d’histoire sans repères dans le temps c’est-à-dire sans chronologie où le programme est découpé en thèmes ? Par ailleurs, quelle est la place des programmes adaptés dans ces nouveaux programmes ? L’histoire ou la géographie locales ou régionales ne sont étudiées qu’à travers d’exemples et d’études de cas selon des thèmes imposés par les programmes nationaux et non plus pour elles-mêmes. À l’heure du transfert de compétences, n’est-ce pas un recul ?

La classe de 3ème est le dernier niveau des nouveaux programmes d’Histoire-géographie | Education civique (HGEC) qui laissent une grande place à l’histoire politique et institutionnelle (émergence des cités-États en 6ème, l’évolution politique de la France de 1815 à 1914 en 4ème, la vie politique en France au XX° siècle en 3ème). L’histoire politique et militaire est privilégiée à l’histoire sociale et aux faits matériels et les apprentissages basés sur des concepts abstraitssont assez difficiles pour les élèves.

En annexe, les nouveaux programmes 3ème : l’histoire porte sur le XX° siècle à partir de thèmes sur les grandes mutations scientifiques et technologiques, économiques et sociales puis les guerres et les régimes totalitaires, la géopolitique mondiale depuis 1945 et la vie politique de la France ; la géographie porte sur la France et l’Union européenne.

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C. L’histoire des arts en classe de troisième

Un tour de table a permis d’échanger sur les expériences dans chaque établissement depuis 2010. Cette année, de nouvelles modalités sont définies pour l’oral en 3ème.

En annexe : la circulaire de novembre 2011 et la note de service de l’IPR d’Arts Plastiques.

À consulter : compte rendu de la Commission d’Arts Plastiques 2012

Mise en place L’Histoire des arts (HiDA) s’appuie sur des œuvres d’art connues et reconnues au niveau mondial, national ou local.Les professeurs déterminent un corpus d’œuvres (8 à 10 œuvres en 3èmequi appartiennent à des champs artistiques variés. Une œuvre est étudiée par au moins 2 professeurs : chaque enseignant étudie l’œuvre dans son cours selon sa programmation, à son rythme avec les approches de sa discipline. À partir des cours différents, l’élève construit un « regard croisé » sur l’œuvre et fait une synthèse qu’il pourra présenter pour l’examen oral. D’autres œuvres peuvent compléter ce corpus, les enseignants peuvent aussi choisir des œuvres à partir de thématiques communes. Par leur travail, les élèves développent leur curiosité et leur sensibilité artistiques ainsi que leur prise de parole organisée (compétences C1: maîtrise de la langue française  /  C5 : culture humaniste  /  C7 : autonomie et responsabilité développées).

Les équipes pédagogiques suivent les élèves et définissent la nature, la forme et la quantité de travail personnel :

  • exposé, diaporama, collage, planche documentaire, performance musicale ou théâtrale…
  • travail de synthèse sur une œuvre étudiée en classe par plusieurs disciplines
  • ou travail de recherches personnelles autour d’une œuvre ou d’un aspect de la thématique si le travail a été amorcé en classe ; dans ce cas, les professeurs aident à la réalisation de ce travail

Le cahier d’HiDA ou une clé USB permet de garder la trace des apprentissages, des productions personnelles, des œuvres étudiées en classe et les références partagées avec d’autres disciplines mais aussi des éléments personnels liés à des recherches, des expositions, des sorties pédagogiques et culturelles …

Sur le bulletin, une appréciation est portée.

Pour l’oral d’examen, chaque candidat ou groupe de candidats doit présenter une liste de 5 « objets d’étude » avec, s’il le souhaite, un dossier. La liste est validée par les professeurs et déposée cinq jours avant la date prévue de l’épreuve.

Rappels

  • « tout objet d’étude » est abordé durant l’année. Par exemple, une ou plusieurs œuvres d’art du patrimoine local, national ou mondial, le travail d’un artiste, un mouvement artistique, une manifestation artistique ou culturelle …
  • « tout objet d’étude » peut s’appuyer sur un ou plusieurs documents
  • ou sur une réalisation personnelle ou collective : dossier, diaporama, vidéo, expo …
  • Le dossier reste facultatif.
  • Sur les 5 objets d’étude, l’élève doit choisir au moins 3 des 6 domaines artistiques et 1 ou 2 objets d’étude peuvent porter avant le XX° siècle. En 3ème, la période étudiée est le XX° siècle mais l’élève peut faire référence à des œuvres antérieures si elles ont un lien avec celle(s) étudiée(s), le cadre temporel doit rester souple.

 Modalités de l’oral

  • Le candidat recevra une convocation individuelle pour l’examen oral et sa famille est prévenue au 2ème trimestre.
  • L’élève peut présenter une candidature individuelle ou en binôme ; l’évaluation est alors individuelle en fonction de la prestation orale de chaque candidat.
  • Le jury est composé de 2 professeurs dont l’un d’arts plastiques, d’histoire ou de français et l’autre est un professeur qui n’a pas encadré la préparation du candidat.
  • L’épreuve orale sera organisée au cours d’une journée banalisée.
  • La note obtenue par le candidat ne sera transmise ni à l’élève ni à sa famille.
  • Le jury choisira un des sujets présentés sur la liste des 5 objets d’étude par l’élève.
  • Les élèves seront informés des critères d’évaluation utilisés.

