Le mardi 6 juin 2017 s’est déroulée au Centre culturel Jean-Marie Tjibaou une formation à destination des équipes de direction des collèges de l’Alliance Scolaire (ASEE). Cette formation a été animée par les trois animateurs du secondaire : Aurélie Poyau, Rémy Vanhalle et Michel Malgouzou. La formation a commencé par un compte-rendu de l’expérience vécue par le collège Jeanne d’Arc en la personne de Madame Corinne Durand Degranges, sa directrice, connue pour être une des animatrices du site weblettres.net. Ensuite, des propositions méthodologiques concernant la mise en place des emplois du temps pour l’année 2018 et la répartition des évaluations des items du socle commun par matière et par niveau.

Rémy Vanhalle, Luc Gaulon, Hubert Kauma, Alexandra Chanene, Aurélie Poyau, Eric Gravina, Jamulo Manane, Babeth Siapo, Marcel Menaouer, Hmeleue Lawi, Nathalie Qanune

Directeurs de collèges de l’ASEE

Cette formation n’est bien sûr qu’un premier pas vers la mise en place totale et efficace de la réforme adoptée par le Pays et tirant sa source première de la réforme métropolitaine.

Vous trouverez en pièce jointe un dossier compressé contenant les documents d’appui de cette formation.

Documents de la formation du 6 juin 2017

La commission de sciences de la vie et de la terre de l’année 2014, animé par Rémy Vanhalle (animateur de sciences de l’ASEE), a eu lieu le vendredi 8 août. Les professeurs présents à cette commission étaient : Mme Ajapuhnya Évelyne et M. Lawi Hmeleue (Collège de Havila), M.Tangopi Didier (Collège Eben Eza), Mme Iwe Marie-Danielle (Collège de Taremen), M. Bearune Jean (Collège Dö Mwà), M. Manane Abraham (Collège de Do Neva), M. Song Jacky (Collège de Baganda), et M. et Mme Bahri Hassan et Maryline (Lycée Do Kamo), ainsi que Mme Carole Bernard (Collège Tiéta FELP) en tant qu’invitée.

L’ensemble des professeurs présents a grandement apprécié la présence et les interventions de Madame Perez, notre IA-IPR en SVT.

 

A. Présentation.

La commission des sciences de la vie et de la terre a débuté à 8 h 15. Les enseignants se sont présentés aux membres de la commission et à Mme Perez. Madame Wright Stéphanie du collège de Hnaizianu, s’est excusée. Le lycée agricole de Do Neva, n’a pas été représenté. Il est à noter également que notre collègue du collège de Boaauva Kaleba qui devait être présente n’est pas venue, sans appeler pour fournir un motif d’excuse.

 

B. Présentation des diverses activités, pour la création de la banque de données sur l’environnement calédonien.

Maryline Bahri

Et son mari ont présenté leurs activités. Elle commence par un diaporama de présentation, qui porte sur la première partie, « la biodiversité ».L’enseignant montre les axes de polarités aux élèves. Le document montre des vertébrés endémiques comme le poisson Gobi (eau douce) et le gecko.Les élèves découvrent et travail, il est possible de remontrer les axes en TP. Les documents traités montrent une chauve-souris unique de la région de Hienghène que l’on trouve principalement dans le temple de Tendo.Un contre-exemple sera également pris sur l’étoile de mer pour ses axes de polarités.Notre collègue Carole Bernard rappelle à tous que le terme de reptile n’est plus dans la classification, nous devons utiliser le terme de squamate.

L’enseignante a présenté également  un TP sur Phylogène liée aux diaporamas.

 

Jean Bearune

A présenté plusieurs activités sur différents niveaux. —- — Niveau cinquième géologie externe.

L’activité est basée sur des observations, elle montre de grandes différences entre les deux types de paysages (mine Nakety), il faut retrouver le paysage, les formations, le relief, la présence de l’eau.

Il est demandé de compléter le bilan, possibilité de donner une aide suivant le niveau des élèves.

La troisième activité permet de déterminer deux types de roches, la clé de détermination est fournie. Utilisation d’expériences et un bilan d’expérience est attendu pour cette activité. Une carte sert d’aide suivant le niveau des élèves.

Une photographie montre une cheminée de fée, qui s’est formée à Canala sur de la cuirasse.

Action de l’érosion sur des fissures, elles sont à peine marquées, car on est au début du phénomène.

 

Activité en classe de sixième sur la répartition des végétaux.

 

L’enseignant fournit aux élèves un document déclenchant. L’activité est basée sur la mangrove et les autres facteurs qui peuvent influencer le peuplement des végétaux.

Une séquence vidéo est fournie, elle traite des marais salants.

 

Madame Perez, précise qu’il est important d’être précis dans l’énoncé des activités. Les élèves doivent savoir ce qui les attend (l’élève doit savoir ce que l’enseignant attend comme travail). Madame Perez rappelle que la terminologie des professeurs peut amener à des situations problématiques. L’allègement des informations peut aider les élèves à mieux comprendre.

Il faut que la mise en situation soit également allégée en informations.

Les termes des consignes sont à étudier, elles doivent transmettre uniquement le travail que l’on attend des élèves.

Il faut des repères explicites, dire clairement ce que l’on attendait des élèves, il faut dire ce que l’on attend comme production.

Les enseignants et surtout les activités doivent être très motivants.

L’ensemble des enseignants utilise une modélisation pour leurs activités, leur entête, leur évaluation. Il faut être méfiant, car la modélisation peut par habitude entrainer une surcharge d’informations.

Le socle commun de compétences doit être évalué juste de temps en temps. Le socle représente ce qui compte.

Les élèves doivent être actifs, les élèves doivent travailler.

Réussir les apprentissages.

Nous devons privilégier les apprentissages.

De temps en temps, une mise à l’épreuve permet de vérifier leurs capacités ce qui a pour conséquence une consolidation de leur apprentissage. Méthode qui peut refléter plusieurs aspects, qui peut être écrite ou orale.

« Ce que je leur fais faire doit leur servir »

Il faut donner des exemples du territoire de la Nouvelle-Calédonie, les faire voyager et les ouvrir culturellement.

 

Lawi Hmeleue

Professeur du collège de Havila, présente une tâche complexe, dont la structure est une modélisation.

Pour la faire, il a 6 groupes de 3 élèves. Il présente les documents aux élèves. Il est à noter un manque au niveau de l’autoévaluation.

Madame Perez rappelle que la consigne doit être explicite, les collégiens doivent acquérir quelques notions essentielles alors que les lycées les consolident et en apprennent des nouvelles.

Il est essentiel que les élèves apprennent en travaillant en groupe les connaissances. La répétition des séances de travail pratique a pour but de mettre en place des automatismes qui auront un impact sur les élèves en déclenchant « le goût » pour cette matière.

Quand l’enseignant utilise une séquence vidéo, il faut un réel travail, imposer que les élèves le fassent en groupe pour poser la ou les questions. Par exemple, en groupe, ils travaillent sur quelles questions à poser au professeur ou aux autres élèves, « la méthodologie de questionnement ».

Il faut cultiver la motivation, la recherche et le questionnement pour développer le goût des élèves pour la SVT.

La mémorisation ne doit pas être insignifiante, il faut des rituels d’interrogations qui peuvent être oraux et/ou écrits, par exemple un élève pris au hasard, qui va interroger les autres élèves.

Quand l’activité porte sur une séquence vidéo, il faut un vrai travail, grouper les élèves pour qu’ils élaborent un questionnaire qu’ils poseront au professeur ou aux autres groupes d’élèves.

Il faut cultiver la méthodologie du questionnement.

Le professeur doit obtenir une meilleure motivation, ce qui a pour conséquence de meilleures recherches et un meilleur questionnement.

Il faut changer, inventer les interactions, elles doivent être moins scolaires. Le professeur doit mettre en place un rituel pour vérifier s’ils savent s’interroger.

 

Carole Bernard

Présente une activité du niveau cinquième (évaluation). Carole pousse les élèves à utiliser un tableau, elle demande en une phrase pourquoi le tableau permet de mieux comprendre.

Il faut se demander en quoi le tableau aide à mieux comprendre.

Carole présente également une tâche complexe sur la pêche au dugong (niveau quatrième). Les élèves doivent faire une restitution sur le travail fait.

Notre IA-IPR, Mme Perez nous rappelle que nous ne devons pas utiliser tout le temps, le jeu de rôles, pour la mise en situation. Il faut procéder différemment.

Dans une activité ou une tâche complexe, nous pouvons utiliser du concret (documentations authentiques), comme les lois, les affiches des provinces, des associations.

Cette tâche complexe a une utilité plus poussée, car elle permet aux élèves de s’exercer à la citoyenneté à travers l’attitude (respect individuel menant au respect collectif). Comme les campagnes de prévention, exemple de la campagne contre les IST (santé), où des animateurs et du personnel de la DPASS viennent sensibiliser les élèves.

L’utilisation de documents réels par exemple l’extrait du journal télévisé permet d’utiliser les objets les moins scolaires possible pour créer la mise en situation.

Il est important pour les élèves en difficulté que le professeur utilise des mises en situation plus authentiques et moins scolaires pour augmenter l’intérêt et la motivation.

Activité au niveau sixième, l’élève doit être focalisé sur un travail. Une activité n’est pas réservée à de la méthodologie. On peut demander aux élèves de faire une phrase de conclusion puis de la mutualiser.

Nous ne devons pas demander des choses trop complexes quand les élèves sont en difficultés.

« Quand on normalise de trop on ne voit plus la globalité »

L’élève doit faire ses propres écrits de recherche, de conclusion avant la mutualisation.

