Cette première commission de l’année 2012 était animée par Marianne Hnyeikone (Do Kamo, responsable de la commission Langue et culture Kanak du second degré) et Tué Wahmereungo (Service psychopédagogique, Animateur Langue et culture Kanak). Les enseignants présents à cette commission étaient les suivants : André Mérone (Collège Do Neva), Marie-Lena Itreme (Collège Eben Eza), Wilfried Maho Pamani (Collège Havila), Etienne Hnawang (Collège Hnaizianu), Cédric Wahéa (Collège Taremen), Freda Maloune (Collège Boaouva Kaleba).

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A. Enseignement et référentiel LCK dans le premier degré

A.1 Chantiers engagés dans le premier degré

Cadrage institutionnel et Méthodologie

A.1.1 Présentation du document cadre

Lecture puis commentaires des participants.

A.1.2. Présentation de la feuille de route mise en place

Remarques, questions et constats sur l’organisation de tels chantiers dans le primaire

Le fonctionnement est reconnu comme spécifique au premier degré

A.1.3. Difficultés rencontrées

Convaincre

Débat important

Absence de productions écrites des contenus en langues kanak

A.1.4. Perspectives

Regroupement le 26 mai 2012 des représentants des écoles pour la synthèse des productions des référentiels en LCK produites dans les écoles.

Rendre compte à l’assemblée générale de Canala.

Harmonisation des contenus entre le premier degré et le secondaire de l’ASEE

A.2 Coopération premier degré/second degré

Intervention dans le primaire de certains professeurs LCK.
Collaboration pour les travaux sur le référentiel LCK.
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B. Sollicitation institutionnelle du secondaire

Sollicitation de l’assemblée générale de 2009

  • Exposer les enjeux et la nécessité de l’élaboration d’un référentiel en LCK pour l’ASEE, nos élèves mais également pour l’école du pays
  • Attente et sollicitation de toutes les personnes ressources par l’assemblée générale de l’ASEE
  • Partir des productions personnelles des professeurs de bonne volonté afin de construire des outils structurants
  • Demande d’échanges de pratiques pédagogiques par les professeurs débutants en LCK

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C. Référentiels LCK

C.1 Position individuelle

  • Un sentiment  persistant d’un manque de considération de la part des institutions et des institutionnels envers les enseignants LCK est souligné ici
  • Situation précaire du métier d’enseignant en LCK dans le pays
  • Conditions de travail souvent difficiles
  • Les outils sont des productions  personnelles conçues sans aucune aide
  • Propriété intellectuelle personnelle
  • La question du coût de ces productions a donc été posée

C.2 Cession gratuite des outils

  • Compte tenu de la nécessité de structurer l’enseignement des LCK, L’assemblée générale vous a demandé de faire don de vos référentiels
  • L’assemblée générale a voté la motion sans octroyer de crédit
  • C’est donc au don gracieux et volontaire auquel elle fait appel
  • La nécessité de poursuivre le travail de recueil des productions avec ceux qui l’acceptent, s’impose désormais à nous
  • Cela constituera l’ordre du jour de notre prochaine réunion (le 22 juin 2012)

C.3 Autre question

Comment voyez-vous la mise en cohérence des contenus entre le primaire et le
secondaire ?

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D. Perspectives

Les professeurs volontaires et décidés apportent leurs référentiels en LCK pour la réunion du 22 Juin 2012.

D.1 Objectifs de la prochaine commission

  • Récolter les productions
  • Traitement des outils apportés
  • Quelles informations apportées à l’assemblée générale de l’ASEE

D.2 Autres sujets

  •  Débattre et réfléchir sur l’harmonisation des contenus avec le primaire.
  • Quelles sont les expériences menées sur problématique de la mise en œuvre de l’interdisciplinarité entre l’enseignement des LCK et les autres disciplines enseignées  au collège ?
  • Redéfinir les perspectives pour 2012 (date de la prochaine réunion)

Cette première commission de l’année 2012 était animée par Eric Johnny Lamberet (Coordonateur EPS, collège Havila). Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Xavier Olive (Collège Do Neva), Philippe Wejieme (Collège Eben Eza), Sébastien Boucher, Johnny Lamberet (Collège Havila), Frank Salinas (Collège Hnaizianu), Benjamin Puget (Collège Taremen), Guillaume Smith (Lycée agricole de Do Neva), Laurent Luiggi (Collège Boaouva Kaleba), Edouard Wabete (Collège Baganda) et Mathieu Aulard (Collège Dö Mwà).

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Cliquez sur l'image pour plus de détails

EnseignantEtablissementEmail
Johnny LamberetCollège Havilalamberet.lifou@loyaute.net
Sébastien BoucherCollège Havilaboubouch1@hotmail.com
Franck Salinas Collège Hnaizianusalinasfranck@yahoo.fr
Benjamin PugetCollège Taremenben.puget@gmail.com
Xavier OliveCollège Do Nevaexolive@canl.nc
Edouard WabeteCollège Bagandanordigvolley@yahoo.fr
Laurent LuiggiCollège Boaouva Kalebalolo.luiggi@yahoo.fr
Guillaume SmithLycée agricole Do Nevasmithguill@yahoo.fr
Didier BlancLycée Do Kamoelisa.dide@yahoo.fr
Philippe WejiemeCollège Eben Ezaebeneza.secret@canl.nc
Mathieu AulardCollège Dö Mwàmoltes@msn.com

La prochaine commission a été programmée pour le vendredi 19 octobre 2012.
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A. Sections sportives

De nombreux échanges ont eu lieu concernant les enseignants ayant déjà une section sportive dans leur établissement et ceux qui souhaitent en ouvrir une.
Tous ont insisté sur le fait que c’est un moyen de ne pas voir baisser les effectifs. Au contraire, nombre d’enfants aujourd’hui changent d’établissement pour pratiquer une activité qu’ils apprécient.

Voici quelques liens présentant sur les sites des établissements de l’Alliance des structures :

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B. Maillot de l’association sportive de l’ASEE

Depuis longtemps, l’association sportive de l’Alliance Scolaire indique l’importance de la création d’un maillot commun à tous les enseignants. Les avantages de ce maillot :

  • Reconnaissance des enseignants par les élèves au cours des rencontres sportives (UNSS).
  • Reconnaissance de la présence massive des établissements de l’ASEE dans les finales territoriales.

Le polo Adidas proposé sur cet article du collège de Havila (cliquez ici pour lire l’article) semble convenir à tout le monde. L’ensemble des collègues est partant pour passer la commande d’un polo dans un 1er temps, afin de vérifier la qualité du produit et valider la couleur choisie (bleu électrique).

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C. Formations APEP

Le souhait de la commission est d’organiser les formations sur 2 ou 3 jours groupés afin d’éviter les multiples déplacements (coûteux et contraignants sur le plan professionnel).

Les formations étalées sur plusieurs semaines ne conviennent pas aux enseignants hors Nouméa.