L’épreuve orale se compose de deux parties :

1. L’exposé devant le jury : durant 5 minutes, l’élève présente et analyse une œuvre qu’il a choisie et qui peut être complétée par une réalisation personnelle. Il ne doit pas réciter et sera valorisé s’il s’appuie sur un travail personnel, une production, une réalisation pour mettre en valeur ses connaissances et ses compétences ex. un diaporama ou une vidéo.

2. L’entretien avec le jury durant 5 minutes cherche à combler les manques de l’exposé, le compléter ou l’enrichir.

La note d’examen et l’appréciation tiennent compte des 2 parties de l’oral. La production personnelle ou la prestation ne sont pas évaluées en tant que telles, le jury n’évalue pas la qualité technique de la production ou de la prestation ou les choix de l’élève mais la pertinence, les raisons de sa réalisation et de ses choix et les élèves doivent être mis au courant de la grille d’évaluation et des critères retenus.

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D. Nouveau diplôme national du brevet 2013

Selon le B.O. n° 13 du 29-3-2012, la nature des épreuves d’HGEC est modifiée. Elle dure toujours 2 heures et se compose de 3 parties distinctes et obligatoires :

  • La partie Histoire notée sur 13 est constituée des questions sur des repères chronologiques ; des questions sur le programme dont l’une d’elles devra être développée ; une étude de document lié au programme où l’élève est guidé par des questions ou des consignes, avec éventuellement un regard critique à apporter (intérêt ou limites du document).
  • La partie Géographie notée sur 13 est constituée desquestions sur des repères spatiaux ; des questions sur le programme dont l’une d’elles devra être développée ; une étude de document lié au programme où l’élève est guidé par des questions ou des consignes, avec éventuellement une tâche cartographique simple à réaliser.
  • La partie Éducation civique notée sur 10 est constituée de questions sur les valeurs, principes, notions, acteurs ; des questions ou consignes sur un document lié au programme.

La maîtrise de la langue est notée sur 4 points.

Ce nouveau diplôme national du brevet (DNB) sera mis en place en juin 2013 en métropole, d’ici là, il est possible de  consulter les sites académiques, lire les forums et se procurer des annales.En HGEC, les nouvelles épreuves seront liées aux nouveaux programmes de 3ème applicables en 2013.

On peut déplorer la disparition du paragraphe argumenté, cet exercice de rédaction raisonnée qu’il ne faudra toutefois pas négliger pour préparer le lycée et remarquer que pour les 3 épreuves, le travail demandé ne porte que sur un seul document. Les exigences semblent moins grandes : plus de mise en relation de 2 ou 3 documents,  incitation à la récitation plus qu’à la réflexion…


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E. Nouveau CAER-CAPES interne

L’épreuve d’admissibilité du Capes interne/Caer d’histoire et géographie est modifiée (J.O.du 3 mai 2011). Les épreuves écrites sont remplacées par la constitution d’un dossier de «reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle» (RAEP) par le candidat.

Au moment de l’inscription, le candidat choisit dans quelle discipline va porter son dossier RAEP, soit sur l’histoire, soit sur la géographie. L’épreuve d’admission reste sensiblement la même : l’« analyse d’une situation d’éducation » à partir d’un dossier proposé par le jury dans la discipline, histoire ou géographie, non choisie pour l’épreuve d’admissibilité.

  • La première partie (2 pages dactylographiées maximum) décrit les responsabilités confiées au candidat dans les différentes étapes de son parcours professionnel. Elle est importante et à lier à la seconde partie.
  • La seconde partie (6 pages dactylographiées maximum) est disciplinaire et fait état d’une « analyse précise », une séance, voire une séquence qui met en évidence :
    • les apprentissages
    • les objectifs
    • les progressions
    • les résultats de cette réalisation

Le candidat peut joindre des exemples de travaux d’élèves (2 pages maximum).

Les critères d’appréciation du jury porteront sur :

  • la pertinence du choix de l’activité décrite ;
  • la maîtrise des enjeux scientifiques, didactiques et pédagogiques de l’activité décrite ;
  • la structuration du propos ;
  • la prise de recul dans l’analyse de la situation exposée ;
  • la justification argumentée des choix didactiques et pédagogiques opérés ;
  • la qualité de l’expression et la maîtrise de l’orthographe et de la syntaxe.

Le dossier doit respecter des consignes de dactylographie : en Arial 11, interligne simple, sur papier de format 21 × 29,7 cm et de présentation : dimension des marges : droite et gauche : 2,5 cm ; à partir du bord (en-tête et pied de page) : 1,25 cm ; sans retrait en début de paragraphe.

Le dossier de RAEP est à retourner en double exemplaire au Ministère avant le 1er  février et doit être signée par le chef d’établissement (Directeur du collège). Il faut donc prendre ses précautions avant le départ des grandes vacances.

 Quelques conseils

– Consulter régulièrement le site du Ministère de l’éducation nationale (http://eduscol.education.fr/) et les sites disciplinaires académiques, participer aux formations : l’APEP (via l’ASEE) en propose une en fin d’année (1ère session le vendredi 24 août 2012).

– Bien choisir la situation pédagogique présentée : Séquence ? Séance ? Démarche ? Documents ? Mise en œuvre ? Évaluation ?

– Montrer ce qui a été construit et les effets de l’activité sur les élèves.

– Être attentif à la dimension scientifique ; à la qualité des documents utilisés en classe ; à la cohérence du dossier.