Il est important que l’élève arrive à l’idée qui sert de conclusion. Le but de l’élève pendant la séance, c’est de trouver l’idée appropriée.

Le professeur doit varier les méthodologies pour que l’élève s’exprime. Une activité doit aboutir à quelque chose de concret et de précis. Elle peut montrer les différents acteurs régionaux, comme la province, la mairie, les associations, etc. Elle aura alors pour base des documents authentiques.

Par exemple, sur un fond posé par un document venant d’une association, on peut demander aux élèves d’identifier les différents acteurs, elle peut avoir comme but d’éduquer à la citoyenneté les élèves.

Il est important quand on utilise des documents autres que les siens, de renseigner la source d’origine.

Une bonne activité doit se faire sur l’étonnement des élèves.

 

Jacky Song

présente une activité sur les conditions de germination. On retrouve la recherche d’hypothèses et il demande de présenter le problème résolu à l’oral.

Des documents pris dans différents manuels permettent de rappeler que nous devons préserver la propriété intellectuelle en mettant leurs origines.

L’étude de graphisme ne peut se faire qu’après avoir travaillé la fiche méthode, rappeler l’étymologie du graphique.

Toute activité doit intégrer le B2i et l’utilisation du matériel réel.

Jacky nous a présenté également une activité de quatrième sur les risques géologiques.

Le document est une évaluation formative qui est basée sur les risques sismiques, elle est formée d’un texte sur les séismes pris sur le site de l’IRD www.seismes.nc

On peut également utiliser la problématique : « Comment mesurer les risques de tsunami »

À l’aide d’une séquence vidéo, sur les tsunamis qui ne concernent que les séismes qui se produisent en mer.

Jean Bearune, lui préfère le logiciel « Tecnoglob ».

C. Questions diverses

Les professeurs présents ont demandé :

  • De faire une sortie de géologie ou de botanique ou une conférence sur l’addictologie
  • Une commission décentralisée
  • De mettre en place le stage d’ExAO avec M. Frédéric Uyttenov, en fin d’année.
  • Que la commission soit couplée avec une formation. Permettant un espace de formation sur 2 ou 3 jours.

Un des professeurs qui été présent, a demandé que je pose la question à la prochaine commission formation de l’ASEE « Pourquoi l’enseignement privé ne peut pas participer aux formations extérieures au Territoire mis en place par le Plan Académique de Formation ? »

La commission de mathématiques, de l’année 2014, a eu lieu le, vendredi 16 mai 2014. Elle a été animée par Rémy Vanhalle (Animateur de sciences de l’ASEE). Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Evelyne Pebou Polae (Collège Boaouva Kaleba), Dalila Messous (collège Baganda), Manoël Gasser (Collège Do Neva), Rémi Champoussin et Ingriid Tieya (Lycée agricole Do Neva), Seleone Tuulaki (collège de Dö Mwà), Damien Aymeric (Lycée Do Kamo), Hervé Pennec (Collège Eben Eza), Edouard Waitronyie et Franck Dubroca (Collège Havila), Pascal Wapae (Collège Hnaizianu), Olivier Levet (collège de Mou – FELP) et Joël Kakue ‘Chef de service du SPP).

 

A.   Présentation

La commission de mathématiques a débuté à 8 h 25. Le professeur Serge Desmet, du collège de Taremen, n’était pas présent, mais il s’est excusé.

Les professeurs du lycée agricole ont demandé à ne pas revenir l’après-midi, car ils n’ont pas le même référentiel que leurs collègues des collèges et ils ne passent pas le même DNB. Je comprends leurs raisons et j’ai donc accepté de les libérer.

La commission a accueilli un collègue de la FELP, M. Levet Olivier qui avait été invité à y participer. L’animateur proposera une invitation aux autres professeurs de mathématiques de la FELP, pour la commission de 2015.

B.   Élaboration du Brevet Blanc de mathématiques

L’ensemble des professeurs de mathématiques ont établi sur quelles parties du programme porteront les exercices du brevet blanc de l’ASEE. Les chapitres choisis sont sur Pythagore, le PGCD, les probabilités, le calcul littéral et les identités remarquables, ainsi que les équations. Ne seront pas traités les exercices sur la géométrie dans l’espace, les statistiques, les racines carrées, les grandeurs caution et produits.

L’ensemble des professeurs a décidé d’abandonner la tâche complexe de l’année dernière, car seuls des élèves exceptionnels avaient pu répondre à cet exercice.

Il a été demandé que chaque exercice soit intitulé de titres plus ou moins humoristiques.

Un échange fructueux s’est alors établi pour choisir les différents exercices :

Exercice 1, portera sur un QCM. Il y aura une question sur les puissances, une question de bon sens, et une question sur les fractions.

Exercice 2, sera un exercice sur Thalès. L’animateur devra changer le dessin, pour le rendre plus attrayant en mettant une photographie d’un pick-up et intituler la zone grisée « zone non vue par le conducteur ».

Exercice 3, pour cet exercice le choix s’est porté sur le PGCD. L’animateur a choisi un exercice comportant des noms scientifiques pour essayer d’enrichir le vocabulaire des élèves tout en utilisant un thème qui leur est proche.

Exercice 4, l’animateur a choisi un exercice portant sur les identités remarquables, je pense qu’il permettra aux élèves de gagner quelques points.

Exercice 5, Manoël Gasser a proposé un exercice de probabilité, en l’adaptant avec des paramètres qui parlent davantage aux élèves comme les clés USB ou les consoles de jeux PSP.

Exercice 6, est un exercice qui traitera du calcul littéral, il mettra en avant les compétences du B2I, car il utilisera un tableau de type Excel.

Exercice 7, il est une redondance du 3. À l’origine il était l’exercice choisi pour traiter les PGCD. Je l’ai déplacé et modifié pour augmenter le nombre de points, il a été adapté, pour permettre une meilleure compréhension de nos élèves.

Exercice 8, M. Damien Aymeric en sa qualité d’ancien professeur des collèges a soumis à la commission cet exercice qui s’intéressera à Pythagore.

Exercice 9, Tablera sur un exercice de logique liant le calcul littéral à une identité remarquable.

 

La commission de mathématique avait arrêté le nombre d’exercices à 7 pour le brevet blanc 2014 de l’ASEE, mais un souci sur le décompte des points et pour une meilleure répartition, j’ai décidé d’ajouter les exercices 3 et 4.

 

L’animateur a proposé d’élaborer la correction, pour permettre la prolongation des débats. J’ai décidé de soumettre ce brevet blanc ainsi que sa correction à une vérification par des professeurs certifiés du public.

C.  Le socle commun de compétences

À 13 h 15 lors de la reprise de la commission une question a été posée sur le socle commun et j’ai demandé l’expertise de Franck Dubroca, qui depuis plusieurs années, se sert de Pronote pour le Socle. Il a montré à ses collègues comment créer, son propre tableau d’item par niveau. Les manipulations pour évaluer les items, comment faire le transfert dans Pronote. Il a également parlé de la validation qui ne peut être faite qu’en classe de troisième.

D.  La progression spiralée

Nous avons poursuivi sur l’ordre du jour, avec l’élaboration d’une progression spiralée en classe de sixième. Le débat a démontré qu’il était préférable de faire une progression pour le niveau de troisième et de poursuivre l’élaboration de manière descendante.

Le travail d’élaboration a abouti à la structure suivante pour la progression :

Domaines

Thèmes

Séquences

 

Le premier domaine est « Nombre et Calcul ». Le thème est à choisir en privilégiant des accroches qui sont proches de l’environnement et des centres d’intérêt de l’élève. L’ensemble des professeurs a établi quatre séquences.

(1)  Rappels            : Arithmétique

Fraction

Priorité des opérations (règle de calcul)

Écriture scientifique avec les puissances de 10

(2)   Statistique         : Feuille de calcul

Organisation des données

Calcul de fréquences de moyennes

(3)  Rappels             : Géométrie cercle circonscrit

Pythagore

Triangle rectangle

Thalès de quatrième avec la proportionnalité des longueurs et la proportionnalité des milieux

(4)  Unité – Conversion – Vitesse moyenne

 

Étant donné le manque de temps, l’animateur a demandé à chaque professeur présent de lui envoyer une proposition de progression spiralée avec la structure « Domaine – Thème – Séquences » pour qu’il puisse en faire une synthèse qu’il proposera à la prochaine commission.

E.   Questions diverses

Les professeurs ont émis le souhait que la commission 2015 ait d’autres thèmes que l’élaboration du brevet blanc de l’ASEE. J’accepte cette demande, mais il faut que les professeurs de mathématiques jouent le jeu et me fournissent le travail sur la progression spiralée de troisième. Elle sera ma base pour travailler et élaborer les exercices du prochain brevet.

 

L’animateur pédagogique de sciences – ASEE

Vanhalle Rémy

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Cette commission 2014 était animée par Maryline Wagino (Collège Havila, coordinatrice d’histoire-géographie) et s’est déroulée le vendredi 18 juillet 2014. Les enseignants présents à cette commission étaient les suivants : Glenda Cibone (remplaçante de Fabrice Toulec, collège Baganda), Kapia Wahmetu (Collège Do Néva), Maryline Wagino, Françoise Lawi (Collège Havila), Steeve Hmae (Lycée agricole Do Neva) Jacqueline Waia (Collège Taremen), Robett Naxue (Collège Hnaizianu).   Excusé : Collège Boaouva Kaleba.  Absent : collège Dö Mwà, lycée Do Kamo

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A. Brevet blanc ASEE 2014

L’animation secondaire de l’ASEE a formulé le souhait de faire passer les épreuves plus tôt (dates prévues : lundi 22 et mardi 23 septembre) puis d’échanger les copies pour les corrections ; le service pyschopédagogique  se chargeant de toute la logistique (récupérer les copies, faire les échanges, les récupérer et les renvoyer). Étant donné le retour tardif des copies dans les établissements, la commission propose de faire une correction regroupée à Nouméa avec des professeurs de tous les établissements ; les professeurs présents à la commission s’y engagent. La correction aurait lieu soit le vendredi 3 ou soit le vendredi 10 octobre (veille des vacances), dans les mêmes conditions qu’à la correction du diplôme national du brevet (DNB). Les échanges seraient profitables pour les enseignants débutants.