Voici les propositions de date pour les trois formations proposées par l’APEP en 2012

  • Natation : 8 et 9 novembre 2012 ou 15 et 16 novembre 2012
  • Danse : 5 et 6 juillet 2012
  • Javelot : 3 août 2012

Pour 2013, voici les stages que la commission aimerait voir organisés :

  • Sport de combat avec la boxe française
  • Arts du cirque avec une dominante Slack (voir vidéo Youtube ci-dessous)
  • Sport collectif (Rugby et mixité)

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D. UNSS, socle commun et histoire des arts

UNSS
La commission EPS aimerait que les directions mettent à disposition des encadrants adultes pour aider les professeurs d’EPS dans la prise en charge des activités l’UNSS du mercredi après-midi. Le personnel de l’internat semble le plus à même d’aider les enseignants (connaissance des enfants).

Cette initiative pourrait être inscrite dans le projet d’établissement et le projet EPS.

Histoire des arts (HIDA)

Chaque enseignant doit s’informer auprès de son établissement sur les mesures mises en place à propos de l’HIDA et évaluer son degré d’intervention. Comme l’a rappelé Philippe Wejieme, il est « important pour notre discipline de s’investir dans cette nouvelle matière ».

Socle commun

Actuellement la gestion du socle commun est spécifique à chaque établissement.
A l’avenir, dans les projets d’EPS, chacun devra utiliser pendant ces cycles des exercices permettant d’évaluer certains items. En effet certaines Activités physiques, sportives et artistiques (APSA) sont plus à même d’évaluer certaines compétences.

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E. Tenue EPS, suivi de carrière et recommandations

Tenue EPS

Tous les établissements de l’ASEE sont unanimes quant à l’obligation de porter des chaussures en EPS. Tous les élèves doivent se présenter en cours avec une tenue correcte à savoir : chaussures de sport, short et tee-shirt de rechange.

Suite à un tour de table, il apparaît que plus de 90 % des élèves en EPS utilisent des chaussures de sport. L’objectif est donc d’amener les 10 % restant à l’utilisation de ces chaussures. Le prochain objectif concernant les tenues EPS est l’interdiction des shorts en jean.

Tous les professeurs d’EPS de l’ASEE se plaignent de la mauvaise qualité des chaussures portées par la majorité de leurs élèves. Ils pointent du doigt les chaussures de mauvaise qualité -les premier prix- qui ne tiennent pas plus de 3 à 5 séances. Il faudrait donc informer les parents sur l’intérêt d’acheter en début d‘année des chaussures de bonne qualité pour le bien-être de leur enfant et éviter des achats multiples et coûteux à la longue.

Suivi de carrière

Certains enseignants inspectés en 2011 et ayant obtenu un avis favorable pour passer au statut d’AE (Adjoint d’Enseignement) s’inquiètent du manque d’information concernant leur changement de grade.

Les épreuves du CAPES interne ont été modifiées. Qu’en est-il du CAER CAPEPS ? Doit-on présenter un dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle (RAEP) comme c’est le cas pour bien des matières.
Présentation de la réforme sur le site du ministère de l’Education Nationale :
http://www.education.gouv.fr/cid4929/nouvelle-epreuve-d-admissibilite-de-certains-concours-internes.html

A la direction de l’Alliance Scolaire de se tenir au courant des dernières réformes.

Recommandations de la commission EPS aux directeurs de l’ASEE

Voici les recommandations de la commission concernant l’EPS dans les établissements :

  • Proposer un emploi du temps étalé aux enseignants avec pas plus de 5 heures d’EPS par jour.
  • Assurer une meilleure gestion du personnel de l’internat le mercredi après-midi afin d’améliorer l’encadrement des élèves internes (pratiquants et non pratiquants de l’Association Sportive).
  • Obtenir auprès des collectivités publiques la mise à disposition des moyens nécessaires à la pratique de la natation scolaire. (le savoir nager est une priorité nationale des textes officiels).

M. le président de la commission (Eric Lamberet) tient à remercier tous les collègues qui ont participé avec enthousiasme à ces échanges fructueux.

Cette première commission de l’année 2012 était animée par Michel Malgouzou (Animation de lettres, direction). Les documentalistes présents à cette commission étaient les suivants : Monique Wahmetu (Collège et lycée agricole Do Néva), Sabine Vincens (Collège Eben Eza), Caiö Forrest (Collège Havila); Nicole Sioremu (Collège Taremen) et Daniel Collet (Lycée Do Kamo)

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A. PMB et BCDI

Le premier point abordé durant cette commission fut le choix du logiciel de documentation. Une réflexion menée au sein du vice-rectorat de Nouvelle-Calédonie avait sous-entendu que le choix académique d’un logiciel commun à tous les CDI du Territoire aurait pu être imposé. En fait, il apparaît que la liberté est laissé à chaque établissement du choix de son logiciel. Rappelons que l’opposition n’est pas seulement ergonomique ou fonctionnelle mais également économique. En effet, PMB (acronyme de Pour Ma Bibliothèque) est un logiciel libre alors que BCDI développé par le CRDP de Poitiers est une solution payante qui représente un investissement conséquent pour les petits établissements. En 2006, tous les établissements de l’Alliance ont été dotés de BCDI. L’informatisation des établissements est cependant inégale, allant d’une informatisation totale du fonds pour certains à une absence totale de celle-ci pour d’autres.  Le collège Havila dans l’intégration de BCDI a été le plus loin, puisque les différents modules de BCDI (BDCI net notamment) sont utilisés, le tout couplé à un abonnement aux MémoElectre qui permet de disposer des notices des livres acquis par le CDI (le coût de 200 fiches s’élève à 12 000 francs CFP).

Comme il est plus intéressant que tous les établissements disposent du même logiciel, l’Alliance Scolaire préconise que les établissements conservent BCDI comme logiciel de documentation. Autre argument envers ce logiciel payant : la difficile migration des bases de données BCDI vers le logiciel libre PMB. Les efforts de récupérations, la relecture de toutes les fiches représentent des centaines d’heures d’effort.

La DDEC a, via le vice-rectorat, mis à disposition de ses établissements secondaires des bases PMB consultables en ligne (un grand avantage étant que les bases sont sauvegardées sur des serveurs à Nouméa). Mise à disposition ne signifie pas utilisation. Ainsi, quand on clique sur la carte des établissements de la DDEC, on s’aperçoit que de nombreuses bases sont vides et n’existent que par la présence de catégories précises mais vides de contenu (http://pmb.ac-noumea.nc/prive/).

A la demande faite par le collège Havila du choix de la mise en ligne du catalogue du CDI via e-sidoc (portail complet proposé par le CRDP de Poitiers) ou la version Internet de BCDI, l’animation de lettres a conseillé de n’utiliser que la version BCDI Web. En effet, les collèges se dotant peu à peu de leur site sous WordPress, il faut éviter de doubler les outils. La solution étant la suivante : WordPress pour la gestion du site officiel de l’établissement, site comprenant un lien vers la base en ligne du CDI.

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B. Sites Internet

Depuis le lancement du site internet de l’Alliance Scolaire (www.alliance-scolaire.nc) en 2006, trois établissements se sont dotés d’un site officiel :

Pour ces sites, l’animation de lettres a fixé les lignes directrices suivantes :

  • Une même architecture WordPress
  • Un même Thème WordPress (charte graphique)
  • Des extensions similaires
  • Un contenu base de données identiques (enseignants, projets d’établissements notamment)

Cette uniformité si elle présente quelques inconvénients (De l’uniformité naquit l’ennui) permet d’économiser les temps de formation et surtout permet aux documentalistes de pouvoir échanger et donc de transférer des savoir-faire que l’informatique par la multiplicité des logiciels, des solutions qu’elle propose empêche de partager.