Pièges à éviter

  • Méconnaissance des programmes et référentiels, des grands enjeux scientifiques de la discipline, des grandes problématiques, des démarches en cours dans la discipline.
  • Faire un « copier / coller » d’une séquence ou séance trouvée sur un site Internet.
  • Utiliser une séquence ou séance que le candidat n’a pas mise en œuvre ou observée.
  • Proposer une séquence ou une séance irréalisable, trop restreinte ou trop vaste.
  • Construire un dossier uniquement descriptif sans analyse et sans prise de recul.
  • Utiliser un « métalangage » pour impressionner le jury.

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F. Questions diverses

L’inscription aux stages du PAF : « les nouveaux programmes 3ème »  avec l’IPR où il sera certainement question du nouveau DNB ; les « TICE en Histoire et géographie» ; en éducation civique « enseigner la justice » avec l’intervention de professionnels de la justice sur l’exercice de la justice en NC, le droit coutumier et la justice des mineurs ; et des stages en histoire des arts …

Le thème sur « le socle commun des connaissances et des compétences » n’a pas pu être débattu par manque de temps. Il a simplement été rappelé que :

 

  • le livret personnel de compétences est obligatoire pour l’obtention du DNB
  • une discipline participe à l’acquisition de plusieurs compétences
  • l’acquisition d’une compétence demande laparticipation de plusieurs disciplines

Pour sa mise en place, les équipes disciplinaires et pédagogiques doivent se concerter et s’accorder sur les critères communs de réussite.

 

Chaque professeur doit donc :

 

    • définir les items qui font l’objet d’un apprentissage et d’une évaluation
    • expliciter ces items auprès des élèves et préciser les critères de réussite
    •  utiliser un outil de recueil et de suivi des réussites des élèves
    • informer l’élève sur ce suivipour le rendre acteur et responsable de sa propre formation.

Maryline Wagino et Marcel Coste

Cette première commission de l’année 2012 était animée par Marianne Hnyeikone (Do Kamo, responsable de la commission Langue et culture Kanak du second degré) et Tué Wahmereungo (Service psychopédagogique, Animateur Langue et culture Kanak). Les enseignants présents à cette commission étaient les suivants : André Mérone (Collège Do Neva), Marie-Lena Itreme (Collège Eben Eza), Wilfried Maho Pamani (Collège Havila), Etienne Hnawang (Collège Hnaizianu), Cédric Wahéa (Collège Taremen), Freda Maloune (Collège Boaouva Kaleba).

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A. Enseignement et référentiel LCK dans le premier degré

A.1 Chantiers engagés dans le premier degré

Cadrage institutionnel et Méthodologie

A.1.1 Présentation du document cadre

Lecture puis commentaires des participants.

A.1.2. Présentation de la feuille de route mise en place

Remarques, questions et constats sur l’organisation de tels chantiers dans le primaire

Le fonctionnement est reconnu comme spécifique au premier degré

A.1.3. Difficultés rencontrées

Convaincre

Débat important

Absence de productions écrites des contenus en langues kanak

A.1.4. Perspectives

Regroupement le 26 mai 2012 des représentants des écoles pour la synthèse des productions des référentiels en LCK produites dans les écoles.

Rendre compte à l’assemblée générale de Canala.

Harmonisation des contenus entre le premier degré et le secondaire de l’ASEE

A.2 Coopération premier degré/second degré

Intervention dans le primaire de certains professeurs LCK.
Collaboration pour les travaux sur le référentiel LCK.
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B. Sollicitation institutionnelle du secondaire

Sollicitation de l’assemblée générale de 2009

  • Exposer les enjeux et la nécessité de l’élaboration d’un référentiel en LCK pour l’ASEE, nos élèves mais également pour l’école du pays
  • Attente et sollicitation de toutes les personnes ressources par l’assemblée générale de l’ASEE
  • Partir des productions personnelles des professeurs de bonne volonté afin de construire des outils structurants
  • Demande d’échanges de pratiques pédagogiques par les professeurs débutants en LCK

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C. Référentiels LCK

C.1 Position individuelle

  • Un sentiment  persistant d’un manque de considération de la part des institutions et des institutionnels envers les enseignants LCK est souligné ici
  • Situation précaire du métier d’enseignant en LCK dans le pays
  • Conditions de travail souvent difficiles
  • Les outils sont des productions  personnelles conçues sans aucune aide
  • Propriété intellectuelle personnelle
  • La question du coût de ces productions a donc été posée

C.2 Cession gratuite des outils

  • Compte tenu de la nécessité de structurer l’enseignement des LCK, L’assemblée générale vous a demandé de faire don de vos référentiels
  • L’assemblée générale a voté la motion sans octroyer de crédit
  • C’est donc au don gracieux et volontaire auquel elle fait appel
  • La nécessité de poursuivre le travail de recueil des productions avec ceux qui l’acceptent, s’impose désormais à nous
  • Cela constituera l’ordre du jour de notre prochaine réunion (le 22 juin 2012)

C.3 Autre question

Comment voyez-vous la mise en cohérence des contenus entre le primaire et le
secondaire ?

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D. Perspectives

Les professeurs volontaires et décidés apportent leurs référentiels en LCK pour la réunion du 22 Juin 2012.