 Voici quelques remarques de cette commission :

  • L’avancée des programmes est variable selon les établissements suite à des progressions différentes et des retards. NB : Il sera impératif de finir les programmes pour une meilleure chance de réussite des élèves à l’examen.
  • Pour le Brevet blanc, il est convenu que les sujets porteront sur [contenu dévoilé après le brevet blanc].
  • L’an prochain, la commission se tiendra assez tôt après la rentrée et on cherchera à établir une progression commune et les stratégies pour boucler les programmes à tous les niveaux et obligatoirement en 3ème.
  • L’élaboration des sujets a été l’occasion d’échanger sur nos pratiques en classe et les types d’évaluations données. Les sujets seront en ligne après le Brevet blanc.

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B. Compétences en histoire, géographie et éducation civique

Un stage organisé par l’Inspecteur pédagogique régional (IPR) a eu lieu en mai 2014 et des fiches sont disponibles sur le site www.ac-noumea.nc ; consultez également d’autres sites académiques qui en proposent de très intéressantes de même que le site www.eduscol.fr avec en particulier les fiches du vade mecum .

  • Les repères
    Tout enseignant s’attache à faire acquérir pour chaque niveau et faire réviser ceux du/des niveau(x) précédent(s).Le travail en classe peut se faire sur une frise et un planisphère à compléter au cours de l’année en fonction de l’avancée des programmes ou au moment de révisions ou de corrections.En plus des exercices et évaluations habituels, on peut varier par des QCM, des devinettes… et donner du sens.
  • Les principaux verbes de consigne en Histoire-géorgaphie-éducation civique (HGEC)
    La maîtrise des consignes en HGEC est importante, l’élève doit comprendre ce qu’on lui demande pour donner la réponse attendue.On insiste sur la liste des 10 principales consignes.

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  • Le langage cartographique
    Les programmes indiquent les cartes de tous types et à toutes les échelleset les croquis à travailler; l’initiation dès la 6ème se poursuit par un approfondissement tant par la lecture que par la réalisation. Cette compétence est importante pour le brevet et le lycée :localiser, situer, discriminer-distinguer différents types d’espaces, organiser une légende, choisir les figurés…
    Les cartes et croquis sont à mémoriser pour permettre un raisonnement sur l’espace et petit à petit exercer un esprit critique mais aussi avoir une ouverture sur le monde.
  • Résumer une leçon par un schéma
    Les enseignants relèvent un problème récurrent de travail, d’apprentissage de leçons et de méthodologie. La plupart des manuels proposent en fin de chapitre un schéma qui résume les idées importantes, dates et notions. On peut travailler ainsi avec nos élèves.

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C. Développement construit au collège

On peut proposer une méthode à partir des 5 questions suivantes :

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Exemple pour la Première Guerre mondiale

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Ce travail commence dès la 6ème :

  • Les élèves rédigent quelques phrases puis progressivement, on augmente les exigences pour arriver à une vingtaine de lignes en 3ème.
  • Les élèves participent à la trace écrite de la leçon.
  • Pour les devoirs, il faut les habituer à travailler avec un brouillon, mettre les idées à partir des 5 W, les organiser … et se relire.

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D. Questions diverses

Les questions diverses ont porté sur :

•    L’histoire des Arts
•    Le concours du Petit Historien-Petit Géographe
•    Attention : c’est la dernière année pour passer le CAER interne avec la licence ; il faudra ensuite être titulaire du master 2. Pour tout renseignement, s’adresser à l’animation secondaire (malgouzou@gmail.com, r.vanhalle@asee.nc).

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Cette commission 2014 était animée par Michel Malgouzou (Animation de lettres, direction) et s’est déroulée le vendredi 6 juin 2014. Les enseignants présents à cette commission étaient les suivants : Claire Bafue (lycée agricole Do Néva), Maylis Oroffino (Collège Havila),  Philomène Caba (Collège Taremen), Jacqueline Wright (Collège Hnaizianu). Roseline Enoka (Collège Dö Mwà), Jade Hmae, Joachim Pebou-Poale (Collège Boaouva Kaleba), Monique Wadewe-Lamothe (Lycée Do Kamo). Excusées : Collège Eben Eza, Collège Baganda. Absent : collège Do Neva.

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A. Opération Lectures suivies – 2015

Nous devons absolument faire que nos élèves deviennent des élèves lecteurs afin d’améliorer l’axe concernant la maîtrise de la langue française qui fait partie de nombreux projets d’établissement dans les collèges et lycées de l’Alliance Scolaire (ASEE).

Devant la récurrence de nos problèmes budgétaires et l’évolution du pouvoir d’achat de nos parents d’élèves, l’animation secondaire de lettres de l’ASEE propose qu’une opération Lectures suivies soit menée dans nos établissements. Cette opération doit respecter les points suivants :

  • Achat des livres par nos parents d’élèves
    Nos parents d’élèves achèteront les livres proposés par l’animation de lettres. Cela permettra aux élèves de posséder des livres et de créer des embryons de bibliothèques personnelles. Si nous partons sur une base de trois livres par année de collège, un élève scolarisé aura acquis une douzaine de livres. Dans le cas d’une famille de trois enfants, cela fera 36 livres. Cela palliera l’absence de l’objet livre dans le foyer de nos enfants.
  • Une sélection unique pour tous les établissements
    Une sélection de trois livres par niveau sera proposée par l’animation de lettres. Cette sélection se fera en consultant les éditeurs de littérature jeunesse (voir lien http://oeildailleurs.blogspot.com/2012/06/annuaire-des-editeurs-jeunesse.html). Cela aboutira à une sélection de 12 livres pour le collège. Dans cette sélection, on intégrera dans la mesure du possible quatre livres de littérature jeunesse locaux, trois ou quatre classiques de la littérature jeunesse. Si le prix n’en est pas rédhibitoire, une ou deux bandes dessinées sera incluses dans cette sélection.
  • Planification rigoureuse
    Un calendrier précis sera adopté afin d’informer les parents concernant l’achat de ces trois livres. Bien sûr, comme les implications budgétaires sont importantes mais pas insurmontables, il faudra être très précis dans le rassemblement des fonds dans les différents établissements.

    • Sélection des 12 livres
    • Étude de faisabilité des commandes auprès des éditeurs (fret, prix négocié, disponibilité du stock)
    • Commande des 12 livres par établissement pour que les enseignants s’approprient les œuvres en les lisant avant les élèves
    • Récolte des fonds auprès des parents début 2014
    • Commandes des livres
    • Distribution et début d’exploitation en classe
    • Proposition de séquences communes durant la commission de français 2015

Voici les implications budgétaires concernant cette opération :

1. Commande des livres en métropole et sur le Territoire pour chaque collège : 10 000 francs

2. Récolte des fonds auprès des parents d’élèves : 2500 francs élèves
D’après les effectifs 2014, un même livre sera commandé en moyenne à 330 exemplaires, ce qui nous permettra de négocier nos tarifs à la baisse. La fourchette de 2500 francs étant une fourchette haute qui nous permettra de ne pas avoir de surprises financières. Nous proposons également un financement tripartite : 1500 francs de la part des parents d’élèves, 500 francs sur le budget de fonctionnement du collège et 500 francs de la part de l’association des parents d’élèves.

EtablissementEffectifs 2014ParentsCollègeAPETotal
Collège Baganda1672505008350083500417500
Collège Boaouva Kaleba1041560005200052000260000
Collège Dö Mwà751125003750037500187500
Collège Do Neva791185003950039500197500
Collège Eben Eza851275004250042500212500
Collège Havila386579000193000193000965000
Collège Hnaizianu1442160007200072000360000
Collège Taremen213319500106500106500532500
Total3132500

Bien sûr, cette opération devra se renouveler tous les ans pour que des effets sur le long terme  soient constatés. Il faudra également profiter de la présence de ces livres pour mettre en place des séquences communes ou des évaluations communes. Le succès de cette opération sera fonction de l’adhésion des enseignants de français qui auront validé la sélection des livres proposée par l’animation secondaire.

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B. Brevet blanc 2014 et 2015

Le brevet blanc 2014 a été conçu par l’animation de lettres. Le texte et la dictée ont été extraits du livre Christian Karembeu, un champion Kanak d’Anne Pitoiset et Claudine Wery. La relecture en commun a permis de modifier la formulation de certaines questions, de réduire le texte de la dictée et de rectifier le barème de notation.