Dans cette optique de choix informatiques (les TICE sont devenues une part importante des compétences des documentalistes), voici les autres choix de l’animation de lettres concernant l’intégration numérique des CDI :

  • L’utilisation de Skype pour l’échange des informations à moindre coût
  • L’utilisation de TeamViewer pour la collaboration entre les documentalistes
  • L’architecture serveur-client au sein du réseau du CDI par le biais d’une solution NAS (de préférence avec les serveurs Synology dont l’interface est conviviale et très polyvalente).
  • Le gel des postes utilisateurs par le logiciel DeepFreeze ou une solution similaire pour que les ajouts de postes ne soient pas synonymes de la multiplication des problèmes (on ne gère que son poste maître et son serveur NAS)

Interface de TeamViewer en français

Bien sûr, dans ces choix stratégiques, l’animation de lettres apporte toute ses compétences, ayant à coeur que les documentalistes mettent à dispositif de leur public un outil informatique performant dans des lieux où la fracture numérique est très importante (voir l’équipement de la Province Sud en comparaison des autres provinces concernant Internet).
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C. Budget des CDI

Une mini-enquête auprès des établissements établira rapidement le ratio investissement par élève pour l’achat des livres et revues. En cette période de difficultés financières (les établissements souffrent des retard de paiement des forfaits d’externat au moment de la rédaction de compte rendu), il est difficile pour les documentalistes d’exiger un budget important. Toutefois, pour qu’aucun élève de l’Alliance ne soit lésé, cette petite enquête déterminera si certains établissements sont moins dotés que d’autres. Dans tous les cas, il est bon de rappeler que l’attractivité d’un CDI passe par la richesse de son fonds et de l’actualisation nécessaire de celui-ci.

Un autre point se fera sur l’état matériel des CDI. Il est à noter qu’après la réfection du CDI de Do Kamo en 2008, la création du CDI de Eben Eza en 2007, Havila vient de voir ses locaux entièrement rénovés (après une attente de 20 ans de la part de leur documentalistes (voir http://www.havila.nc/2012/03/renovation-et-agrandissement-du-cdi-de-havila/). Tout n’est donc pas négatif ; il faut constater cependant que la présence d’un documentaliste formé (certifié ou pas) dans un établissement s’accompagne souvent de l’amélioration du CDI, la légitimité de la fonction s’accompagnant de celle de leurs demandes.
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D. Prochaine commission

La prochaine commission se déroulera en fin d’année. Nous serons invités par la médiathèque de Rivière Salée (accord de principe de Mme Boussemart). Cette commission sera sûrement précédée d’une formation WordPress qui pourra être axée autour de la création d’un nouveau site Internet (Par exemple : www.taremen.nc).

Cette première commission de l’année 2012 était animée par Michel Malgouzou (Animation de lettres, direction). Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Laurence Hnaia (Collège Do Néva), Elise Ixepe (Collège Eben Eza), Maylis Oroffino, Isa Qala (Collège Havila), Roseline Enoka (Collège Hnaizianu), Monique Wadewe, Aurélie Poyau(Collège Tarémen), Catherine Poedi (Lycée Do Kamo), Joachim Pebou-Polae (Boaouva Kaleba).

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A. Bilans des évaluations communes 6ème 2012

Les tests J’ADE se découpent en grands ensembles appelés champs (Connaissance de la langue, Ecrire, Lire et Dire). Ces champs regroupent 14 compétences (voir le tableau ci-dessous) qui à leur tour se décomposent en une série de 40 composantes. Ainsi, dans J’ADE, chaque item noté par les enseignants selon un codage particulier (1, 9 ou 0 la plupart du temps) correspond à un triplet Champ-Compétence-Composante. Par exemple, l’item 006 (Reconnaître les principales étapes d’un récit) correspond au triplet Lire-Repérer la chronologie-Reconstituer l’ordre d’un récit.

Compétences
Dégager les idées essentielles d'un texte documentaire ou littéraire
Utiliser ses connaissances sur la langue pour comprendre un texte
S'appuyer sur les différentes formes de reprises nominales et pronominales pour comprendre un texte
Construire une nouvelle information
Repérer la chronologie
Identifier un texte
Utiliser des usuels (dictionnaires, manuels, etc.)
Distinguer la classe grammaticale des mots
Distinguer la fonction des mots dans la phrase
Reconnaître le mode, le temps et le groupe des verbes
Maîtriser l'orthographe grammaticale
Écrire correctement des mots sous la dictée
Produire un texte
Lire à haute voix, de façon expressive, un texte narratif déjà connu

Les évaluations présentes sur ce site à l’adresse suivante permettent seulement de connaître les résultats des élèves de l’Alliance Scolaire dans les quatre grands champs des tests J’ADE.

http://www.alliance-scolaire.nc/?p=2677

Les évaluations communes de cette année en français ont abouti à un pourcentage de réussite de 44 % en français (40 % en mathématiques et 39 % en histoire et géographie. La différence entre le collège avec les meilleurs résultats en français (Do Neva avec 49,5 %) et celui avec les moins bons (Baganda avec 37,3 %) est de 12,2 %.

Les meilleurs résultats sont obtenus pour le champ Lire (avec 59 % de réussite), les moins bons pour le champ Grammaire/Connaissance de la langue (avec 30,6 % de réussite). Pour mémoire, dans l’ancienne version des tests, c’étaient les champs Ecrire et Transformer un texte qui obtenaient les résultats les plus catastrophiques. Cette année, les résultats pour le champ Ecrire sont de 36,6 % avec cependant des variations importantes (Dö Mwà à 56,3 % et Baganda à 19,2 %). Pour la compétence Dire, les différences sont également importantes avec 69 % de réussite à Do Neva contre à peine 20 % à Baganda.

Ces différences nous amènent à penser que, lors de notre prochaine commission, nous devrons absolument nous entendre sur nos procédures de passation. Il est en effet très important d’être ferme sur le principe de non assistance de nos élèves durant les tests. Le fait de varier dans notre façon de faire passer ces tests fausse les résultats obtenus et peut cacher les problèmes rencontrés par nos élèves.

Pour rappel, les résultats des évaluations des établissements du public (chiffres 2011) étaient de 59,1 % pour tout le territoire (44,3 % ASEE 2012), de 53,2 % (42,1 % ASEE 2012) pour la Province Nord, de 61 % pour la Province Sud et de 48,3 % (43,7 % ASEE 2012) pour la province des Îles. La plus grosse différence se situe à la fois dans le résultat global (- 16 %) et dans les chiffres de la province Nord (- 11 %). Si –et encore une fois, la façon dont les tests sont passés est importante- le retard qui nous caractérisait est en train de se combler, c’est un signe encourageant pour nos élèves. Il nous suffit d’obtenir les statistiques des établissements publics pour tirer une conclusion aussi positive.

Le graphe suivant permet de suivre l’évolution des résultats des différents établissements sur les trois années passées. En survolant les barres, vous obtenez les résultats en pourcentage (Il manque les résultats aux évaluations 2011 des collèges Do Neva et Eben Eza). La population de nos établissements étant peu nombreuses, il peut y avoir d’une année sur l’autre, des variations importantes. Dans l’ensemble, les résultats sont néanmoins très stables (au dessous de 50 %), seuls Dö Mwà et Taremen en 2010 sont passés sous la barre des 30 %, ce qui représente des scores très faibles pour une évaluation de 6 ème. En métropole, les résultats des évaluations en entrée de 6 ème tournent autour des 60 % avec un décrochage à 50 % pour les ZEP.