D.1 Objectifs de la prochaine commission

  • Récolter les productions
  • Traitement des outils apportés
  • Quelles informations apportées à l’assemblée générale de l’ASEE

D.2 Autres sujets

  •  Débattre et réfléchir sur l’harmonisation des contenus avec le primaire.
  • Quelles sont les expériences menées sur problématique de la mise en œuvre de l’interdisciplinarité entre l’enseignement des LCK et les autres disciplines enseignées  au collège ?
  • Redéfinir les perspectives pour 2012 (date de la prochaine réunion)

Cette première commission de l’année 2012 était animée par Eric Johnny Lamberet (Coordonateur EPS, collège Havila). Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Xavier Olive (Collège Do Neva), Philippe Wejieme (Collège Eben Eza), Sébastien Boucher, Johnny Lamberet (Collège Havila), Frank Salinas (Collège Hnaizianu), Benjamin Puget (Collège Taremen), Guillaume Smith (Lycée agricole de Do Neva), Laurent Luiggi (Collège Boaouva Kaleba), Edouard Wabete (Collège Baganda) et Mathieu Aulard (Collège Dö Mwà).

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Cliquez sur l'image pour plus de détails

EnseignantEtablissementEmail
Johnny LamberetCollège Havilalamberet.lifou@loyaute.net
Sébastien BoucherCollège Havilaboubouch1@hotmail.com
Franck Salinas Collège Hnaizianusalinasfranck@yahoo.fr
Benjamin PugetCollège Taremenben.puget@gmail.com
Xavier OliveCollège Do Nevaexolive@canl.nc
Edouard WabeteCollège Bagandanordigvolley@yahoo.fr
Laurent LuiggiCollège Boaouva Kalebalolo.luiggi@yahoo.fr
Guillaume SmithLycée agricole Do Nevasmithguill@yahoo.fr
Didier BlancLycée Do Kamoelisa.dide@yahoo.fr
Philippe WejiemeCollège Eben Ezaebeneza.secret@canl.nc
Mathieu AulardCollège Dö Mwàmoltes@msn.com

La prochaine commission a été programmée pour le vendredi 19 octobre 2012.
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A. Sections sportives

De nombreux échanges ont eu lieu concernant les enseignants ayant déjà une section sportive dans leur établissement et ceux qui souhaitent en ouvrir une.
Tous ont insisté sur le fait que c’est un moyen de ne pas voir baisser les effectifs. Au contraire, nombre d’enfants aujourd’hui changent d’établissement pour pratiquer une activité qu’ils apprécient.

Voici quelques liens présentant sur les sites des établissements de l’Alliance des structures :

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B. Maillot de l’association sportive de l’ASEE

Depuis longtemps, l’association sportive de l’Alliance Scolaire indique l’importance de la création d’un maillot commun à tous les enseignants. Les avantages de ce maillot :

  • Reconnaissance des enseignants par les élèves au cours des rencontres sportives (UNSS).
  • Reconnaissance de la présence massive des établissements de l’ASEE dans les finales territoriales.

Le polo Adidas proposé sur cet article du collège de Havila (cliquez ici pour lire l’article) semble convenir à tout le monde. L’ensemble des collègues est partant pour passer la commande d’un polo dans un 1er temps, afin de vérifier la qualité du produit et valider la couleur choisie (bleu électrique).

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C. Formations APEP

Le souhait de la commission est d’organiser les formations sur 2 ou 3 jours groupés afin d’éviter les multiples déplacements (coûteux et contraignants sur le plan professionnel).

Les formations étalées sur plusieurs semaines ne conviennent pas aux enseignants hors Nouméa.

Voici les propositions de date pour les trois formations proposées par l’APEP en 2012

  • Natation : 8 et 9 novembre 2012 ou 15 et 16 novembre 2012
  • Danse : 5 et 6 juillet 2012
  • Javelot : 3 août 2012

Pour 2013, voici les stages que la commission aimerait voir organisés :

  • Sport de combat avec la boxe française
  • Arts du cirque avec une dominante Slack (voir vidéo Youtube ci-dessous)
  • Sport collectif (Rugby et mixité)

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D. UNSS, socle commun et histoire des arts

UNSS
La commission EPS aimerait que les directions mettent à disposition des encadrants adultes pour aider les professeurs d’EPS dans la prise en charge des activités l’UNSS du mercredi après-midi. Le personnel de l’internat semble le plus à même d’aider les enseignants (connaissance des enfants).

Cette initiative pourrait être inscrite dans le projet d’établissement et le projet EPS.

Histoire des arts (HIDA)

Chaque enseignant doit s’informer auprès de son établissement sur les mesures mises en place à propos de l’HIDA et évaluer son degré d’intervention. Comme l’a rappelé Philippe Wejieme, il est « important pour notre discipline de s’investir dans cette nouvelle matière ».

Socle commun

Actuellement la gestion du socle commun est spécifique à chaque établissement.
A l’avenir, dans les projets d’EPS, chacun devra utiliser pendant ces cycles des exercices permettant d’évaluer certains items. En effet certaines Activités physiques, sportives et artistiques (APSA) sont plus à même d’évaluer certaines compétences.

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E. Tenue EPS, suivi de carrière et recommandations

Tenue EPS

Tous les établissements de l’ASEE sont unanimes quant à l’obligation de porter des chaussures en EPS. Tous les élèves doivent se présenter en cours avec une tenue correcte à savoir : chaussures de sport, short et tee-shirt de rechange.

Suite à un tour de table, il apparaît que plus de 90 % des élèves en EPS utilisent des chaussures de sport. L’objectif est donc d’amener les 10 % restant à l’utilisation de ces chaussures. Le prochain objectif concernant les tenues EPS est l’interdiction des shorts en jean.