Il avait été prévu qu’un échange de copies eût lieu pour cet exercice 2014, mais apparemment l’information pourtant communiquée au chef de service du secondaire fin 2013 (calendrier envoyé aux établissements à cette même période) n’a pas été transmise aux directeurs des collèges. Il est bon de rappeler que cet échange de copies a été proposé afin que les établissements plus modestes de l’ASEE puissent bénéficier de copies en provenance de collèges (Havila notamment) où l’équipe pédagogique est plus étoffée et plus importante. Cette action de solidarité pédagogique a bien été comprise par tous les participants de la commission. Pour éviter un dysfonctionnement de cette opération cette année, il a été décidé que l’échange des copies ne se fasse que l’année prochaine en avançant la date du brevet blanc. Il est clair que l’information doit absolument être claire et nette ; à cet effet, un courrier concernant l’échange de copies en 2015 sera envoyé rapidement aux collèges pour que les couacs de cette année ne se reproduisent plus. Pour 2014 –brevet organisé dans les établissements du lundi 22 au 26 septembre 2013, il sera demandé que deux rédactions par établissement soit communiquées par les établissements et que ces copies soient corrigées par tous les enseignants de français des classes de 3ème de l’ASEE ; cela permettra de comparer les méthodes de correction durant la commission de français 2015.

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C. Evaluations en ligne 5ème 2015

Comme prévu l’année dernière, le besoin d’une évaluation des élèves accueillis par les collèges de l’ASEE s’est fait ressentir. Depuis la disparition des évaluations communes de 6ème depuis 2013 (dernières évaluations en ligne de 6ème 2012 en ligne à l’adresse suivante : http://www.alliance-scolaire.nc/?page_id=2357), l’ASEE doit mettre en place une évaluation commune. Pour éviter la surcharge du travail relative à une évaluation papier (impression, distribution, collecte des résultats), il a été décidé qu’une évaluation en ligne serait créée. L’animation de lettres avec l’animation scientifique se charge de mettre en place un protocole de test tenant compte des critères suivants :

  • Les salles informatiques doivent être accessibles et fonctionnelles
  • Chaque élève doit pouvoir s’identifier de manière unique (système d’identifiant à mettre en place)
  • Les résultats doivent être traités de manière la plus automatique possible ; il est nécessaire cependant qu’une partie rédactionnelle soit effectuée par les élèves. Dans ce cas, c’est l’enseignant qui devra –toujours en ligne- saisir les critères de réussite de cet exercice.

Ce galop d’essai sera effectué soit fin 2014 soit à la fin du premier trimestre 2015. Le prototype de ce test en ligne servira de modèle pour toutes les évaluations communes à venir autant en français que dans les autres matières.

 

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D. Formations 2014 et 2015

Malgré les demandes répétées de l’animation secondaire (collectif du service psychopédagogique, réunions de direction, commissions formation, etc.), l’Alliance Scolaire n’a aucune visibilité sur le budget formation APEP de l’année 2014.

Pour rappel, l’animation secondaire a proposé deux formations majeures pour l’année 2014 :

  • L’accueil et la formation des jeunes enseignants de l’ASEE au cours d’une formation de quatre journées (cette formation se décomposerait en deux parties : deux jours concernant les compétences générales attendues d’un jeune enseignant, la présentation du système éducatif secondaire, la manipulation de Pronote, des astuces concernant la tenue de classe –discipline notamment avec intervention de CPE de l’enseignement public- et deux jours avec un professeur ressource de la matière enseignée qui permettra au nouvel enseignant de mettre en place sa progression annuelle, de découvrir les exigences des instructions officielles et de travailler sur une séquence type.
  • La préparation du dossier RAEP d’admissibilité du CAPES interne durant quatre jours au mois d’octobre encadrée par un enseignant certifié ou agrégé. Pour rappel, les 6 pages exigées correspondent à la deuxième partie du dossier RAEP. Dans cette partie le candidat développe plus particulièrement, à partir d’une analyse précise et parmi les situations d’éducation observées en collège ou en lycée, l’expérience qui lui paraît la plus significative dans sa contribution au fonctionnement de l’établissement scolaire, à sa collaboration avec les personnels enseignants et les autres personnels et à l’action éducative.

Pour nous, cet exercice de rédaction permet s’il n’aboutit pas à la réussite au concours à une action de formation continue excellente puisqu’elle permet de revenir sur ses pratiques pédagogiques. La formule de quatre jours pendant la première semaine d’une période de quinze jours de vacances scolaires correspond parfaitement à la disponibilité de nos enseignants ; les formations proposées par le vice-rectorat et malheureusement par la DDEC sur une formation commune ASEE-DDEC ne convient qu’à des enseignants basés sur Nouméa. La direction de l’ASEE n’a pas cependant réagi à la dépossession de cette formation par la DDEC alors qu’historiquement ces formations du CAPES interne avaient été mises en place par la commission d’histoire-géographie de l’ASEE (Nicolas Kurtovitch, Pierre Ngaiohni, Victor Ihage notamment).

Devant l’absence de visibilité budgétaire et les problèmes de coordination avec l’APEP, l’animation secondaire propose que l’ASEE sorte de l’APEP et gère seule son budget formation. Pour information, si nous dispositions de 0.7% de la masse salariale des enseignants du secondaire, l’ASEE disposerait d’une somme de 9 millions de francs XPF ; ce qui serait largement suffisant pour former ses enseignants en faisant appel à des formateurs locaux.

 

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La commission de sciences physiques et chimie 2013 était animée par Rémy Vanhalle (animateur de sciences de l’ASEE). Elle s’est déroulée le vendredi 22 novembre. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : M. Jérôme Doppler, M. Thierry Eynard, M. Yves Dupin de Saint-Cyr, M. Hervé Pennec et M. Éric De Acuna.

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A.     Présentation

La commission de sciences physiques et chimie a débuté à 8 h 50. Le professeur excusé était du collège de Baganda.

Les enseignants du collège Dö Mwà, du collège Do Neva, du lycée agricole de Do Neva, ne se sont pas présentés.

Les professeurs des collèges de Havila et Hnaizianu ont expliqué pourquoi ils ne sont pas venus après la commission.

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B.     État des lieux des laboratoires dans les établissements

Pendant le tour de table, chaque professeur a présenté l’état de son laboratoire dans son établissement.

Pour Thierry et Jérôme du lycée Do Kamo, leur labo est dans un bon état. Il y a 10 ordinateurs dans le labo qui seront remplacés par des ordinateurs neufs. Les terminales peuvent réaliser des travaux pratiques d’expérimentation assistée par ordinateur. Jérôme à gérer un dossier de subvention qui a permis d’obtenir une aide de la province Sud. La gestion de cette subvention est dans les mains du service immobilier de l’ASEE.

Au collège Boaouva Kaleba, Yves signale qu’il n’y a pas d’eau dans le laboratoire. Il manque également des manuels, avec le nouveau programme. Il y a suffisamment de matériel pour les TP d’électricité, mais les normes de sécurité sont à revoir. Yves fait tous les TP en salle informatique.

À Maré, au collège de Taremen, Éric signale qu’il y a plus de matériels d’électricité que de chimie. Il n’existe pas de véritable salle de Travaux Pratiques, il manque de l’eau. Pour les manuels, il utilise le cahier d’activités, des éditions Durandeau.

À Ouvéa, au collège d’Eben Eza, Hervé a un nouveau laboratoire équipé. Il lui manque des manuels, avec le socle commun (nouveaux programmes des collèges).

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C.     Activités expérimentales et démarche d’investigation

Présentation et étude d’un document que j’ai élaboré sur la démarche d’investigation.

La démarche d’investigation est une nouvelle manière d’enseigner.

Une présentation par l’enseignant est parfois nécessaire, mais elle ne doit pas constituer l’essentiel d’une séance dans le cadre d’une démarche qui privilégie la construction du savoir par l’élève.

Il appartient au professeur de déterminer les sujets qui font l’objet d’un exposé et ceux pour lesquels la mise en œuvre d’une démarche d’investigation est pertinente.

La démarche d’investigation présente des analogies entre son application au domaine des sciences expérimentales et à celui des mathématiques.

Une éducation scientifique complète se doit de faire prendre conscience aux élèves soit de la proximité de ces démarches (résolution de problèmes, formulation respectivement d’hypothèses explicatives et de conjectures) et des particularités de chacune d’entre elles, notamment en ce qui concerne la validation, par l’expérimentation d’un côté, par la démonstration de l’autre.

 

Mise en œuvre de la démarche d’investigation.

Aspect d’une démarche

La démarche s’appuie sur le questionnement des élèves et sur la résolution de problèmes.

Les investigations réalisées avec l’aide du professeur, l’élaboration de réponses, la recherche d’explications et de justification débouchent sur l’acquisition de connaissances, de compétences méthodologiques et sur la mise au point de savoir-faire technique

Le professeur doit utiliser la démarche d’investigation chaque fois qu’elle est possible

La démarche d’investigation est basée sur l’observation, l’expérimentation par l’action directe par les élèves sur le réel

Une séance d’investigation doit être conclue par des activités de synthèse et de structuration organisées par l’enseignant, à partir des travaux effectués par la classe.

 

Canevas d’une séquence d’investigation.

Ce canevas n’est qu’un exemple

Une séquence est constituée en général de plusieurs séances relatives à un même sujet d’étude

Choix d’une situation, d’un problème.

Analyser les savoirs visés, déterminer les objectifs à atteindre

Repérer les acquis initiaux des élèves

Identifier les conceptions ou les représentations des élèves

Élaborer un scénario d’enseignement en fonction de l’analyse de ces différents éléments.

Appropriation du problème par les élèves.

Les élèves proposent des éléments de solution qui permettent de travailler sur leur conception initiale (confrontation des divergences pour favoriser l’appropriation du problème à résoudre)

L’enseignant guide le travail des élèves et parfois aide à reformuler les questions pour s’assurer de leur sens et centrer sur le problème à résoudre. Ce guidage ne doit pas amener à occulter ces conceptions initiales, mais au contraire à faire naître le questionnement.