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B. Socle commun de connaissances et de compétences

La mise en place du socle commun (palier 3) se fait petit à petit dans les collèges. Cependant, les tâtonnements sont nombreux. L’idéal représenté par un partage des évaluations des compétences et des connaissances entre les enseignants n’est pratiqué que très partiellement. Dans la plupart des cas, on demande aux professeurs d’évaluer les compétences qui correspondent à leur domaine d’intervention ; ainsi les enseignants de français se chargent de la compétence Maîtrise de la langue française.  Une coordination plus importante (via le conseil pédagogique, structure à mettre en place dans les établissements) permettrait de répartir les items à évaluer (On pourrait par exemple, demander à l’enseignant d’EPS d’évaluer l’item Formuler clairement un propos simple en cours d’EPS, notamment quand une fonction d’arbitrage est attribuée à un élève. Il faut également rappeler que l’évaluation –et partant sa validation- du socle commun doit débuter dès la 6ème. Une quasi-nécessité pour que ne produise pas le phénomène de validation au kilomètre que de nombreux établissements ont connu en fin de 3ème.

Dans tous les établissements, les enseignants présentent formellement les items à leurs élèves. Ceux-ci sont donc conscients qu’un changement est intervenu dans leur évaluation au quotidien (nombreux sont les enseignants à rappeler qu’ils décomposaient déjà les critères de réussite d’une évaluation en somme de compétences à acquérir avant que ne soit imposée la réforme du socle commun). L’animation de lettres a également proposé que soit indiqués en fin de chaque évaluation les items du socle commun évalués lors des contrôles ; bien sûr cela impose une surcharge de travail (indiquer à la fin d’un devoir de rédaction les items évalués peut paraître fastidieux).

Solution technique : Pronote

Comme l’Alliance Scolaire a choisi d’utiliser ProNote dans ses établissements, la gestion du socle commun est grandement simplifiée. En effet, chaque enseignant a la possibilité d’évaluer au cours de l’année chaque élève. Ainsi Pronote permet d’effectuer les opérations suivantes :

  • Définir des compétences à évaluer en fonction des classes (onglet Compétences/définition)
  • Créer des compétences personnalisées
  • Evaluer les compétences en évaluant le niveau d’acquisition d’un item (en cours d’acquisition, acquis, non acquis, etc.)
  • Valider de manière automatique ou non une compétence en fonction du niveau d’acquisition de l’élève des différents items
  • Faire apparaître les compétences validées sur le bulletin de l’élève

En 2013, étant donné que tous les établissements auront mis en place Pronote, un stage APEP pourra permettre d’unifier les pratiques de l’Alliance Scolaire pour que chaque établissement évalue de manière similaire leurs élèves.

Outre l’aspect technique de la gestion du socle commun, il paraît indispensable d’orienter la réflexion sur les changements induits par le socle commun sur notre manière d’enseigner (quid de la performance, problématique de l’opposition notes vs compétences, interdisciplinarité, création des compétences correspondant aux spécificités de notre public, etc.)

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C. Brevet blanc 2012

L’épreuve de français du diplôme national du brevet (DNB) sera modifiée en 2012 en métropole et en 2013 en Nouvelle-Calédonie.

Voici in extenso les modifications apportées à cette épreuve. Comme on peut le constater, l’élève est amener à justifier son point de vue dans la première partie de l’épreuve ; ce qui correspond bien au programme de la classe de troisième, privilégiant l’argumentation.

Première partie : Compréhension de texte, réécriture et dictée (1 heure 30)

Un texte d’une trentaine de lignes maximum, d’un auteur de langue française, est remis au candidat.

La compréhension du texte est évaluée par une série de questions qui prennent appui sur le texte distribué. Certaines de ces questions sont d’ordre lexical et grammatical. D’autres engagent le candidat à réagir à sa lecture en justifiant son point de vue.
La maîtrise de la langue et de l’orthographe est évaluée :

  • par la réécriture, en fonction de diverses contraintes grammaticales, d’un passage ou de plusieurs passages du texte proposé au candidat. Le sujet donne des consignes précises sur les modalités de cette reformulation (modification de formes verbales, changement de l’ordre des mots, de genre, de nombre, etc.). Elles entraînent des transformations orthographiques que le candidat doit effectuer en réécrivant le texte initial ;
  • par la dictée d’un texte de 600 à 800 signes, de difficulté référencée aux attentes orthographiques des programmes.

Cette dictée est effectuée au cours des trente dernières minutes de cette première partie d’épreuve.

Les candidats présentant un handicap peuvent demander à composer sur le texte de dictée aménagée.

Seconde partie : Rédaction (1 heure 30)

Deux sujets de rédaction au choix sont proposés aux candidats.

L’un fait essentiellement appel à l’imagination et prend appui sur le texte initial ; l’autre demande une réflexion sur une question ou un thème en relation avec le sens du texte.

Les candidats doivent produire un texte correct et cohérent, d’une longueur de deux pages au moins (environ trois cents mots). Ce texte doit être structuré, construit en paragraphes, correctement ponctué.

Comme cette réforme sera mise en place en 2013 en Nouvelle-Calédonie, le brevet blanc de cette année (du 8 au 12 octobre 2012) ne prendra pas en compte cette réforme. Le sujet du brevet blanc sera créé par l’animation de lettres. Il s’appuiera sur un texte local (un extrait peut-être du récit autobiographique d’Elie Pidjo, Enfance meurtrie ou la biographie d’André Dang, Mystère Dang).

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D. Séquence commune 3ème (Autour du drapeau)

lEn 2010, l’animation de lettres n’a pas tenu sa promesse de mettre en place une séquence commune pour les classes de 4ème de l’Alliance Scolaire (pour cause notamment de départ de l’animateur en stage pour une période de trois mois à l’IUFM). Le projet est relancé pour les classes de troisième avec comme sujet le thème des drapeaux calédoniens. Cela permettra de travailler sur l’argumentation. Les documents suivants serviront de support à cette séquence :

  • Les articles de presse concernant ce débat
  • Les articles des sites officiels des différentes forces politiques du Territoire
  • Des extraits vidéos et sonores

L’animation de lettres proposera une séquence clé en main avec les évaluations formatives et sommatives. Cette séquence sera accompagnée des items du socle commun pouvant donner lieu à une évaluation (ainsi outre les items de la compétence Maîtrise de la langue française, on pourra évaluer la compétence Compétences sociales et civiles : Valeurs, symboles et institutions de la République ou encore Fonctionnement et rôle des différents médias).

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E. Intervention de Catherine Poedi

Représentant le lycée Do Kamo, Catherine Poedi nous a abordé différents points concernant son établissement. Dans un premier temps, elle a tenu à rappeler les bons résultats de la filière Littéraire à Do Kamo : 82 % de réussite au baccalauréat en 2011 (14 réussites pour 3 échecs). Elle a ajouté que de plus en plus, les élèves choisissaient cette filière contrairement à l’idée reçue qui veut que le baccalauréat L soit une orientation par défaut.