Tous les professeurs d’EPS de l’ASEE se plaignent de la mauvaise qualité des chaussures portées par la majorité de leurs élèves. Ils pointent du doigt les chaussures de mauvaise qualité -les premier prix- qui ne tiennent pas plus de 3 à 5 séances. Il faudrait donc informer les parents sur l’intérêt d’acheter en début d‘année des chaussures de bonne qualité pour le bien-être de leur enfant et éviter des achats multiples et coûteux à la longue.

Suivi de carrière

Certains enseignants inspectés en 2011 et ayant obtenu un avis favorable pour passer au statut d’AE (Adjoint d’Enseignement) s’inquiètent du manque d’information concernant leur changement de grade.

Les épreuves du CAPES interne ont été modifiées. Qu’en est-il du CAER CAPEPS ? Doit-on présenter un dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle (RAEP) comme c’est le cas pour bien des matières.
Présentation de la réforme sur le site du ministère de l’Education Nationale :
http://www.education.gouv.fr/cid4929/nouvelle-epreuve-d-admissibilite-de-certains-concours-internes.html

A la direction de l’Alliance Scolaire de se tenir au courant des dernières réformes.

Recommandations de la commission EPS aux directeurs de l’ASEE

Voici les recommandations de la commission concernant l’EPS dans les établissements :

  • Proposer un emploi du temps étalé aux enseignants avec pas plus de 5 heures d’EPS par jour.
  • Assurer une meilleure gestion du personnel de l’internat le mercredi après-midi afin d’améliorer l’encadrement des élèves internes (pratiquants et non pratiquants de l’Association Sportive).
  • Obtenir auprès des collectivités publiques la mise à disposition des moyens nécessaires à la pratique de la natation scolaire. (le savoir nager est une priorité nationale des textes officiels).

M. le président de la commission (Eric Lamberet) tient à remercier tous les collègues qui ont participé avec enthousiasme à ces échanges fructueux.

Cette première commission de l’année 2012 était animée par Michel Malgouzou (Animation de lettres, direction). Les documentalistes présents à cette commission étaient les suivants : Monique Wahmetu (Collège et lycée agricole Do Néva), Sabine Vincens (Collège Eben Eza), Caiö Forrest (Collège Havila); Nicole Sioremu (Collège Taremen) et Daniel Collet (Lycée Do Kamo)

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A. PMB et BCDI

Le premier point abordé durant cette commission fut le choix du logiciel de documentation. Une réflexion menée au sein du vice-rectorat de Nouvelle-Calédonie avait sous-entendu que le choix académique d’un logiciel commun à tous les CDI du Territoire aurait pu être imposé. En fait, il apparaît que la liberté est laissé à chaque établissement du choix de son logiciel. Rappelons que l’opposition n’est pas seulement ergonomique ou fonctionnelle mais également économique. En effet, PMB (acronyme de Pour Ma Bibliothèque) est un logiciel libre alors que BCDI développé par le CRDP de Poitiers est une solution payante qui représente un investissement conséquent pour les petits établissements. En 2006, tous les établissements de l’Alliance ont été dotés de BCDI. L’informatisation des établissements est cependant inégale, allant d’une informatisation totale du fonds pour certains à une absence totale de celle-ci pour d’autres.  Le collège Havila dans l’intégration de BCDI a été le plus loin, puisque les différents modules de BCDI (BDCI net notamment) sont utilisés, le tout couplé à un abonnement aux MémoElectre qui permet de disposer des notices des livres acquis par le CDI (le coût de 200 fiches s’élève à 12 000 francs CFP).

Comme il est plus intéressant que tous les établissements disposent du même logiciel, l’Alliance Scolaire préconise que les établissements conservent BCDI comme logiciel de documentation. Autre argument envers ce logiciel payant : la difficile migration des bases de données BCDI vers le logiciel libre PMB. Les efforts de récupérations, la relecture de toutes les fiches représentent des centaines d’heures d’effort.

La DDEC a, via le vice-rectorat, mis à disposition de ses établissements secondaires des bases PMB consultables en ligne (un grand avantage étant que les bases sont sauvegardées sur des serveurs à Nouméa). Mise à disposition ne signifie pas utilisation. Ainsi, quand on clique sur la carte des établissements de la DDEC, on s’aperçoit que de nombreuses bases sont vides et n’existent que par la présence de catégories précises mais vides de contenu (http://pmb.ac-noumea.nc/prive/).

A la demande faite par le collège Havila du choix de la mise en ligne du catalogue du CDI via e-sidoc (portail complet proposé par le CRDP de Poitiers) ou la version Internet de BCDI, l’animation de lettres a conseillé de n’utiliser que la version BCDI Web. En effet, les collèges se dotant peu à peu de leur site sous WordPress, il faut éviter de doubler les outils. La solution étant la suivante : WordPress pour la gestion du site officiel de l’établissement, site comprenant un lien vers la base en ligne du CDI.

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B. Sites Internet

Depuis le lancement du site internet de l’Alliance Scolaire (www.alliance-scolaire.nc) en 2006, trois établissements se sont dotés d’un site officiel :

Pour ces sites, l’animation de lettres a fixé les lignes directrices suivantes :

  • Une même architecture WordPress
  • Un même Thème WordPress (charte graphique)
  • Des extensions similaires
  • Un contenu base de données identiques (enseignants, projets d’établissements notamment)

Cette uniformité si elle présente quelques inconvénients (De l’uniformité naquit l’ennui) permet d’économiser les temps de formation et surtout permet aux documentalistes de pouvoir échanger et donc de transférer des savoir-faire que l’informatique par la multiplicité des logiciels, des solutions qu’elle propose empêche de partager.