Formulation de conjectures, d’hypothèses explicatives, de protocoles possibles

Formulation orale ou écrite de conjectures ou d’hypothèses

Élaboration éventuelle d’expériences, destinées à tester ces hypothèses ou conjectures

Communication à la classe des conjectures ou des hypothèses et des éventuels protocoles expérimentaux proposés.

Investigation ou la résolution du problème conduite par les élèves

Moment de débats internes au groupe d’élèves

Contrôle de l’isolement des paramètres et de leurs variations, description et réalisation de l’expérience (schéma, description écrite)

Description et exploitation des méthodes et des résultats, recherche d’éléments de justification et de preuve, confrontation avec les conjectures, les hypothèses formulées.

Échange argumenté autour des propositions élaborées

Communications au sein de la classe des solutions élaborées, des réponses apportées, des résultats obtenus, les interrogations qui demeurent

Confrontation des propositions, départ autour de leur validité, recherche d’arguments (cet échange peut se terminer par le constat qu’il existe plusieurs voies pour parvenir au résultat attendu).

Acquisition et structuration des connaissances

Mise en évidence, avec l’aide de l’enseignant de nouveaux éléments de savoir

Confrontation avec le savoir établi (comme autre forme de recours à la recherche documentaire, recours aux manuels), en respectant des niveaux de formulation accessibles aux élèves, donc inspiré des productions auxquelles les groupes sont parvenus

Recherche des causes d’un éventuel désaccord, analyse critique des expériences faites et proposition d’expérience complémentaires

Reformulation écrite par les élèves, avec l’aide du professeur, des connaissances nouvelles acquises en conséquence.

Mobilisation des connaissances

Exercices permettant d’automatiser certaines procédures, de maîtriser les formes d’expressions liées aux connaissances travaillées

Nouveaux problèmes permettant la mise en œuvre des connaissances acquises dans de nouveaux contextes

Évaluation des connaissances et des compétences méthodologiques

Un débat s’en est suivi, entre le lycée et le collège, car il faut savoir que depuis la réforme des lycées il est obligatoire que la démarche d’investigation  soit réalisée.

 

Nous avons poursuivi par l’étude de deux diaporamas sur la démarche d’investigation. Le premier met en exergue :

  • Pratique pédagogique qui place les élèves en situation de recherche en s’appuyant sur leur questionnement sur le monde réel.
  • L’objectif : Permettre aux élèves de mener des investigations avec l’aide du professeur qui doivent déboucher sur :

–      L’acquisition de connaissances ;

–      L’acquisition de compétences méthodologiques ;

–      La mise au point de savoir-faire techniques.

 

Le deuxième diaporama présente différentes tâches complexes (de l’académie de Besançon) qui sont pluridisciplinaires.

 

Les deux diaporamas peuvent être téléchargés à partir du drive, lié à l’adresse mail profsspc@asee.nc.

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D.     Réalisation d’une tâche complexe

Thème : structure de la matière

Niveaux : quatrième – seconde

Questionnement : Comment trouver la distance entre la foudre et moi ? (Différence entre la vitesse du son et la vitesse de la lumière)

Trouver des documents par rapport aux différentes vitesses

Pour la situation déclenchante deux vidéos, la première montrant un foudroiement proche de l’observateur, la deuxième montre un foudroiement éloigné, laissant entendre un décalage entre l’éclair et le tonnerre. Il faudrait fournir aux élèves un chronomètre pour qu’ils puissent mesurer l’écart de temps.

Pour la problématique, il faut  poser une ou deux questions, en question supplémentaire « comment savoir qu’un orage se rapproche ou s’éloigne ?»

Fournir aux élèves un document avec la vitesse de la lumière en ordre de grandeur. Un document annexe peut être donné, pour montrer combien de temps met le son pour faire le tour de la terre.

Inclure dans le document de travail les indicateurs de réussite.

Former des groupes de travail d’un ou deux élèves ayant un ordinateur un casque et un chronomètre.

Demander qu’un ou deux groupes présentent le travail qu’ils ont fait.

La production n’a pas pu être finalisée, il a été demandé aux professeurs présents de la terminer pour la présenter à la prochaine commission en 2014.

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E.     Questions diverses

  • trouver des simulateurs, des outils qui remplacent les travaux pratiques ;
  • Il est intéressant d’avoir un manuel numérique, pour le collège, permettant de l’intégrer dans différentes activités ;
  • demande de stage pour la création d’une progression commune à l’ASEE

 

Pour la prochaine commission en 2014 il sera demandé, qu’un enseignant de physique chimie représente son établissement et apporte une tâche complexe qu’il aura créée lui-même.

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La commission de sciences de la vie et de la terre de l’année 2013 était animée par Rémy Vanhalle (animateur de sciences de l’ASEE). Elle s’est déroulée le vendredi 29 novembre. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Mme Ajapuhnya Évelyne, Mme Wright Stéphanie, Mme Lynda N’Guyen Van Soc, M. Jacky Song et M. Guillaume Ganet.

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A.     Présentation

La commission des sciences de la vie de la terre a débuté à 8 h 40. Les professeurs excusés proviennent des établissements :

–          Collège de Boaouva Kaleba

–          Collège Do Neva

–          Lycée Do Kamo (M. Bahri a prévenu qu’il ne viendrait pas lors d’une rencontre informelle)

 

Les enseignants du collège Dö Mwà et du lycée agricole de Do Neva, ne se sont pas présentés.

La commission a accueilli, comme invité et nous l’en remercions de cette participation, Madame Carole Bernard, collègue de la FELP.

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B.     Présentation des diverses démarches dans les sciences expérimentales et en sciences de la vie de la terre

Après avoir fait un tour de table pour permettre aux professeurs de se présenter, j’ai diffusé un diaporama montrant les différentes démarches.

J’ai voulu recadrer les démarches et préciser l’importance que représente la démarche d’investigation dans les méthodes pédagogiques que les professeurs doivent adopter.

Le diaporama a permis de rappeler qu’il est souhaitable que les notions des programmes soient construites et non imposées. L’importance de l’argumentation, d’une part, et la proportion de celles apportées par le professeur et celle recherchée par les élèves, d’autre part, relèvent de la liberté pédagogique de l’enseignant. Ce préambule permet de rappeler que l’ensemble des professeurs utilise le plus souvent une démarche explicative.

Le professeur doit favoriser le questionnement des élèves en choisissant les situations déclenchantes appropriées.

Le professeur peut utiliser plusieurs types de démarches :

•             la démarche expérimentale

•             la démarche d’investigation

•             la démarche de projet

•             la démarche scientifique

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C.     La démarche expérimentale

La démarche expérimentale est « une méthode scientifique qui repose tout entière sur la vérification expérimentale d’une hypothèse scientifique » Claude Bernard. À la démarche expérimentale, nous pouvons associer la notion scientifique d’hypothèse et d’expérience permettant de faire et de refaire une vérification expérimentale d’une hypothèse.

Elle se base sur l’observation du réel, qui permet de se poser des questions à propos des phénomènes, de formuler l’hypothèse pour l’expliquer. On en déduit toutes les conséquences logiques, permettant de concevoir toutes les expériences possibles pour vérifier cette hypothèse et ses conséquences. Si toutes les expériences confirment l’hypothèse et ses conséquences, on peut formuler une règle générale appelée loi. Si une seule expérience contredit l’hypothèse et ses conséquences, on ne peut pas formuler de règle générale.

La démarche expérimentale n’est pas la seule démarche scientifique. L’observation, les mesures, l’enregistrement de données, la modélisation et la simulation sont également des démarches scientifiques. L’important est de pouvoir faire émerger les éléments observables quantifiables de les confronter à des hypothèses, de pouvoir maîtriser la démarche pour éventuellement reproduire et de discuter de ses résultats.

demarche_exp

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D.     La démarche d’investigation

La démarche d’investigation est formée de sept moments essentiels, l’ordre dans lequel ils se succèdent ne constitue pas une trame de manière linéaire. Le temps consacré à chacun de ces moments doit être adapté au projet pédagogique de l’enseignant.

1-le choix d’une situation déclenchante (problème)

2-l’appropriation du problème par les élèves

3-la formulation d’hypothèses explicatives de protocoles possibles

4-les investigations ou la résolution du problème fait en autonomie par les élèves

5-l’échange argumente autour des propositions

6-l’acquisition et structuration des connaissances

7-la mobilisation des connaissances entraînant un réinvestissement

La démarche d’investigation n’est pas exclusive et tous les objets d’étude ne se prêtent pas également à la mise en œuvre.

 Démarche d'investigation

La démarche d’investigation au lycée

Il est d’usage de décrire une démarche d’investigation comme la succession d’un certain nombre d’étapes :

•             une situation motivante suscitant la curiosité

•             la formulation d’une problématique précise

•             l’énoncé d’hypothèses

•             l’élaboration de stratégie pour éprouver ces hypothèses

•             la mise en œuvre du projet ainsi élaboré

•             la confrontation sous forme de débats des résultats obtenus et des hypothèses

•             la conceptualisation d’un savoir mémorisable

Ce canevas est l’élaboration d’une démarche type. Il convient d’en choisir quelques étapes lors de la conception des séances. Elle est un espace de liberté pédagogique pour le professeur. Cependant il devra vérifier que les différentes étapes auront été envisagées à la fin de l’année.

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E.     La démarche de projet

La démarche de projet consiste à concevoir, innover, créer et réaliser une production à partir d’un besoin à satisfaire.

Elle conduit toujours l’élève à une production réelle.

Elle a donc par nécessité une implication affective forte. Elle développe des comportements justifiés par la nécessité, comme se documenter, planifier communiquer et s’organiser. Elle est souvent pluridisciplinaire, car complexe et faisant appel à différents types de savoir.