Elle a également présenté les nouveaux dispositifs institués par la réforme du lycée :

  • Le projet personnalisé de l’élève (PPE) qui doit regrouper le conseiller d’orientation, le professeur principal de l’élève et l’enseignement chargé du suivi de ce PPE. La mise en place de ce projet permet aux élèves de se déterminer plus rapidement sur des orientations post-baccalauréat. Le dispositif de pré-inscription à l’université a également été très positif. Seul bémol à ces procédures, l’absence de prise en compte de la personnalité de l’élève, sur ses savoir-faire, ses savoir-être. On n’oublie les critères humains pour ne s’en tenir qu’aux notations des bulletins. Il faudrait peut-être définir des compétences autres que celles retenues par les institutions dans le travail d’orientation des élèves (ce que le socle commun permet de faire, en donnant la possibilité à l’équipe éducative de créer des compétences originales).
  • Les enseignements d’exploration choisis à Do Kamo ; ceux-ci s’orientant vers des sujets fortement localisés (L’exposition des Kanak via le livre de Didier Daeninckxs, Les bambous gravés). La présentation des enseignements d’exploration de Do Kamo est consultable sur le site du lycée : www.dokamo.nc (menu Pédagogie/Enseignement d’exploration)

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F. Documents à télécharger

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Cette première commission de l’année 2012 était animée par Vanessa Frances (Collèges Baganda et Boaouva Kaleba). Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : André Kaemo (Collège Dö Mwà), Florence Le Bars (Collège Do Néva), Jean-Marc Jeno (Collège Eben Eza), Denis Gressard (Collège Havila), Anne de Chérade de Montbron (Collège Hnaizianu), Philomène Caba (Collège Tarémen) et Nathalie Boisseuil (Lycée Do Kamo).

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Cette première commission d’arts plastiques de l’année 2012 a permis aux enseignants de se réunir pour la première fois depuis deux années. Tous les établissements étaient représentés à l’exception du lycée agricole où l’enseignement des arts plastiques n’est pas une matière enseignée.

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A. Histoire des arts

Durant la matinée, les enseignants ont pu échanger sur leur pratique de l’enseignement de l’histoire des arts. L’animation de l’Alliance Scolaire a effectué une présentation du dispositif (enseignement et modalités de l’examen). La galerie photos suivante reproduit le diaporama présenté par la direction. En téléchargement, une grille d’évaluation type de l’oral (votée par le conseil d’administration de l’établissement) et une série d’exemples concernant les questions pouvant être posées à l’oral.

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B. Formations

Les demandes de formations émises par les participants de cette commission ont été les suivantes et seront proposées au catalogue de l’APEP :

  • Reconduction de la préparation à l’admissibilité du CAPES CAER d’arts plastiques
  • Stage d’infographie sur Gimp et ou illustrator
  • Formation sur les techniques et l’approche chromatique et culturelle aborigène, le Dreamtime.

Réforme du CAPES CAER

Depuis 2012, l’admissibilité au CAPES CAER d’arts plastiques se fait sur dossier (à envoyer en deux exemplaires au ministère de l’Education Nationale). Ce dossier se scinde en deux parties : deux pages de CV et 6 pages présentant une séquence pédagogique validée par le chef d’établissement de l’enseignant. En 2015, un niveau master 2 (bac + 5) sera exigé de tout candidat à cette épreuve ; les maîtres auxiliaires non titulaires de ce niveau de diplôme ne pourront donc plus se présenter à l’épreuve. L’Alliance Scolaire propose une formation au deuxième trimestre (en fonction du nombre d’inscrits à cette formation) qui présentera les aspects techniques du dossier RAEP.

Le lien suivant détaille cette réforme :
http://www.education.gouv.fr/cid4929/nouvelle-epreuve-d-admissibilite-de-certains-concours-internes.html

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C. Déroulement de la prochaine commission

La prochaine commission se déroulera aux mêmes horaires que la première commission et se tiendra le samedi 27 octobre 2012.

Cette première commission de l’année 2012 était animée par Michel Malgouzou (Direction, animation de lettres). Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Germaine Kaqea (Anglais | Collège Do Néva), Louise Poatiba (Anglais | Collège Eben Eza), Imelda Hnanyine (Anglais | Collège Havila), Tony Dugast (Anglais | Collège Tarémen), Sinane Ihage (Anglais | Lycée Do Kamo), Catherine Kasarherou (Anglais | Lycée Do Kamo), Freda Maloune (Espagnol | Collège Boaouva Kaleba), Xavier Windal (Espagnol | Collège Eben Eza), Malia Keletolona (Espagnol | Collège Tarémen), Luis Delvalle (Espagnol | Lycée Do Kamo). N’étaient pas représentés les établissements suivants : Collège Baganda et lycée agricole de Do Neva.

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Cette première commission d’anglais et d’espagnol de l’année 2012 a permis aux enseignants de se réunir pour la première fois depuis deux années. La dernière commission d’anglais remontait au 30 mars 2010 (voir le compte rendu de cette commission). En 2011, des problèmes budgétaires (budget APEP) avaient empêché toute tenue des commissions disciplinaires. Si les thèmes traités durant la commission concernent les professeurs d’espagnol et d’anglais, il a été décidé que la deuxième commission se déroulerait de la manière suivante : une réunion brève des enseignants d’espagnol et d’anglais pour aborder les points communs en début de commission puis un travail spécifique regroupant dans des salles différentes les enseignants de la même langue. La date de la prochaine commission a été fixée au samedi 20 octobre 2012.

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A. Etat des lieux

Après une présentation de chacun, il a été vérifié que chacun disposait bien des heures réglementaires dans son établissement respectif. Des variations étant tout de même constatées : 4 heures d’anglais en 6ème à Eben Eza contre 3 heures 30 à Do Neva, 2 h 30 d’espagnol en 3ème à Eben Eza contre 3 heures à Boaouva Kaleba. Pour rappel, voici un tableau des enseignements obligatoires au collège et en seconde (Cliquez ici pour consulter les textes de références).

ClasseLangue vivante 1 (anglais)Langue vivante 2 (espagnol)
6ème4 heures(Classe bilangue possible)
5ème3 heures (+ 1 heure IDD possible)(Classe bilangue possible)
4ème3 heures (+ 1 heure IDD possible)3 heures
3ème3 heures3 heures ou 0 heures si le module Découverte
professionnelle
est de 6 heures
Seconde5 h 30 pour LV1 et LV2 (Do Kamo : 3 heures en anglais + 1 heure en demi-groupe, 3 heures d'espagnol)

Luis Delvalle a tenu à rappeler que les résultats du baccalauréat étaient nettement meilleurs depuis quelques années au lycée Do Kamo (74 % de réussite en 2011 pour l’ensemble des filières et 82 % pour les terminales Littéraire). Pour certains élèves, l’espagnol est une matière leur permettant d’obtenir de très bons résultats, notamment à l’écrit (copies corrigées en métropole, exemple d’élève ayant obtenu 19 sur 20 en 2011). Dans le débat concernant la place de l’espagnol au sein de l’Alliance Scolaire, il est important de rappeler que l’absence de l’espagnol dans le cursus d’un lycéen venant de Do Kamo peut avoir des incidences sur l’obtention d’une place dans une classe de BTS (en effet, les langues vernaculaires ne sont pas reconnues par certains établissements). Le recours à des assistants de langue n’est effectué qu’au lycée Do Kamo. L’impact de ces assistants y a été très positif ; ils sont intervenus notamment dans le cadre de stages de langue intensif. Il serait bienvenu de relancer le recrutement d’assistants pour les collèges de brousse ; à Nouméa, si le vivier d’anglophones voulant donner quelques heures de leur temps est important, c’est moins le cas en Province Nord et Province des Îles. Une initiative -sous forme d’appel d’offres auprès des consulats par exemple- pourrait reproduire la formule de stage intensif d’anglais pour nos collèges (proposition de l’animateur de lettres).