Dans cette optique de choix informatiques (les TICE sont devenues une part importante des compétences des documentalistes), voici les autres choix de l’animation de lettres concernant l’intégration numérique des CDI :

  • L’utilisation de Skype pour l’échange des informations à moindre coût
  • L’utilisation de TeamViewer pour la collaboration entre les documentalistes
  • L’architecture serveur-client au sein du réseau du CDI par le biais d’une solution NAS (de préférence avec les serveurs Synology dont l’interface est conviviale et très polyvalente).
  • Le gel des postes utilisateurs par le logiciel DeepFreeze ou une solution similaire pour que les ajouts de postes ne soient pas synonymes de la multiplication des problèmes (on ne gère que son poste maître et son serveur NAS)

Interface de TeamViewer en français

Bien sûr, dans ces choix stratégiques, l’animation de lettres apporte toute ses compétences, ayant à coeur que les documentalistes mettent à dispositif de leur public un outil informatique performant dans des lieux où la fracture numérique est très importante (voir l’équipement de la Province Sud en comparaison des autres provinces concernant Internet).
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C. Budget des CDI

Une mini-enquête auprès des établissements établira rapidement le ratio investissement par élève pour l’achat des livres et revues. En cette période de difficultés financières (les établissements souffrent des retard de paiement des forfaits d’externat au moment de la rédaction de compte rendu), il est difficile pour les documentalistes d’exiger un budget important. Toutefois, pour qu’aucun élève de l’Alliance ne soit lésé, cette petite enquête déterminera si certains établissements sont moins dotés que d’autres. Dans tous les cas, il est bon de rappeler que l’attractivité d’un CDI passe par la richesse de son fonds et de l’actualisation nécessaire de celui-ci.

Un autre point se fera sur l’état matériel des CDI. Il est à noter qu’après la réfection du CDI de Do Kamo en 2008, la création du CDI de Eben Eza en 2007, Havila vient de voir ses locaux entièrement rénovés (après une attente de 20 ans de la part de leur documentalistes (voir http://www.havila.nc/2012/03/renovation-et-agrandissement-du-cdi-de-havila/). Tout n’est donc pas négatif ; il faut constater cependant que la présence d’un documentaliste formé (certifié ou pas) dans un établissement s’accompagne souvent de l’amélioration du CDI, la légitimité de la fonction s’accompagnant de celle de leurs demandes.
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D. Prochaine commission

La prochaine commission se déroulera en fin d’année. Nous serons invités par la médiathèque de Rivière Salée (accord de principe de Mme Boussemart). Cette commission sera sûrement précédée d’une formation WordPress qui pourra être axée autour de la création d’un nouveau site Internet (Par exemple : www.taremen.nc).

Cette première commission de l’année 2012 était animée par Michel Malgouzou (Animation de lettres, direction). Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Laurence Hnaia (Collège Do Néva), Elise Ixepe (Collège Eben Eza), Maylis Oroffino, Isa Qala (Collège Havila), Roseline Enoka (Collège Hnaizianu), Monique Wadewe, Aurélie Poyau(Collège Tarémen), Catherine Poedi (Lycée Do Kamo), Joachim Pebou-Polae (Boaouva Kaleba).

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A. Bilans des évaluations communes 6ème 2012

Les tests J’ADE se découpent en grands ensembles appelés champs (Connaissance de la langue, Ecrire, Lire et Dire). Ces champs regroupent 14 compétences (voir le tableau ci-dessous) qui à leur tour se décomposent en une série de 40 composantes. Ainsi, dans J’ADE, chaque item noté par les enseignants selon un codage particulier (1, 9 ou 0 la plupart du temps) correspond à un triplet Champ-Compétence-Composante. Par exemple, l’item 006 (Reconnaître les principales étapes d’un récit) correspond au triplet Lire-Repérer la chronologie-Reconstituer l’ordre d’un récit.

Compétences
Dégager les idées essentielles d'un texte documentaire ou littéraire
Utiliser ses connaissances sur la langue pour comprendre un texte
S'appuyer sur les différentes formes de reprises nominales et pronominales pour comprendre un texte
Construire une nouvelle information
Repérer la chronologie
Identifier un texte
Utiliser des usuels (dictionnaires, manuels, etc.)
Distinguer la classe grammaticale des mots
Distinguer la fonction des mots dans la phrase
Reconnaître le mode, le temps et le groupe des verbes
Maîtriser l'orthographe grammaticale
Écrire correctement des mots sous la dictée
Produire un texte
Lire à haute voix, de façon expressive, un texte narratif déjà connu

Les évaluations présentes sur ce site à l’adresse suivante permettent seulement de connaître les résultats des élèves de l’Alliance Scolaire dans les quatre grands champs des tests J’ADE.

http://www.alliance-scolaire.nc/?p=2677

Les évaluations communes de cette année en français ont abouti à un pourcentage de réussite de 44 % en français (40 % en mathématiques et 39 % en histoire et géographie. La différence entre le collège avec les meilleurs résultats en français (Do Neva avec 49,5 %) et celui avec les moins bons (Baganda avec 37,3 %) est de 12,2 %.