Elle entraîne des apprentissages à réinvestissement immédiat.

Elle peut prendre appui sur un concours, une visite, etc. Cette approche par projet peut permettre de conduire une démarche d’investigation ou historique de façon différenciée.

Pendant la démarche de projet, chaque élève peut être seul ou en groupe

La production peut être exploitable collectivement et conduire après mutualisation, à un savoir collectif. L’élaboration de la production peut être l’occasion d’approfondir l’usage des technologies de l’information et de la communication.

La démarche est divisée en six étapes :

1) l’émergence de l’idée

2) l’analyse de la situation

3) le choix d’une stratégie

4) le montage et la planification

5) la mise en œuvre

6) l’évaluation bilan et le réajustement éventuel de la notion

L’élève n’est pas isolé dans son travail. L’enseignant encadre le travail des élèves dans toutes les étapes de la démarche de projet. L’enseignant adopte des postures différentes suivant le niveau des élèves.

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F.     La démarche historique

Cette démarche se base sur l’approche historique d’une question scientifique, qui peut être une manière originale de construire une démarche d’investigation.

L’enseignement de l’histoire des sciences peut contribuer à :

v  modifier les pratiques, permettant la pluridisciplinarité en prenant en considération les représentations des élèves et les obstacles à l’apprentissage ;

v  motiver l’élève à la science, en le faisant réfléchir sur son rapport à la science, ses propres conceptions de la science, sur les idées qu’ils se fait des rapports entre la science et la société, favoriser l’évolution de sa conception et de sa curiosité pour la science ;

v  transformer le rapport au savoir scientifique en donnant à l’élève la possibilité de reconsidérer ses propres modèles spontanés.

 

Pendant la commission des sciences de la vie et de la terre d’autres démarches ont été vues, d’un point de vue sémantique.

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G.     Les tâches complexes

 

J’ai présenté des tâches complexes provenant de plusieurs académies. Leur étude a montré qu’il existe un canevas pour les faire.

La tâche complexe est conçue de façon à avoir :

1-      le titre

2-      le niveau et la durée

3-      la situation déclenchante

4-      le support de travail

5-      le ou les consignes données aux élèves

6-      les références liées aux programmes donnés par le BO

7-      les compétences du socle commun

8-      les aides ou coups de pouce

9-      les réponses attendues

Guillaume Ganet, Stephanie Wright et Carole Bernard ont présenté des tâches complexes. Ils les ont soumis aux professeurs présents, pour qu’ils puissent apporter leur aide et des corrections.

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H.    Le stage TICE

Le formateur Monsieur Frédéric Uyttenhove nous a reçus dans son laboratoire du lycée du Grand Nouméa. Il a présenté la formation sur les TICE et il a mis à la disposition de l’ensemble des professeurs un disque dur contenant les logiciels susceptibles d’être utilisés ainsi que des animations flash… Il s’est mis à notre disposition pour répondre aux problèmes que nous pouvions rencontrer. À la demande de Guillaume Ganet, il a fait une présentation ExAO. Il nous a montré comment obtenir des flexcams adaptables au microscope à faible coût.

Nous avons pu utiliser des logiciels pour apprendre à les maîtriser.

La commission des sciences de la vie de la terre s’est terminée par des questions diverses. Il en ressort que :

–          La commission traitera des activités et des tâches complexes, propres aux pays.

–          La formation TICE se fera pendant les vacances.

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Cette première commission de l’année 2013 était animée par Michel Malgouzou (Animation de lettres, direction) et s’est déroulée le jeudi 7 novembre 2013. Les documentalistes présents à cette commission étaient les suivants : Alydie Hajduk (Collège Baganda), Monique Wahmetu (Collège et lycée agricole Do Néva), Sabine Vincens (Collège Eben Eza), Caiö Forrest (Collège Havila); Nicole Sioremu (Collège Taremen) et Daniel Collet (Lycée Do Kamo).

 

Daniel Collet, Sabine Vincens, Alydie Hajduk, Monique Wahmetu et Caiö Forrest

Daniel Collet, Sabine Vincens, Alydie Hajduk, Monique Wahmetu et Caiö Forrest

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A. Etat des lieux et projets 2013

Havila
Le CDI s’est agrandi cette année (une demande datant de plus de dix ans). De plus, 10 nouveaux postes informatiques ont été installés (Net Computing avec la société Sharp : un poste maître pour 4 stations élèves). Ces investissements ont été la priorité budgétaire de cette année.

http://www.havila.nc/2012/03/renovation-et-agrandissement-du-cdi-de-havila/

La priorité de l’année prochaine sera  mise sur les achats de ressources documentaires. En 2015, le CDI commencera à renouveler son fonds de bandes dessinées.


Pour l’organisation matérielle, l’utilisation des couleurs du toucan a été adoptée (sur les conseils entre autres de la chargée de mission du Vice-rectorat). Pour les documents néo-calédoniens, le choix s’est porté sur la règle suivante : NC suivi de la cote.  (Exemple : pour une pièce de théâtre de Pierre Gope, la cote est la suivante : NC-T-GOP (Le T indiquant une pièce de théâtre).

toucan

Cliquez sur l’image pour l’agrandir


Pour les livres de fiction, les initiales R (Roman), C (Conte), T (Théâtre), BD (Bandes dessinées) sont utilisées alors que la classification Dewey est préférée pour les livres documentaires.

Taremen
Cette année, les activités des clubs de lecture ont été moins importantes que les années précédentes.  Le plus gros du travail a été réalisé pour les recherches liées aux itinéraires de découverte (IDD) et la préparation de l’oral de l’histoire des arts (HdA). La documentaliste de Taremen regrette –ceci est un sentiment partagé par nombre de ses collègues- que les enseignants n’effectuent que peu de travail préparatoire avec elle. La tendance est d’envoyer les élèves sans qu’il y ait eu une concertation avec la documentaliste sur les ressources du CDI. L’installation de 4 postes élèves reliés à Internet cette année va cependant changer cet état de fait étant donné que les ressources documentaires ne seront plus limitées au seul fonds imprimé.


Les opérations Livre, mon ami et la Semaine de la presse ont été reconduites et appréciées.

En 2014, le CDI devrait voir enfin son agrandissement réalisé ; la salle informatique attenante devant être déménagée, elle permettra d’accueillir cet agrandissement demandé depuis plus de 15 ans –L’animation pédagogique de lettres a fait trouvé l’artisan prêt à réaliser ces travaux ; tout est en attente de validation de la part de la direction de l’ASEE.

Do Neva
A Do Neva, le CDI est très occupé toute l’année dans l’accompagnement des recherches des élèves du lycée agricole qui sont sans arrêt sollicités par leurs enseignants pour effectuer des recherches documentaires. D’autres moments clés en 2013 ont été les suivants :

  • L’organisation de la semaine de la presse
  • La commémoration des événements d’Ouvéa
  • La semaine de la citoyenneté

Pour 2014, un projet ambitieux de couverture WIFI a été lancé par le lycée agricole, ce qui permettra d’améliorer les recherches dans tous les secteurs de l’établissement. L’animation de lettres préconise cependant qu’une partie des fonds reçus soit réservée à l’achat de nouveaux postes fixes pour le CDI car le parc existant est vieillissant.


Pour 2014, le départ de l’actuelle documentaliste posera le problème de la transmission des bonnes pratiques qui font du CDI de Do Neva l’un des centres névralgiques du groupement scolaire de Do Neva.

Eben Eza
Le CDI d’Eben Eza fonctionne de manière satisfaisante avec cependant un problème majeur : la quasi-absence de budget pour renouveler le fonds imprimé. Les difficultés financières de l’Alliance Scolaire impactent lourdement les investissements pédagogiques des petits établissements (en 2013, Eben Eza ne comptait plus que 108 élèves contre 216 en 2005 par exemple).

Concernant l’équipement informatique, le parc est limité à deux ordinateurs vieillissants. Comme pour les autres établissements, les projets du Développement de l’Ecole numérique vont permettre – nous l’espérons- d’équiper d’au moins cinq nouveaux ordinateurs le CDI (décisions du gouvernement attendues pour la fin novembre 2013).


Do Kamo
L’année 2013 a été une année bien remplie pour le CDI de Do Kamo. Le compte rendu des projets phare de l’établissement sont tous en ligne :

Daniel Collet, notre documentaliste a exposé longuement sa politique en manière d’abonnement ; après échanges avec les collègues documentalistes, il semblerait qu’une politique d’harmonisation ne soit pas à l’ordre du jour. En effet, certains préfèrent payer directement à l’éditeur leur abonnement, d’autres passer par des intermédiaires locaux. L’idéal serait d’avoir sur le Territoire ou en Métropole une seule société commercialisant tous les abonnements scolaires.

Baganda
Baganda est confronté à de nombreux problèmes matériels :

  • Peu ou pas de budget pour le renouvellement du fonds
  • Un local très, trop étroit
  • L’absence de postes informatiques

La documentaliste attend donc avec impatience l’équipement de l’année prochaine (toujours le projet de développement de l’école numérique) qui lui permettra de lancer un travail beaucoup plus intense avec les élèves concernant les recherches documentaires.
La documentaliste insiste sur le fait que les séances de CDI les plus efficaces sont celles concernant la culture générale ; elle constate que les élèves ont de graves lacunes sur la connaissance du monde les entourant – autant le monde Kanak que le monde occidental.

Cela souligne l’importance –par exemple- d’une diffusion du journal télévisé à l’internat avec l’accompagnement des adultes (journaux local et international).