A.1. Oral et écrit

Même si une certaine aisance à l’oral doit être considérée comme un objectif majeur de l’enseignement des langues vivantes étrangères, tous les enseignants sont d’accord pour reconnaître leurs difficultés à consacrer plus de temps à cette maîtrise de l’oral. En effet, il est difficile de faire participer tous les élèves dans le cadre de classes chargées. La solution étant de travailler en demi-groupes ; ce qui quelquefois n’est pas possible. Un nombre supplémentaire d’heures de langue vivante étrangère est possible à obtenir si les projets d’établissement mettent en avant la maîtrise des langues étrangères. Au lycée, Luis Delvalle note que l’Accompagnement personnalisé (AP) au lycée lui a permis de travailler avec des groupes de 6 élèves. Au collège, il est également possible de travailler les langues vivantes via le biais des heures d’AP. Les textes sont clairs, l’AP peut revêtir les formes suivantes (source : Eduscol)

    • pour tous les élèves d’une division, le renforcement d’apprentissages particulièrement complexes à un moment et à un niveau de formation donnés
    • des travaux en groupes à effectif réduit
    • des aides individualisées
    • ou tout autre mode de prise en charge pédagogique susceptible de répondre aux besoins spécifiques des élèves.
  • Catherine Kasarherou (lycée Do Kamo) tient à remarquer que les compétences écrites exigées en terminale (tant en lecture qu’en compréhension) orientent les cours vers un travail spécifique de l’écrit très important qui se fait au détriment notamment de l’oral.

En anglais, les tests d’entrée en seconde, la mise en place de groupes de niveaux… Ces dispositifs ont été abandonnés au sein du lycée Do Kamo. Le bilan des premières expériences étant très négatif : la difficulté d’organisation, la perte de temps constaté, l’absence de résultats significatifs étant autant de freins à la reconduction de ces dispositifs.

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B. Liaison collège-lycée

Le travail entre les collègues de collège et lycée doit être maintenu (travail sur une séquence commune 3ème-seconde lors de la prochaine commission). Cependant, il faut rappeler que seulement 20 % des élèves des collèges de l’Alliance Scolaire continuent leur scolarité au lycée Do Kamo. Les enseignants d’anglais du lycée ne contastent pas de différences flagrantes entre les élèves provenant des autres institutions d’enseignement du Territoire et ceux de l’Alliance, En espagnol, Luis Delvalle note toutefois que les élèves de l’Alliance Scolaire sont souvent les meilleurs en grammaire et à l’écrit, par contre à l’oral, la tendance est inverse : les élèves ne venant pas de l’Alliance Scolaire étant plus à l’aise dans les situations de communication orale.

D’une manière générale, les enseignants d’anglais notent des difficultés à poser des questions de la part des collégiens.

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C. Niveau A2

Un bilan sur la validation du niveau A2 dans le cadre du diplôme national du brevet (DNB) a pu être établi au cours d’un échange libre entre les différents enseignants du collège. Un premier tour de table a permis de s’apercevoir que les pratiques étaient disparates. Voici les points qui ressortent de cet échange :

Certains établissements ont lié l’obtention du niveau A2 à la moyenne générale obtenue en 3ème (cela se traduisant par un nombre non négligeable d’élèves n’ayant pas obtenu le DNB).

  • Certains établissements ont considéré que les élèves ayant choisi l’anglais obtenaient quasi-automatiquement la validation de ce niveau A2 du fait que celui représente le niveau visé par un élève en classe de 5ème (niveau intermédiaire dit également de « survie »). En CM2, les élèves sont même censés avoir passé une évaluation du niveau A1 du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues (CECRL).
  • Certains établissements, après avoir constaté que beaucoup d’élèves choisissaient l’espagnol en lieu et place de l’anglais, ont vu la répartition anglais/espagnol s’équilibrer une fois expliqué aux élèves que le niveau A2 était celui requis en fin de 5ème (Havila)
  • Pour la majorité des établissements, la non-validation du niveau A2 est devenu exceptionnelle. D’autant plus que le niveau A2 -à l’instar du B2i- est inclus dans la maîtrise du socle commun (Palier 3, compétence 2 : La pratique d’une langue vivante étrangère)
  • La validation du niveau A2 ne passe jamais par une évaluation sommative ; chaque enseignant connaissant ses élèves étant à même d’apprécier leur maîtrise de la langue (aucun besoin de revenir finement sur les capacités participant de chaque niveau)
  • Certains enseignants notent également que les capacités du niveau A2 peuvent être validées quand celles-ci sont en cours d’acquisition. Ainsi, il est très difficile de noter que certaines capacités sont tout simplement non acquises (le seul cas étant que l’enseignant n’ait tout simplement pas travaillé ces capacités).

Pour le choix de l’espagnol pour le niveau A2, les raisons avancées sont la nouveauté de la matière, son apparente facilité (les premières évaluations étant souvent meilleures qu’en anglais), une difficulté phonétique moindre (en comparaison de l’anglais).

En conclusion, tous les collègues ont complétement intégré les réformes de l’apprentissage des langues étrangères ; ainsi sont présentées de manière formelle aux élèves les cinq compétences requises (productions écrite et orale, compréhensions écrite et orale, interaction) et l’ensemble des niveaux du CECRL. Le recours à des grilles d’auto-évaluation sont ainsi mises en place dans certains collèges.

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D. Formations

Les demandes de formations émises par les participants de cette commission ont été les suivantes et seront proposées au catalogue de l’APEP :

  • Reconduction de la préparation à l’admissibilité du CAPES CAER d’anglais et d’espagnol
  • Uilisation des lecteurs numériques en classe (numérisation des cours, choix du matériel technique)
  • Découpage de sa progression annuelle en fonction du CECRL

Réforme du CAPES CAER

Depuis 2012, l’admissibilité au CAPES CAER d’anglais ou d’espagnol se fait sur dossier (à envoyer en deux exemplaires au ministère de l’Education Nationale). Ce dossier se scinde en deux parties : deux pages de CV et 6 pages présentant une séquence pédagogique validée par le chef d’établissement de l’enseignant. En 2015, un niveau master 2 (bac + 5) sera exigé de tout candidat à cette épreuve ; les maîtres auxiliaires non titulaires de ce niveau de diplôme ne pourront donc plus se présenter à l’épreuve. L’Alliance Scolaire propose une formation au deuxième trimestre (en fonction du nombre d’inscrits à cette formation) qui présentera les aspects techniques du dossier RAEP.