Les meilleurs résultats sont obtenus pour le champ Lire (avec 59 % de réussite), les moins bons pour le champ Grammaire/Connaissance de la langue (avec 30,6 % de réussite). Pour mémoire, dans l’ancienne version des tests, c’étaient les champs Ecrire et Transformer un texte qui obtenaient les résultats les plus catastrophiques. Cette année, les résultats pour le champ Ecrire sont de 36,6 % avec cependant des variations importantes (Dö Mwà à 56,3 % et Baganda à 19,2 %). Pour la compétence Dire, les différences sont également importantes avec 69 % de réussite à Do Neva contre à peine 20 % à Baganda.

Ces différences nous amènent à penser que, lors de notre prochaine commission, nous devrons absolument nous entendre sur nos procédures de passation. Il est en effet très important d’être ferme sur le principe de non assistance de nos élèves durant les tests. Le fait de varier dans notre façon de faire passer ces tests fausse les résultats obtenus et peut cacher les problèmes rencontrés par nos élèves.

Pour rappel, les résultats des évaluations des établissements du public (chiffres 2011) étaient de 59,1 % pour tout le territoire (44,3 % ASEE 2012), de 53,2 % (42,1 % ASEE 2012) pour la Province Nord, de 61 % pour la Province Sud et de 48,3 % (43,7 % ASEE 2012) pour la province des Îles. La plus grosse différence se situe à la fois dans le résultat global (- 16 %) et dans les chiffres de la province Nord (- 11 %). Si –et encore une fois, la façon dont les tests sont passés est importante- le retard qui nous caractérisait est en train de se combler, c’est un signe encourageant pour nos élèves. Il nous suffit d’obtenir les statistiques des établissements publics pour tirer une conclusion aussi positive.

Le graphe suivant permet de suivre l’évolution des résultats des différents établissements sur les trois années passées. En survolant les barres, vous obtenez les résultats en pourcentage (Il manque les résultats aux évaluations 2011 des collèges Do Neva et Eben Eza). La population de nos établissements étant peu nombreuses, il peut y avoir d’une année sur l’autre, des variations importantes. Dans l’ensemble, les résultats sont néanmoins très stables (au dessous de 50 %), seuls Dö Mwà et Taremen en 2010 sont passés sous la barre des 30 %, ce qui représente des scores très faibles pour une évaluation de 6 ème. En métropole, les résultats des évaluations en entrée de 6 ème tournent autour des 60 % avec un décrochage à 50 % pour les ZEP.

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B. Socle commun de connaissances et de compétences

La mise en place du socle commun (palier 3) se fait petit à petit dans les collèges. Cependant, les tâtonnements sont nombreux. L’idéal représenté par un partage des évaluations des compétences et des connaissances entre les enseignants n’est pratiqué que très partiellement. Dans la plupart des cas, on demande aux professeurs d’évaluer les compétences qui correspondent à leur domaine d’intervention ; ainsi les enseignants de français se chargent de la compétence Maîtrise de la langue française.  Une coordination plus importante (via le conseil pédagogique, structure à mettre en place dans les établissements) permettrait de répartir les items à évaluer (On pourrait par exemple, demander à l’enseignant d’EPS d’évaluer l’item Formuler clairement un propos simple en cours d’EPS, notamment quand une fonction d’arbitrage est attribuée à un élève. Il faut également rappeler que l’évaluation –et partant sa validation- du socle commun doit débuter dès la 6ème. Une quasi-nécessité pour que ne produise pas le phénomène de validation au kilomètre que de nombreux établissements ont connu en fin de 3ème.

Dans tous les établissements, les enseignants présentent formellement les items à leurs élèves. Ceux-ci sont donc conscients qu’un changement est intervenu dans leur évaluation au quotidien (nombreux sont les enseignants à rappeler qu’ils décomposaient déjà les critères de réussite d’une évaluation en somme de compétences à acquérir avant que ne soit imposée la réforme du socle commun). L’animation de lettres a également proposé que soit indiqués en fin de chaque évaluation les items du socle commun évalués lors des contrôles ; bien sûr cela impose une surcharge de travail (indiquer à la fin d’un devoir de rédaction les items évalués peut paraître fastidieux).

Solution technique : Pronote

Comme l’Alliance Scolaire a choisi d’utiliser ProNote dans ses établissements, la gestion du socle commun est grandement simplifiée. En effet, chaque enseignant a la possibilité d’évaluer au cours de l’année chaque élève. Ainsi Pronote permet d’effectuer les opérations suivantes :

  • Définir des compétences à évaluer en fonction des classes (onglet Compétences/définition)
  • Créer des compétences personnalisées
  • Evaluer les compétences en évaluant le niveau d’acquisition d’un item (en cours d’acquisition, acquis, non acquis, etc.)
  • Valider de manière automatique ou non une compétence en fonction du niveau d’acquisition de l’élève des différents items
  • Faire apparaître les compétences validées sur le bulletin de l’élève

En 2013, étant donné que tous les établissements auront mis en place Pronote, un stage APEP pourra permettre d’unifier les pratiques de l’Alliance Scolaire pour que chaque établissement évalue de manière similaire leurs élèves.

Outre l’aspect technique de la gestion du socle commun, il paraît indispensable d’orienter la réflexion sur les changements induits par le socle commun sur notre manière d’enseigner (quid de la performance, problématique de l’opposition notes vs compétences, interdisciplinarité, création des compétences correspondant aux spécificités de notre public, etc.)