Hnaizianu
En 2014, le poste de documentaliste sera renouvelé. La personne sera sûrement connue au mois de février de la rentrée.

Boaouva Kaleba
Fabrice Mathieu s’est excusé de ne pouvoir assister à notre commission. Son double enseignement EPS-CDI ne lui a pas permis de venir à Nouméa. Il est en fin de cycle EPS et en phase d’évaluations de ces élèves. Idem pour l’attestation scolaire de sécurité routière (ASSR).
Bien sûr, cela pose le problème récurrent des doubles valences, la gestion d’un CDI demandant un travail important et quasi-exclusif (politique d’achat, informatisation du fonds, etc.) Mais nos établissements en mal d’effectif ne peuvent souvent pas se permettre de recruter un documentaliste à temps plein (Dö Mwà, Eben Eza, Hnaizianu et Boaouva Kaleba).

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B. Sites Internet

En 2013, tous les établissements possèdent un site Internet :

 

Les formations sur WordPress continuent en 2013.

L’objectif fixé en 2011 a donc été atteint ; il faut maintenant que les documentalistes prennent possession de cet outil. Les échanges réalisés dans les commissions nous permettent d’harmoniser nos pratiques.

L’un des chantiers prioritaires pour 2014 sera de proposer le fonds informatique des établissements en lien sur ces sites ; les deux solutions retenues seront BCDI Web (e-sidoc serait redondant par le contenu qu’il propose) ou PMB pour les établissements repartant de zéro comme Eben Eza.

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C. Opération Lectures suivies pour 2014

Durant la commission disciplinaire de français, nous nous sommes aperçus que les enseignants n’avaient que très peu de connaissances en littérature de jeunesse contemporaine.

Il a été décidé que pour 2014, nous allions proposer aux élèves et à leur famille d’acquérir trois livres par niveau   (6ème, 5ème, 4ème, 3ème). Cela permettra de diffuser des ouvrages dans les familles de nos élèves.

La médiathèque de Rivière salée a été contacté pour que des ouvrages soient proposés.

Le calendrier de l’opération est le suivant :

  1. Détermination de la liste des ouvrages (12 ouvrages)
  2. Commande des ouvrages pour les enseignants et les CDI
  3. Opération d’achat des livres par les parents (il s’agit d’une commande de près de 4000 livres)
  4. Utilisation dans les cours pour les 2ème et 3ème trimestre 2014

L’achat d’un dictionnaire de poche est également recommandé par l’animation pédagogique ; trop de nos élèves se présentent en cours sans cet usuel in-dis-pen-sa-ble dans tous les cours.

Le choix de l’animation pédagogique s’est porté sur l’édition suivante :

http://www.amazon.fr/dp/232100214X

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D. Dispositif des engagés civiques 2014

Le paragraphe suivant est un extrait d’un document plus complet qui sera proposé au conseil d’administration de l’ASEE des 28 et 29 novembre 2013.

Le dispositif des engagés civiques concerne les CDI de l’ASEE du fait qu’une partie importante de leur fonctionnement repose sur le fonctionnement de leurs ressources informatiques.

Dans la stratégie numérique de l’Alliance Scolaire, le problème des personnes ressources informatiques est posé. En effet, comme les établissements sont amenés à être équipés de manière importante (salle informatique, réseau sans fil, salles connectées, etc.), il faut absolument trouver une solution pour que la maintenance et la gestion au quotidien de ces ressources n’incombent pas à une seule personne (le professeur bénéficiant d’une heure de PRI sur son VS).

Une des solutions préconisées par le vice-rectorat est l’externalisation. Cette externalisation est séduisante mais a un coût qui peut rapidement devenir rédhibitoire ; surtout pour nos établissements dont la santé financière n’est pas exceptionnelle.

Ce que propose l’animation pédagogique de l’ASEE repose sur les points suivants :

  • Une harmonisation des pratiques dans les établissements
  • Un seul fournisseur pour que l’ASEE devienne un client grand compte (Sharp en l’occurrence par le fait que ses techniciens se déplacent en Brousse et aux Îles… encore une fois, ce n’est qu’une préconisation.)
  • L’appel aux engagés du service civique pour des missions de 10 mois dans nos établissements.

Le dispositif des engagés civiques est le suivant : un jeune (entre 16 et 25 ans) s’engage pour une période de 6 à 12 mois et reçoit pour cela une rémunération de 70 000 francs par mois prise en charge par l’Etat. Le temps de travail doit être d’au moins 24 heures par semaine.  L’établissement doit verser une somme de 12 000 francs supplémentaires par mois. Cette somme sera prise en charge en principe par les projets de développement de l’école numérique (partie budget de fonctionnement).

La demande d’agrément par l’ASEE est valable pour 3 ans et reconductible. Un engagé ne peut effectuer qu’un seul contrat.

Voici le profil type d’engagé civique que l’animation pédagogique aimerait recruter :

  • Un jeune passionné d’informatique ayant autant des connaissances sur le matériel que sur les logiciels (capable de démonter et remonter un ordinateur)
  • Un jeune acceptant les valeurs chrétiennes de nos établissements
  • Un jeune majeur calédonien ou métropolitain (le voyage n’est pas à la charge de l’association qui reçoit le jeune)

Etant donné que l’animation pédagogique secondaire a entamé toutes les démarches concernant le dispositif des engagés auprès du gouvernement (direction de la jeunesse et des sports), elle aimerait garder la main sur le recrutement des engagés.

En échange de leur service, les engagés doivent bénéficier de tuteurs. Nous pensons que les deux animateurs pédagogiques du secondaires pourront remplir ce rôle avec le professeur bénéficiant de l’heure de PRI accordée par le vice-rectorat.

Les premiers engagés civiques devraient voir leur mission commencer le lundi 19 mai 2014.

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La première commission de mathématiques de l’année 2013 était animée par Rémy Vanhalle (Animateur de sciences de l’ASEE) et s’est déroulée le vendredi 6 Septembre. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Yves Dupin de Saint Cyr (Collège Boaouva Kaleba), Manoël Gasser (Collège Do Neva), Edouard Waitronyie et Michel Oroffino (Collège Havila),   Henri Lepot (collège Baganda) et Olivier Levet (collège de Mou).

 

A.  Présentation

La commission de mathématiques a débuté à 8 h 30. Les professeurs des collèges Dö Mwà, Hnaizianu, Taremen et Eben eza, n’étaient pas présents. Ils se sont excusés et ont fourni leurs progressions.

La commission a accueilli avec réel plaisir un collègue de la FELP, M. Olivier Levet qui avait été invité.

 

B.  Élaboration du Brevet Blanc de mathématiques

Après avoir rappelé les différentes modalités de la nouvelle monture du brevet. J’ai présenté un document qui montrait les parties communes des progressions des établissements manquants aux professeurs présents, pour permettre le maximum d’exercices en commun.

L’ensemble des professeurs a décidé d’élaborer un brevet qui ressemblerait à l’épreuve de fin d’année.

Une grande discussion a commencé, pour décider quels types d’exercice seraient choisis pour l’épreuve et le nombre de points propres à ces exercices.

Des exercices furent soumis à l’ensemble et discutés. Les échanges furent fructueux et ils aboutirent au choix suivant :

Exercice 1
En trigonométrie, nous nous sommes mis d’accord pour prendre l’exercice sur l’atterrissage d’un avion à Magenta, (pour montrer à l’élève que les mathématiques sont utilisées dans son environnement proche).

Exercice 2
Pour la géométrie spatiale, nous avons repris un exercice basé sur le cône de révolution.

Exercice 3
Le choix s’est porté sur un exercice lié à l’utilisation du tableur, utilisant les compétences du B2I et des mathématiques, pour l’élaboration d’une formule.

Exercice 4
QCM portant sur des activités numériques et de la proportionnalité.

Exercice 5
Ancien exercice du DNB de Nouvelle-Calédonie, portant sur les probabilités. À la demande des professeurs, j’ai rajouté en anecdotes les dates permettant la chasse de la roussette dans les 3 provinces.

Exercice 6
Exercice que j’ai proposé. Je me suis souvenu d’une méthode, dont le professeur de Do Neva, Gilles Abdelkader, m’avait parlé sur le théorème de Thalès, à laquelle j’ai rajouté des données pour en faire une activité.

Exercice 7, porte sur la notion de PGCD, il a été adapté, pour permettre une meilleure compréhension de nos élèves.

Exercice 8
Problème ouvert. Il est basé sur la recherche d’information et sur la proportionnalité. Il provient de l’épreuve du DNB 2013 de métropole, adapté à la Nouvelle-Calédonie. Cet exercice étant par nature complexe et chronophage, nous avons décidé de le mettre en dernier pour ne pas trop pénaliser les élèves, sur leur épreuve de mathématiques.

Les résultats de ce brevet blanc sont en ligne à l’adresse suivante : http://www.alliance-scolaire.nc/?page_id=4039
Il vous faut un mot de passe pour accéder à ces résultats (r.vanhalle@asee.nc).

 

C.  Le modèle de la correction

Chaque professeur présent s’est réparti les différents exercices pour la correction type de l’épreuve.

Chaque correction a été présentée au groupe avec le détail de la répartition des points. Les différents brouillons m’ont été remis pour que je réalise la correction qui accompagnera l’épreuve de mathématiques.

 

D. Les attentes des professeurs de mathématiques en lycée

Je tiens à remercier M. Damien Aymeric d’être venu au nom de ses collègues pour participer à la commission et exposer les attentes du lycée.

Un premier constat a été fait, les élèves de l’ASEE à Do Kamo ne représentent plus que 50 % des effectifs.