Le lien suivant détaille cette réforme :
http://www.education.gouv.fr/cid4929/nouvelle-epreuve-d-admissibilite-de-certains-concours-internes.html

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E. Déroulement de la prochaine commission

Durant la prochaine commission d’anglais et d’espagnol, nous invitons les enseignants à venir nombreux. Contrairement à la première commission de l’année qui a consisté en une reprise de contact, la deuxième commission devrait aboutir sur une séquence commune (pouvant être utilisé en 3ème comme en seconde). Cela permettra aux enseignants de confronter leurs différentes pratiques, notamment dans l’intégration du CECRL à la préparation de la séquence. Cette séquence s’accompagnera de documents multimédia (extraits de films, extraits sonores). Pour alimenter cette séquence, le travail en commun sera précédé -dans la mesure du possible- de la venue d’un membre du consulat australien ou néo-zélandais que les enseignants pourront interroger sur la thématique de la séquence (à définir avec l’intervenant).

En espagnol, un travail identique pourra être effectué si le nombre de participants le permet.

Formations APEP 2011 demandés

Les formations demandées en 2011 sont les suivantes :

  • Javelot
  • Vitesse-relais
  • Multi-board
  • Natation en milieu naturel
  • Ultimate frisbee [download id= »16″]

Polo ASEE

Les recommandations suivantes ont été faites pour la réalisation du polo :

  • Rester sur du 100 % coton mais une marque différente
  • Changer la sérigraphie et la couleur (ex. : bleu ciel)
  • Retravailler le style du polo : poche avant, bandes sur les manches

    Formation Frisbee pour 2011 (option partenaire animal)

Installations sportives
Il faut mettre en place des plateaux sportifs sur le modèle de celui installé au collège de Taremen (Maré) :

  • Budget de 19 millions
  • Plateau synthétique avec marquage des terrains de hand-ball, basket-ball, volley-ball, tennis
  • Sautoirs en hauteur et longueur

Remarque

Ne plus jamais organiser de commission le samedi après-midi pour raison d’absence de vols après 14 heures pour les collègues des Îles Loyauté.

Cette première commission de l’année 2010 était animée par Maryline Wagino et Marcel Coste. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Marcel Coste (Boaouva Kaleba), Henri Lalie (Do Kamo), Kapia Wahmetu, Ludmila Gnavit (Do Neva), Nathalie Qanun (Eben Eza), Françoise Lawi, Maryline Wagino (Havila), Jacqueline Waia (Taremen). Les établissements non représentés étaient les suivants : Baganda, Dö Mwà et Hnaizianu

A. Quoi de neuf au lycée ? intervention de Henri Lalié

A1. Nouveaux programmes de Seconde et réforme à la rentrée 2011
Quelques changements surtout en histoire et quelques nouveautés :

  • les enseignements d’exploration
    Les élèves doivent en choisir deux parmi une dizaine pour déterminer la série qu’ils vont suivre après la seconde ; comme les IDD, ils s’organisent en domaines et les professeurs d’histoire et géographie peuvent intervenir dans Littérature et société, avec le professeur de français et Création et activités artistiques : patrimoines en équipe pluridisciplinaire (histoire, français, arts plastiques, musique …) Bloc de 3h pour travailler en projet et différemment des cours classiques (sortie, recherche, intervenant, prise de parole comme les TPE et IDD)
  • l’accompagnement individualisé
    2h, une forme de tutorat (suite aux modules supprimés) en place de la seconde à la terminale (méthodologie, soutien, approfondissement comme les études dirigées

L’enseignement est organisé en semestres, avec des groupes qui peuvent changer … encore de nombreux aspects qui ne sont pas maîtrisés actuellement.
Difficultés de la mise en place : emploi du temps (bloc de 3h, plusieurs profs…) qui est amené à être changé …  et problème  de budget (pour les sorties, les intervenants). Autre problème : les langues avec stage linguistique,  laboratoire de langues à mettre en place mais problème de budget. La spécificité du Lycée Do Kamo demeure avec les langues régionales obligatoires.

A2. Histoire et géographie en série scientifique (S)
3 heures en seconde mais suppression des modules
4 heures en première avec épreuve anticipée à passer comme le français
2 heures  en option en Terminale  (problème pour la formation des citoyens, futurs décideurs)

A3. Lycée professionnel
De plus en plus d’élèves en Lycée professionnel dès la seconde avec un stage à faire. Problème  pour trouver des entreprises d’accueil et besoin de salles plus nombreuses. D’où le choix de formations qui ne nécessitent pas de locaux telles que exploitation des transports ou archi-habitat (ex : besoin d’ordinateurs pour PAO et pas de gros équipements)

A4. Épreuve d’histoire et géographie au baccalauréat
2ème année de correction pour le lycée Do Kamo :  bon déroulement et bonne expérience
Le niveau général en histoire et géographie en Nouvelle-Calédonie est plutôt bon (comme au brevet). On trouve de très bonnes copies : plusieurs  20/20 -même en série S.
2009 : bonne année, examen sur place, organisation mise en place avec le lycée Jules Garnier, très bonne expérience

A5. Groupe de travail lycée
Autour de Cynthia Debien-Van Maï, groupe très dynamique. Harry Lalie et Nicolas Kurotvitch sont intervenus après l’exclusion d’Olivier Houdan (suite à ses écrits) sur l’histoire néo-calédonienne récente et FP en lycée professionnel . Sortie du manuel en mars dernier : gros travail, documents  nombreux. La version numérique est donnée par Harry Lalie aux participants de la commission.
Le groupe autour d’Isabelle Amiot travaille sur les adaptations des programmes en seconde.

A6. Préparation Sciences Po
2 lycées privés de Nouvelle-Calédonie : Do Kamo et Anova (DDEC) cette année, avec le soutien très fort du Haut Commissaire.
Au départ, 32 élèves intéressés par la formation, il n’en reste que 8 ! Chacun est suivi par un professeur en particulier qui le fait travailler tous les mercredi après-midi. Beaucoup de travail en plus de la préparation du baccalauréat. Actuellement, 4 fiches de lecture à rendre par semaine. Puis choisir un thème de travail sur 6 semaines  (continuité événementielle) et dossier qu’il faudra présenter pour la  sélection pour Paris.
À Paris un oral à passer et avec condition sine qua non  : réussir le bac au 1er tour.
Sur les 8 en préparation, pas forcément les bons élèves ni du lycée général. La réussite passe par la motivation et se compte sur la durée : travailler toujours, toujours.

B. Les tests d’histoire et géographie à l’entrée en 6ème
Deux établissements n’ont pas envoyé leurs résultats : Eben Eza et Hnazianu
Le tableau général de l’Asee (sauf les 2 établissements) : résultats en histoire, géographie, français et mathématiques et le tableau par établissement ont été distribués.