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C. Brevet blanc 2012

L’épreuve de français du diplôme national du brevet (DNB) sera modifiée en 2012 en métropole et en 2013 en Nouvelle-Calédonie.

Voici in extenso les modifications apportées à cette épreuve. Comme on peut le constater, l’élève est amener à justifier son point de vue dans la première partie de l’épreuve ; ce qui correspond bien au programme de la classe de troisième, privilégiant l’argumentation.

Première partie : Compréhension de texte, réécriture et dictée (1 heure 30)

Un texte d’une trentaine de lignes maximum, d’un auteur de langue française, est remis au candidat.

La compréhension du texte est évaluée par une série de questions qui prennent appui sur le texte distribué. Certaines de ces questions sont d’ordre lexical et grammatical. D’autres engagent le candidat à réagir à sa lecture en justifiant son point de vue.
La maîtrise de la langue et de l’orthographe est évaluée :

  • par la réécriture, en fonction de diverses contraintes grammaticales, d’un passage ou de plusieurs passages du texte proposé au candidat. Le sujet donne des consignes précises sur les modalités de cette reformulation (modification de formes verbales, changement de l’ordre des mots, de genre, de nombre, etc.). Elles entraînent des transformations orthographiques que le candidat doit effectuer en réécrivant le texte initial ;
  • par la dictée d’un texte de 600 à 800 signes, de difficulté référencée aux attentes orthographiques des programmes.

Cette dictée est effectuée au cours des trente dernières minutes de cette première partie d’épreuve.

Les candidats présentant un handicap peuvent demander à composer sur le texte de dictée aménagée.

Seconde partie : Rédaction (1 heure 30)

Deux sujets de rédaction au choix sont proposés aux candidats.

L’un fait essentiellement appel à l’imagination et prend appui sur le texte initial ; l’autre demande une réflexion sur une question ou un thème en relation avec le sens du texte.

Les candidats doivent produire un texte correct et cohérent, d’une longueur de deux pages au moins (environ trois cents mots). Ce texte doit être structuré, construit en paragraphes, correctement ponctué.

Comme cette réforme sera mise en place en 2013 en Nouvelle-Calédonie, le brevet blanc de cette année (du 8 au 12 octobre 2012) ne prendra pas en compte cette réforme. Le sujet du brevet blanc sera créé par l’animation de lettres. Il s’appuiera sur un texte local (un extrait peut-être du récit autobiographique d’Elie Pidjo, Enfance meurtrie ou la biographie d’André Dang, Mystère Dang).

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D. Séquence commune 3ème (Autour du drapeau)

lEn 2010, l’animation de lettres n’a pas tenu sa promesse de mettre en place une séquence commune pour les classes de 4ème de l’Alliance Scolaire (pour cause notamment de départ de l’animateur en stage pour une période de trois mois à l’IUFM). Le projet est relancé pour les classes de troisième avec comme sujet le thème des drapeaux calédoniens. Cela permettra de travailler sur l’argumentation. Les documents suivants serviront de support à cette séquence :

  • Les articles de presse concernant ce débat
  • Les articles des sites officiels des différentes forces politiques du Territoire
  • Des extraits vidéos et sonores

L’animation de lettres proposera une séquence clé en main avec les évaluations formatives et sommatives. Cette séquence sera accompagnée des items du socle commun pouvant donner lieu à une évaluation (ainsi outre les items de la compétence Maîtrise de la langue française, on pourra évaluer la compétence Compétences sociales et civiles : Valeurs, symboles et institutions de la République ou encore Fonctionnement et rôle des différents médias).

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E. Intervention de Catherine Poedi

Représentant le lycée Do Kamo, Catherine Poedi nous a abordé différents points concernant son établissement. Dans un premier temps, elle a tenu à rappeler les bons résultats de la filière Littéraire à Do Kamo : 82 % de réussite au baccalauréat en 2011 (14 réussites pour 3 échecs). Elle a ajouté que de plus en plus, les élèves choisissaient cette filière contrairement à l’idée reçue qui veut que le baccalauréat L soit une orientation par défaut.

Elle a également présenté les nouveaux dispositifs institués par la réforme du lycée :

  • Le projet personnalisé de l’élève (PPE) qui doit regrouper le conseiller d’orientation, le professeur principal de l’élève et l’enseignement chargé du suivi de ce PPE. La mise en place de ce projet permet aux élèves de se déterminer plus rapidement sur des orientations post-baccalauréat. Le dispositif de pré-inscription à l’université a également été très positif. Seul bémol à ces procédures, l’absence de prise en compte de la personnalité de l’élève, sur ses savoir-faire, ses savoir-être. On n’oublie les critères humains pour ne s’en tenir qu’aux notations des bulletins. Il faudrait peut-être définir des compétences autres que celles retenues par les institutions dans le travail d’orientation des élèves (ce que le socle commun permet de faire, en donnant la possibilité à l’équipe éducative de créer des compétences originales).
  • Les enseignements d’exploration choisis à Do Kamo ; ceux-ci s’orientant vers des sujets fortement localisés (L’exposition des Kanak via le livre de Didier Daeninckxs, Les bambous gravés). La présentation des enseignements d’exploration de Do Kamo est consultable sur le site du lycée : www.dokamo.nc (menu Pédagogie/Enseignement d’exploration)

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F. Documents à télécharger

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