Les élèves en seconde ont des bases peu solides. Seulement un cinquième ont le niveau de troisième quand ils arrivent en seconde.

Les professeurs de lycée ont noté :

  1. Un manque de maîtrise des élèves de troisième sur les calculs algébriques et numériques ;
  2. Le peu de solidité des bases. Les enseignants ont l’impression que les élèves ne savent plus comment faire des probabilités, des statistiques, des équations…

Une attente particulière du lycée est à renforcer en collège. Il faut être exigeant sur la rédaction, les élèves doivent rédiger avec logique et clarté. Nous pouvons être attentifs à cette attente lors des théorèmes de Pythagore et de Thalès.

Nous devons conseiller aux élèves de travailler au crayon de papier, pour toutes les réalisations graphiques et utiliser les fiches méthodes qu’ils ont reçues.

 

E.  Questions diverses

Un tour de table a été fait pour les questions diverses, il en ressort une demande de création d’une liste de diffusion et une adresse mail permettant les échanges grâce au module Drive de l’adresse gmail suivante :  profsmaths@asee.nc.

Pour les formations des demandes ont été faites pour :

  1. L’utilisation et la maitrise du logiciel GéoGebra ;
  2. Création d’une progression spiralée.

J’ai proposé ces formations au catalogue de nos formations 2013 qui seront votées ou non par le conseil d’administration de l’APEP en novembre 2013.

Une idée a été proposée d’utiliser Skype pour réaliser de prochaines réunions de travail. J’essaierai de faire un test, avec un et/ou plusieurs établissements.

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Cette première commission de l’année 2013 était animée par Rémy Vanhalle (Animateur de sciences de l’ASEE) et s’est déroulée le vendredi 12 juillet. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Lionel Dubourg (Collège Boaouva Kaleba), Luc « Marcel » Gaulon (Collège Do Neva), Hubert Kauma (Collège Eben Eza), André Kaemo (Collège Dö Mwà), Rémi Champoussin (Lycée agricole Do Neva), Eric Gravina (collège Baganda) et Philippe Yeiwene (Collège Taremen). Non représentés : collèges Havila et Hnaizianu (Excusés pour problème de transport).

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A. Projets

Chaque professeur a parlé de ses projets et de l’état des lieux de sa salle. Permettant à la commission de commencer par un tour de table, ayant pour but, de permettre aux nouveaux professeurs de connaître les anciens.

Éric Gravina (collège de Baganda)

A mis en place des projets ayant pour thème le développement durable et écocitoyen. Il travaille maintenant en appliquant la méthode des îlots.

Hubert Kaouma (collège Eben Eza)

A également mis en place des projets sur le développement durable, avec l’étude de la centrale de dessalement. Il adapte ses cours à son environnement local. Il utilise aussi la méthode des îlots, avec des ordinateurs portables, permettant le travail en groupe autonome, au sein de ses classes. La création de maquettes pour la modélisation est utilisée dans sa classe de cinquième. Sa sixième fonctionne par centres d’intérêt.

Philippe Yewene (collège de Taremen)

A remis en état la salle de technologie. Pour les troisièmes, il utilise le logiciel « Sweet Home 3D » qui est un logiciel de modélisation, permettant l’aménagement des meubles d’un logement sur un plan en 2D, avec une prévisualisation en 3D. Un de ses projets porte sur le santal. En sixième élaboration d’un objet technique, avec les cinquièmes, il utilise le bois des palettes pour faire des niches.

André Kaemo (collège de Dö Mwà)

Est un professeur multimatière (polyvalent), anglais et technologie. En classe de sixième il fait de la présentation assistée par ordinateur (PeAO) et demande à ses élèves de lui envoyer leur devoir par mail. Avec le professeur de sciences, il étudie le maquis minier et l’érosion pour ses projets.

Luc Gaulon (collège de Do Neva)

Dans son état des lieux, constate un réel problème au niveau du rééquipement. Pour ses projets il utilise les objets courants, qu’il récupère, entrant ainsi dans le développement durable et l’écocitoyenneté. Pour les sixièmes, il utilise des thématiques, pour les cinquièmes un projet basé sur le bâtiment, en exemple in situ le chantier cuisine – réfectoire. Les quatrièmes font de la récupération pour fabriquer un four solaire à base de carton et de papier aluminium. Les troisièmes sont sur la prestation de services, mais en laissant le choix du projet aux élèves (panneau solaire, éolienne…). M. Gaulon a mis en pratique un système d’évaluation qui lui permet de prendre en compte la validation des items du socle commun, le point Lomer. (Cf : http://michel.vauquois.free.fr/Presentation.html).

Rémi Champoussin, du Lycée agricole de Do Neva, (Personnel Ressource Informatique), est intervenu pour parler de son parc informatique.

Lionel Dubourg (collège Boaouva Kaleba)

Les projets qu’il met en place ont pour cadre le développement durable. Pour les sixièmes, le thème retenu est un vélo rechargé grâce à l’énergie solaire, pour les cinquièmes, l’étude d’un thème sur le bâtiment (climatisation sans énergie), pour les quatrièmes, l’irrigation automatique, se basant sur la récupération de l’eau de pluie. Les troisièmes travaillent en deux groupes, sur le projet d’un séchoir solaire. Lionel a réaménagé sa classe en supprimant le muret qui séparait l’espace info et a fermé l’espace atelier. Il a des portables qui lui permettent de travailler en îlots. Il travaille également en « N computing » un poste maître lié à 12 clients légers (utilisation d’un Windows multipoint pour la mise en place du réseau). Utilisation d’un vidéoprojecteur Epson EB-475Wi, vidéoprojecteur interactif qui serait une solution pour avoir des TBI.  L’établissement, grâce à Lionel a mis en place l’ENT, ainsi que l’utilisation de Google Apps pour Education qui permet d’avoir un espace personnalisé pour chaque élève et professeur depuis 4 ans. L’évaluation des compétences se fait par le logiciel sacoche, et la priorisation est à l’utilisation des logiciels libres. Il propose également de remettre du wi-fi sur son établissement.

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B. Nouveaux programmes : automatisme

Pour l’automatisme dans le bilan des nouveaux programmes, j’ai présenté aux professeurs, les différentes recherches que j’ai pu trouver sur le Net :

1-      Une présentation d’un travail d’un prof sur l’automatisme ;

2-      Un site mêlant ressources et exercices flash ;

3-      Un exercice flash se basant sur l’utilisation d’un organigramme pour les commandes d’une barrière automatique ;

4-      La valisettes des TICE, qui est sur le site pédagogique de technologie (vice-rectorat) ;

5-      Un logiciel libre de tous droits pour la création d’organigrammes « logicator »

6-      Des documents divers (exemple de cours, fiches, capacités, ….).

L’ensemble des documents est sur le drive de l’espace coopératif des professeurs de techno de l’ASEE.

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C. Le livret des compétences

La nouvelle directive (Ref : note de service n° 2012-154 du 24-9-2012) pour le socle commun est une simplification de la validation. Hubert a confirmé qu’il l’appliquerait cette année.

Donc, « dans le cas des élèves ne rencontrant pas de difficultés particulières, l’attribution du socle repose uniquement sur la validation des sept compétences ».

Mais « lorsqu’il s’avère que l’acquisition d’une compétence est discutée, les équipes pédagogiques ne renseignent que les domaines et non plus les items (26 domaines, pour le palier 3, contre 97 items au total).

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D. Questions Diverses

Un tour de table a été fait pour les questions diverses, il en ressort une demande de formation aux réseaux qui est à mettre en place à l’APEP pour 2014.

Après discussions, les professeurs de technologie ont décidé que la commission de technologie fonctionnerait avec un espace collaboratif basé sur l’adresse mail (qui a déjà été créé) proftechno@asee.nc. Cette adresse bénéficie de 30 Go d’espace sur le GoogleDrive, permettant aux professeurs et à l’animateur de placer tous les documents et les informations qu’ils veulent partager.

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E. Maintenance de base d’un ordinateur

La maintenance du matériel informatique a été effectuée à l’aide de 2 UC, le matériel de base pour le nettoyage étant le coton-tige, l’alcool à 90°, la patte thermique, le tournevis multipointes et le tournevis étoile ainsi que la bombe à air comprimé.

Une des étapes primordiales à faire en début d’année est l’aération des UC, avec un dépoussiérage à l’aide de la bombe à air, ou d’un aspirateur ou d’un pinceau.

Suivant le nombre de bip au démarrage, il faut soit nettoyer les connectiques des RAM, à l’aide du coton-tige et de l’alcool à 90°, soit -si la nuisance sonore perdure- nettoyer à l’alcool la connectique de la carte graphique.

L’écran noir au démarrage peut provenir soit d’un mauvais fonctionnement du BIOS, alors un clear CMOS est obligatoire, le plus simple pour l’obtenir est le retrait de la pile et après 30 secondes, il est réinitialisé. S’il n’y a aucun changement, il faut vérifier que l’alimentation de l’UC est bonne en la remplaçant.

Quand l’ordinateur s’arrête durant une session. Si l’arrêt intervient à des temps qui ne sont pas constants, la possibilité est que la protection de la carte-mère, contre la surchauffe du processeur, s’enclenche. Il faut donc changer la pâte thermique qui recouvre le processeur. Dans la plupart des systèmes, à l’aide d’un tournevis, il faut retirer le ventirad. Puis, à l’aide du coton-tige, enlever la vieille pâte. En partant du centre mettre une couche fine de pâte thermique, de façon spiralée, en s’arrêtant avant le bord pour éviter qu’elle déborde sur le socket du processeur. La dernière étape consiste à remettre le ventirad en place.

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