Modifications à apporter au test pour 2011 :

  • Pas de changement, sur le sujet d’histoire
  • En géographie, placer les cartes différemment : planisphère, Océanie et population néo-calédonienne pour faire réfléchir un peu plus petit à petit les élèves.
  • Sur la carte du monde, demander à faire figurer les continents en couleur (une couleur/un continent) et  un rectangle où placer le nom du continent.
  • Reformuler certaines questions.  Exemple : remplacer « indique » par « nomme »
  • Grilles d’évaluation : faire figurer les colonne B et C sur les résultats finaux

Faire remonter au bureau pédagogique les attentes du secondaire concernant le primaire

Impératifs de connaissances

  • Les continents et océans
  • Les lignes imaginaires
  • Les points cardinaux
  • Les aires culturelles d’Océanie
  • Les périodes de l’Histoire dans l’ordre chronologique

Impératifs de vocabulaire

  • Placer, situer, localiser, repérer, indiquer, nommer
  • Chronologie, espace, région, pays,

Impératifs de méthode

  • Lecture de frise chronologique et placement de dates
  • Lire la légende d’une carte

C. Brevets blancs 2010
Le Brevet blanc Lifou et Maré en août
Histoire : Havila
Géographie : Taremen
Education civique : Hnaizianu
Repères chronologiques et spatiaux :  Havila

Le Brevet blanc de l’ASEE en octobre
Histoire : Hnaizianu
Géographie : Havila et Baganda
Education civique : Eben Eza
Repéres chronologiques et spatiaux : Taremen et Do Neva

D. Les nouveaux programmes 6ème en 2010

Certains établissements ne disposent pas d’un manuel par élève.
Programmes intéressants mais quelques difficultés de mise en application. Problème de se laisser déborder en temps et en documents : il faut partir des programmes officiels et s’y tenir ! Aller chercher des exemples de séquences sur internet.
Pour les 5ème en 2011, s’y préparer surtout en géo : thème du développement durable ; novateur mais très vaste ! Il faut choisir un angle pour le traiter, et partir d’une étude de cas puis faire une mise en perspective
Constat : moins de place aux programmes adaptés.

E. L’histoire des Arts
En 2010, option au brevet puis obligatoire en 2011 pour tous les élèves de troisième (coefficient 2). Il doit se dérouler sous forme d’un oral, travail en interdisciplinarité : Arts, histoire et géographie, français mais aussi technologie ou Sciences et Vie de la Terre (SVT).
L’IPR d’Arts a mis en place un groupe de travail, il faudra être à l’écoute mais ne pas seulement attendre, il faut se documenter, réfléchir et former les groupes de travail dans chaque collège.
Proposition de mettre en commun au sein de l’ASEE par ex. par le biais de Michel Malgouzou, animateur de français.
L’histoire des arts devient obligatoire du primaire au lycée et donc à organiser dès la 6ème c’est pourquoi les nouveaux manuels proposent des travaux dans ce sens. Ne pas négliger cet enseignement car « l’éducation artistique et la culture générale sont des éléments clés de l’ouverture au monde » (extrait du B.O)

Maryline Wagino et Marcel Coste

Cette première commission de l’année 2010 était animée par Marianne Hnyeikone. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : André Merone (Do Neva), Clément Holue (Havila), Sarah Forrest (Taremen), Alexandra Kataoui (Dö Mwà), Jean Hmae, Marianne Hnyiekone (Lycée Do Kamo). Les établissements non représentés étaient les suivants : Hnaizianu, Eben-Eza, Baganda, Boaouva Kaleba.

Comme convenu, la première commission des LCR Kanak a bien eu lieu le vendredi 25 juin 2010 dans les locaux de la direction. Certains enseignants n’ont pu assisté à cette commission car ils étaient en formation (APEP) . L’importance du travail qui repose sur nos épaules est très important car il a été  voté en motion par l’assemblée générale de Tuo Maré les 20 et 21 juillet 2009 :

Elaborer un référentiel commun à l’enseignement des Langues et Cultures Régionales Kanak propre à l’A.S.E.E. Nous concevons que les raisons à ce manquement au travail vous sont strictement personnelles, mais nous ne pouvons qu’être navrés de constater un bel exemple de démotivation. Les forces vives s’amenuiseraient-elles ?

Cette matinée de réunion nous a tout de même permis d’écouter la parole des hommes et des femmes qui œuvrent pour l’éducation des enfants de notre peuple. Le temps est enfin arrivé de se consacrer à sceller notre enseignement dans du roc.

Donc, à six autour de la table ronde, nous nous sommes entretenus sur la conception d’un référentiel commun.  Or, compte tenu de l’envergure du chantier ; il nous faut nous constituer en commission de prospection, de conception et d’élaboration de cet outil pédagogique. Rendons-nous à l’évidence ! Le statut spécifique des enseignants de LCRK et la pérennisation du métier va dépendre de la production du référentiel.

Sachez que, depuis le 18 décembre 2009, ont commencé des entrevues entre le Bureau Psycho-Pédagogigque de l’Alliance Scolaire (ASEE) et nous. La présence physique de M. Billy Wapotro à la réunion du 18 mars 2010 nous a été bénéfique ; dans le but de nous rappeler l’enseignement des LCRK dans l’ASEE et pour l’amendement des initiatives et des décisions prises pour la réalisation du projet.

Par ailleurs, nos rencontres prendront désormais une toute autre tournure. Nous nous regrouperons en séances de travail avec une répartition des tâches vers des orientations claires et pratiques afin que le futur référentiel soit le produit d’un travail collectif.

Par conséquent, la prochaine réunion de déroulera le  vendredi 27 août 2010 à 8h30 dans les locaux de la Direction de l’ASEE et il faudra compter toute la journée, afin de nous permettre d’étayer les résultats des travaux de prospection dont ont été chargés comme référent par langue :

Nengone
Primaire et collège Sarah Forrest (cf. J. Jebez)
Collège et lycée Pasteur Kauc Hmae
Ajië
Primaire et collège André Merone
Collège et lycée Asia Boai
Xârâcùù
Primaire et collège Alexandra Kataoui
Drehu
Primaire Maho Pamani
Collège Ijezie  Holue
Lycée Marianne Hnyeikone

Pour l’immédiat, il s’agit d’émettre des grands axes de progression par secteur et par niveau et d’en qualifier les objectifs généraux.

Marianne Hnyeikone


Prochaine commission LCR
Vendredi 27 août 2010 (8 h 30) Salle de réunion de l’ASEE

Cette première commission de l’année 2010 était animée par Michel Malgouzou Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Maylis Oroffino (Havila), Jacqueline Wright (Hnaizianu), Elise Ixepe (Eben-Eza), Upiko Waneisi (Lycée Do Kamo), K. Hope Nenonene (Dö Mwà), Michel Heim (Do Néva), Aurélie Poyau (Baganda). Les établissements non représentés étaient les suivants : Taremen et Boaouva Kaleba.

1. Etats des lieux

Do Kamo
Le lycée Do Kamo continue à travailler sur la réforme du lycée et à la transformation des baccalauréats. Pour les classes de seconde, des évaluations de français en fin d’année sont prévues ; Upiko Waneissi, représentant le lycée Do Kamo lors de cette commission a demandé que les résultats des tests soient modélisés comme ce fut le cas en 2007 pour le test d’entrée en seconde (Résultat de réussite à ces tests 2007 : 38,7 %). Le lycée continue à effectuer des sorties culturelles pour les classes de seconde afin de les habituer à Nouméa, ville que certains découvrent. Le prix Vi Nimö, prix de littérature calédonienne est reconduit. Ce prix propose aux lycéens d’élire un livre parmi une sélection choisie par un comité composé par le personnel des lycées participant à ce prix : le lycée Do Kamo, le lycée Anova, le lycée Escoffier, le lycée Blaise Pascal et le lycée du grand Nouméa en 2009. L’année dernière, les élèves participants à ce concours sont partis au Salon du livre Océanien (SILO) se tenant à Poindimié (www.silo.nc). Des rencontres avec les auteurs calédoniens se sont également tenues.
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